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Lettre envoyée le 02/11/2020


Lundi 2 novembre 2020                                                                                 La Lettre N°506

 

 

Posez-vous des questions...avant qu'il ne soit trop tard !

 

Au risque de me répéter, comment une pandémie a t-elle pu être suggérée depuis 1981 (https://youtu.be/Y8kzGEcR2UA) par un roman-fiction, certes, mais un récit dont l'étrange ressemblance est troublante avec ce que vit la planète depuis le début de l'année, sans que personne ne se pose de questions ? Et sans que cela ne choque personne ? Nous, citoyens de France et du monde, avons manifestement trop délégués à nos dirigeants et à nos prestataires (assureurs, banques,...) pour tout ce qui concerne notre existence : aujourd'hui, et pour la première fois, nous sommes privés de liberté (et peut-être demain d'argent ?) au nom d'un virus extrêmement dangereux (ce qui n'est pas contesté), créé par l'homme (ou pas) ou juste échappé d'un laboratoire chinois, sans que ni l'OMS, ni les agences de veille sanitaire françaises n'aient joué pleinement leurs rôles pour détecter le virus et prendre dès que possible les mesures nécessaires ? Il existe bien un plan ORSEC en cas de catastrophe naturelle mais n'existe t-il pas de plan d'urgence similaire en cas de pandémie ? Pourquoi ? Pourquoi une telle confusion dans les premiers messages gouvernementaux (concernant notamment le port du masque) et pourquoi la France a t-elle réduit autant les moyens médicaux disponibles alors que la population augmentait dans le même temps ? Sans parler de la guéguerre entre médecins « indépendants » et les autres... Et nous, de subir confinement et couvre-feu, mesures d'urgence appliquées par des dirigeants qui n'ont rien (vu ou voulu voir) venir par négligence (j'en doute) ou par calcul (j'y crois vraiment), lesquelles suscitent, dans les deux cas, une crainte, voire une peur collective ?

Le gouvernement d'un pays est normalement élu pour prendre soin des intérêts (et du peuple) qui lui sont confiés. Or, depuis plusieurs décennies, notre nation, les mains liées par d'ubuesques traités, est contrainte par l'Europe à accueillir encore et toujours plus d'étrangers sur son territoire, dont certains fomentent crimes et attentats contre les Français. Est-ce cela prendre soin de son peuple ? Et attendre la décapitation d'innocents par des barbares ayant violé nos frontières, et même prétendre que « La France n'est pas un coupe-gorge... » ne participe t-il pas d'un plan destiné à instaurer là encore la peur chez nos compatriotes ?

 

Mais pourquoi donc vouloir effrayer les Français, que ce soit par la pandémie ou par le terrorisme, si ce n'est pour installer le chaos afin d'y imposer un autre système ? Qu'est-ce qui justifie de détruire l'économie mondiale, sinon une « pandémie » qui a fait jusqu'ici moins de victimes que la grippe ? Bizarre, n'est ce-pas ? Pourquoi ce départ précipité des Etats-Unis (lors du congrès de l'OMS, en avril dernier) qui déplorent l'influence de plus en plus grande d'une Chine d'où le virus est parti et...pays qui est curieusement le seul à connaître aujourd'hui un remarquable rebond de son économie, lequel détient aussi, comme par hasard, une majorité des créances de la dette occidentale et qui rachète d'ailleurs ici et là des commerces et affaires en faillite ? Surprenant, non ? Sans vouloir « chinoiser », ne trouvez-vous pas étrange que ce pays ait inventé « le crédit social » (surveillance et notation à tout instant du comportement de ses citoyens, les privant ainsi des libertés fondamentales) sans que cela n'alerte particulièrement la commission internationale des droits de l'homme ? Je sais, lorsqu'on éprouve des craintes, on a tendance à éluder la réalité car nous avons tous nos habitudes et sommes attachés à notre confort et craignons par conséquent le futur inconnu qui se profile.

 

Permettez-mois toutefois de donner ici neuf pistes qui pourront peut-être aider chacun à gérer cette situation: premier constat, ne pouvant faire tout nous-mêmes, il nous faut bien déléguer à d'autres la gestion du pays tout en étant intraitable sur la qualité du service apporté (en demandant par exemple à nos élus de rendre des comptes). Il faut ensuite arrêter de croire que toute nouveauté est forcément mauvaise car elle peut être source d'opportunités (tout en exigeant d'être consulté -par référendum?- sur tel ou tel projet). Troisième piste, évitons de rejeter systématiquement ce qui nous est inconnu car on peut beaucoup apprendre de l'autre (Mieux ! Redéfinissons par exemple notre tradition d'accueil uniquement autour des candidats ayant une vraie valeur ajoutée pour notre nation, et ne tombons pas dans la politique du chiffre et le misérabilisme appliqués par nos dirigeants actuels). Quatrième piste, le monde inconnu effraie, c'est compréhensible, mais n'est-ce pas parce que nous manquons simplement de confiance en nous? Machiavéliques, nos élites se gardent bien de susciter l'intelligence qui sommeille en nous (préférant la politique du « J'y suis, j'y reste » ou... »Dormez braves gens ») mais n'en doutez pas une seconde, nous sommes un grand peuple qui a connu au fil des siècles intrigues, invasions guerres et complots et s'en est toujours remis. Pourquoi donc douterions-nous de nous-mêmes ? D'ailleurs si nous sommes devenus pour certains la nation à abattre, c'est bien parce que nous sommes uniques, dans notre savoir-être, savoir-vivre et esprit de génie. Et donc dérangeants. Ce qui manque à notre beau pays ? Des dirigeants courageux, intègres et fidèles au peuple. Bref, des gens sains de corps et d'esprit dont la maxime ne se résume pas à « Voulez-vous coucher avec moi ce soir?- https://youtu.be/Tn0-6n_dng4) . Autre problème des Français : on évite de s'aventurer en terre inconnue, privilégiant ainsi notre zone de confort. Or, qui ne risque rien n'a rien et peut-être passerons-nous à côté d'un avenir encore plus radieux ? (à condition d'en connaître l'enjeu réel contenu et de prendre des risques calculés).. La sixième problématique est que nous sommes nombreux à vouloir faire...comme la majorité des gens ! Si c'est votre cas, pensez plutôt à réaliser VOS ambitions sans vous occuper des autres et vous verrez, vous en tirerez une énorme satisfaction. Septième piste : se méfier de soi-même (ou plus exactement de notre conscience et de ses messages de mise en garde qui freinent chez nous la prise d'initiative. Il faut au contraire peser calmement le pour et le contre et faire confiance à son instinct. Et foncer! Autre défi : surmonter la peur du qu'en-dira-t-on, ou « peur du ridicule ». Dites-vous bien que le ridicule ne tue pas, et que vous êtes trop génial et trop intelligent pour vous occuper de ce qu'autrui peut dire sur vous. Dernière chose : ne doutez pas de ce que l'inconnu peut vous apporter. La réalité montre que ces situations nouvelles sont la plupart du temps la Source d'opportunités nouvelles. Encore faut-il oser !

 

A vrai dire, je crois profondément (et je ne dis pas cela par flagornerie) que notre peuple a toutes les clefs de la réussite mais qu'il se laisse bien trop manipuler : manipulé par les médias (au service du pouvoir, et dont le rôle est d'endormir les gens, dont voici un exemple https://youtu.be/XaHcuKKJIvM ), il l'est assurément, par nos dirigeants (qui se gardent bien d'exercer par exemple le référendum, craignant par-dessus tout un cinglant désaveu) et par le système tout simplement (qui concentre tous les pouvoirs à l'échelle de la planète, à commencer par votre argent conservé dans leurs coffres !). Et pourtant, s'il se réveillait, le peuple français ferait de grandes choses et occulterait bien des dangers. Nos ancêtres les Gaulois, eux aussi, ont connu bien des invasions et bien des batailles, et ils s'en sortirent toujours ! Comment ne pas m'enorgueillir de descendre de cette tribu-là ? Soyons à la hauteur d'Astérix, d'Obélix et des autres, et ne lâchons rien, ni sur nos libertés fondamentales, ni sur notre droit à décider de ce que nous voulons (ou pas).

 

A ce sujet, j'ai reçu récemment un podcast diffusé par internet et dont voici le lien (https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/Manigance-19-Film/40eb8b47abd34d8a1009c3d976db73bf533934f8/42a756 ) et aussi celle-ci: https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/AlexisCossetteTrudel---Le-Général-Flynn-confirme-le-Coup-d'état-mondial-contre-les-peuples/628ec0eccbb6bee02721296a13b420b9f89fa202/6b5a2d . Je ne garantis pas la véracité des informations qu'ils contiennent, mais je vous l'ai déjà dit lors d'un autre édito, pourquoi se priver d'une source d'information (qui en vaut bien d'autres) dès lors que l'hypothèse évoquée tient la route ? A vous de juger. Par contre, je confirme l'authenticité du message (https://youtu.be/1uXxPZXpuEA) de cette jeune bretonne qui appelle à la mobilisation.

Pour l'heure, je suis comme vous, dubitatif face aux centaines de milliards tombant du ciel pour payer les fins de mois d'une économie rendue exsangue par nos seules élites, mais vigilant sur ce qui nous sera imposé par la suite. Et de surtout savoir ce dont je ne veux pas !

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

La Turquie est assurément un grand pays depuis l'époque des turqueries, mouvement enthousiaste né au 16è siècle de l'intérêt de l'Occident pour la culture exotique de cette nation ottomane pourtant menaçante pour l'Europe: non seulement la Turquie exportait alors musique, arts et architecture, mais elle s'ingéniait aussi à entretenir d'harmonieuses relations commerciales et diplomatiques, comme en témoignera l'alliance franco-ottomane de 1536. Ambassadeurs et négociants occidentaux rentreront de ce pays les yeux remplis de belles images. Et la France de faire honneur à la nation ottomane en jouant « la Marche des Turcs » (Bourgeois gentilhomme, Jean-Baptiste Lully) ou « la Marche turque » (Mozart). A l'heure des ténèbres, le peuple turc doit se rappeler de la grandeur des plus beaux proverbes que son pays offrit jadis à l'humanité : « Ne cherche jamais à abaisser l'homme malheureux, un jour vient où Dieu le relève... » (1905), «Toi qui parle beaucoup, enferme cette langue que tu as dans ta bouche » (1878), «Qui se lève avec colère se couche avec dommage » (1905), «l'amitié véritable est indépendante des événements » (1962)...Voilà la Turquie que j'appelle de mes vœux.

 

SEQUENCE NOSTALGIE :

Diffusé de 1955 à 1974 à la télévision française, le « Petit Conservatoire de la Chanson », plus communément appelé « Petit Conservatoire de Mireille »(https://youtu.be/t1WXDY-fGpw) fut d'abord une émission radiophonique avant de devenir une émission télévisée présentée sous la forme d'un cours de chant donné par Mireille (ci-dessous). C'est Sacha Guitry qui fut à l'origine de ce cours destiné à l'époque aux chanteurs de variétés pour lesquels il n’existait encore aucun enseignement spécifique au Conservatoire de Paris. Mireille, nièce de Charly King, l'inventeur des claquettes, et issue d'une famille de musiciens, apprendra très tôt le piano et le théâtre, puis collaborera avec Jean Nohain. Après avoir séjournée quelques années aux Etats-Unis, elle rentre en France en 1932 pour interpréter la chanson « Couchés dans le foin »(https://youtu.be/awyfdS-t7MU) puis fuit le Paris occupé en 1940 pour se réfugier en Corrèze et participer activement à la Résistance. Amie avec Albert Camus, Jean Cocteau, Yves Montand et Sacha Guitry, elle ouvrira une école de chant qui deviendra le Petit Conservatoire de la Chanson.

 

LE DERNIER SKETCH D'ARNAUD DEMANCHE : https://youtu.be/UH9HBqGsjwE

 

Le 5 novembre, la maison de Victor Hugo va ouvrir ses portes au public après 18 mois de travaux. Création de nouveaux espaces, mise en place d’outils d’information et d’aide à la visite, nouvelles applications, parution d’un beau livre, accompagnent la première exposition rétrospective de l’œuvre de François-Auguste Biard, peintre voyageur (présentée du 5 novembre 2020 au 7 mars 2021).Dès l’accueil (totalement repensé et réaménagé), le visiteur pourra bénéficier de conditions de visites améliorées et enrichies, notamment grâce à de nombreux outils de médiations numériques désormais mis à sa disposition. La première exposition rétrospective consacrée à l’œuvre de François-Auguste Biard, peintre voyageur réunira plus de 145 œuvres en provenance de collections publiques et privées françaises et étrangères et inédites pour bon nombre d’entre-elles. Contemporain de Victor Hugo, Biard (1799-1882) échappe aux définitions et aux genres : artiste «fantaisiste », peintre explorateur, témoin de son temps. Il excelle dans les portraits et les scènes de genre. Ce peintre de genre se voit avant tout en peintre voyageur. Il part en expédition dans le grand Nord entre 1827 et 1828 dont il restitue avec force et poésie les paysages grandioses. Entre 1858 et 1860, il est au Brésil comme ethnographe et naturaliste, il collecte la faune et la flore et peint les tribus indiennes qu’il approche. https://www.maisonsvictorhugo.paris.fr/fr/expositions/francois-auguste-biard et https://soundcloud.com/paris-musees

 

Il est à craindre que les marchés de Noël alsaciens subissent cette année le même sort qu'en Allemagne où les villes allemandes de Fribourg et Karlsruhe ont déjà annulé leur Christkindelsmarkt. La ville alsacienne de Ribeauvillé vient de suivre leurs pas en renonçant cette année à son marché médiéval mais qu’en sera t-il des « vedettes » de Strasbourg ou Colmar et des mythiques comme Kaysersberg ? A suivre...

 

Des stylos-billes uniques à l’image du canal du Midi, c’est l’ambition du partenariat entre la Mission Mécénat de VNF et la fabrique de stylo ardennaise Thilleon. De cette nouvelle collaboration naît une série de stylos en bois baptisée « Riquet » : un hommage à celui qui a écrit l’histoire du cours d’eau. Trente « Riquet » sont envisagés sur dix ans, les trois premiers : le Lauragais, le Malpas et le Naurouze sont en vente depuis le 15 octobre 2020 sur le site de la fabrique Thilleon (https://www.thilleon.fr). Pour chaque Riquet vendu, 15 % des ventes seront reversés au vaste projet de replantation du canal du Midi. Une action solidaire soutenue par des valeurs environnementales communes. Après son partenariat en juin dernier avec Marcel Travel Posters, la Mission Mécénat de VNF continue ses actions en faveur du vaste projet de replantation des arbres du canal du Midi, en s’associant cette fois avec la fabrique des Thilleon. Ce partenariat est né d’une rencontre autour d’une valeur commune : la préservation du patrimoine et de l’environnement. Il donne lieu à la création d’une série de trente stylos, nommée Riquet, à raison de trois par an, qui mettra à l’honneur le cours d’eau à travers des personnages, des lieux ou des ouvrages d’art.

Inscrit au Patrimoine Mondiale de l’UNESCO depuis 1996, le canal du Midi mesurant plus de 240 km de longueur et reliant Toulouse à la mer Méditerranée, est un héritage universel d’exception. Voies navigables de France est engagé dans la préservation de ce patrimoine richement arboré. Malheureusement, depuis quelques années le canal est confronté à une épidémie qui menace sa voute arborée, tant appréciée par les riverains et voyageurs. Le chancre coloré est une maladie provoquée par un champignon microscopique qui s’attaque aux nombreux platanes qui le bordent. Il se propage et détruit peu à peu ce patrimoine inestimable. L’unique solution pour éradiquer ce champignon est d’abattre et de brûler les arbres touchés. La Mission Mécénat de VNF a été créée en 2013 par Voies Navigables de France, avec pour but de recueillir des dons à destination du vaste projet de replantation du canal du Midi. Des actions de sensibilisation et de collecte sont menées, tout au long de l’année, auprès des entreprises et du grand public.

 

Du 4 novembre 2020 au 22 février 2021, le MUCEM (13) présente l'exposition « Folklore » : Sait-on que Vassily Kandinsky a commencé sa carrière en tant qu’ethnographe en Russie ? Que l’arrière-grand-père de Constantin Brâncuși était un bâtisseur d’églises traditionnelles en Roumanie ? Que Natalia Gontcharova a développé une peinture abstraite en s’inspirant de costumes espagnols, ou encore que Joseph Beuys déclarait voir dans le folklore un outil de compréhension pour le futur ? Des prémices de l’art moderne à l’art le plus actuel, cette exposition, conçue par le Centre Pompidou-Metz et le Mucem, retrace les relations parfois ambiguës qu’entretiennent les artistes avec le folklore. Elle permet également la rencontre entre histoire de l’art et histoire des sciences humaines : en effet, grâce aux fonds du Mucem, héritier du musée national des Arts et Traditions populaires, elle dévoile en parallèle l’invention d’une discipline, et permet des face-à-face inattendus. L’exposition présente plus de 360 œuvres et objets, dont 190 pièces issues des collections du Mucem et près de 170 œuvres d’art moderne et contemporain dont une grande partie est conservée au musée national d’Art moderne, Centre Pompidou.

L’exposition s’ouvre sur le fantasme d’une quête des origines, l’attrait d’un « exotisme de l’intérieur », ou de supposées survivances archaïques qui guident Paul Gauguin, Paul Sérusier et les nabis en Bretagne à la fin du XIXe siècle, mais aussi Vassilly Kandinsky et Gabriele Münter lorsqu’ils s’installent en Bavière, ou encore Constantin Brâncuși, évoquant les traditions artisanales de son pays natal. Et de se poursuivre en montrant que le folklore a également constitué pour les artistes un vivier de formes et un répertoire inépuisable de motifs et de techniques, ayant contribué au renouvellement du vocabulaire des arts plastiques, comme l’illustrent les travaux d’ateliers du Bauhaus ou de Sophie Taeuber-Arp, ou les peintures de Natalia Gontcharova, entre autres. Enfin, à l’ère de la mondialisation, qui s’accompagne d’une tendance à l’uniformisation, et dans laquelle sont perpétués des folklores créés de toutes pièces pour l’industrie touristique, l’exposition explore les paradoxales « nouvelles géographies du folklore » qui, à l’instar des populations, continuent de se déplacer avec elles, et ne cessent d’être revisitées, voire réinventées par les artistes. https://www.mucem.org/programme/exposition-et-temps-forts/folklore


Promenades folkloriques dans Marseille (13) les 7 et 21 novembre, 27 décembre 2020, 3, 13 & 14 janvier et 6 et 20 février 2021 à 14h30 au MUCEM J4. Une série de balades dans Marseille, organisée autour de l'exposition « Folklore » pour décortiquer ce qui fait le « folklore » de cette ville : histoires, coutumes, traditions. Comment se sont formées ces constructions identitaires au cours du temps ? Que nous disent-elles du Marseille « d’avant » et de la ville d’aujourd’hui ? Et d’ailleurs, qu’est-ce qui fait le folklore marseillais en 2020 ? Ces balades urbaines seront animées par un guide du Mucem ou bien par le sociologue Rémi Boivin (les 7 novembre, 13 et 14 janvier). Départ à l'accueil du MUCEM J4. Durée de la promenade : 2h30.

Découvrez les Trésors de Rhénanie-Palatinat sur le nouveau site de l'Allemagne romantique : https://www.allemagne-romantique.fr/?utm_source=pm2&utm_medium=newsletter&utm_term=&utm_content=&utm_campaign=pm_okt_20_f . Depuis le 23 septembre 2020, le nouveau site web « l’Allemagne Romantique » s’illumine aux couleurs de l’automne. Si vous avez toujours voulu voyager en Allemagne, si vous pensez déjà à vos prochaines vacances ou si vous avez simplement envie de découvrir cette région, vous pourrez y retrouver des histoires inspirantes et des offres virtuelles à apprécier depuis votre canapé. Par exemple, une randonnée de haut niveau : Le Rheinsteig, circuit de randonnée longue distance le plus populaire d’Allemagne, pas uniquement réservé aux habitants de la région. Ce circuit de 320 km passe par la petite ville de Coblence, située au croisement du Rhin et de la Moselle, formant une vallée montagneuse très pittoresque. Les sentiers, souvent étroits, ainsi que les ascensions exigeantes emmènent les amateurs de nature à travers les forêts et les vignobles, débouchant sur des panoramas spectaculaires depuis les châteaux et palais de la région. Qu’il s’agisse d’une randonnée longue distance ambitieuse ou d’un circuit court, les sentiers sont parfaitement balisés et bien reliés pour laisser place à la spontanéité. Découvrez les meilleures étapes du Rheinsteig et d’autres circuits de randonnée en Allemagne Romantique grâce au Tourenplaner (guide touristique) de la Rhénanie-Palatinat.

Le circuit Saar-Hunsrück-Steig, lui, mène au pont Geierlay, l’une des constructions les plus impressionnantes de la région, un vrai chef-d’œuvre architectural. Long de 360 mètres, le pont suspendu est l’un des points forts de cette randonnée et vous laissera à coup sûr un souvenir inoubliable. En pleine nature, à une hauteur vertigineuse, vous pourrez profiter des magnifiques couleurs automnales qui illuminent la région.

Une pause royale au Kueser Plateau s'impose également :  au-dessus de la petite ville pittoresque de Bernkastel-Kues se trouve non seulement le magnifique château de Landshut, mais aussi une véritable oasis de détente. Le Kueser Plateau, qui a reçu le titre de « heilklimatischer Kurort » (« station climatique curative »), vous accueillera après votre ascension. C’est le lieu idéal pour se détendre : promenez-vous dans ses bois et ses prairies, ressourcez-vous, respirez profondément, profitez de l’air pur et laissez le stress de la vie quotidienne derrière vous. Pour les plus sportifs, le site propose différentes activités, comme la marche nordique, le tennis ou l’équitation. Il n’y a pas que les randonneurs qui possèdent une multitude de découvertes à faire. L’Allemagne Romantique regorge de possibilités pour ceux qui préfèrent prendre leur vélo. Par exemple, la piste cyclable Moselradweg, composée de dix étapes, vous permettra d’explorer les paysages automnaux de la région. Le point d’orgue de ce circuit n’est autre que le vignoble le plus pentu d’Europe, le Calmont, que l’on peut admirer depuis la vallée. Les petits villages mosellans, ainsi que les différents châteaux de la région sont eux aussi à ne pas manquer, comme les ruines du château de Grevenburg, qui surplombent Traben-Trarbach, ou le Reichsburg au-dessus de Cochem. Sans oublier les tavernes traditionnelles allemandes, qui seront l’endroit idéal pour vous reposer après un long parcours. Vous pourrez y déguster un délicieux verre de vin, accompagné d’un bon repas.

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Du 3 au 8 novembre 2020, Bertrand De Miollis vous convie à découvrir son exposition «Circumnavigations» à la Galerie Artismagna (5, rue de Médicis, Paris 6è). La circumnavigation est un concept géographique, cher aux caractères audacieux qui depuis l'Antiquité ont cette volonté de circonscrire les terres connues et inconnues. Or, dit le poète, découvrir le monde c'est se découvrir soi-même. Pour Bertrand de Miollis, les peintures ont ainsi une valeur “cartographique”. Elles marquent le lieu qui porte la pensée et le plein sentiment de l'artiste. La peinture de Bertrand de Miollis nous apprend que le mystère peut être figuré par la simple présence lumineuse des choses, ici se trouve le lyrisme et le génie du peintre, le chant de l’âme de l’artiste.

 

Le couvre-feu, suivi depuis le week-end dernier d'un confinement général, est devenu une réalité pour les Français. Il existe toutefois différentes dérogations pour les personnes se retrouvant dans l'obligation de se déplacer entre 21h et 6h du matin, dont les voyageurs. Ainsi toutes les personnes qui devront, lors des 4 prochaines semaines, prendre un vol ou un train, même dans le cadre d'un voyage et pas seulement pour leur travail, pourront se déplacer durant le créneau de l'interdiction. Malgré cette dérogation, les voyageurs devront fournir une attestation dérogatoire en version papier ou numérique (que vous pouvez télécharger ici :https://media.interieur.gouv.fr/attestation-couvre-feu-covid-19/). De plus, il convient de rappeler à l'ensemble de vos clients qu'il est indispensable de présenter en cas de contrôle de police, en plus de l'attestation dérogatoire, les billets de train ou vol. Les personnes ne pouvant pas fournir ces deux documents écoperont alors d'une amende de 135 euros.

Côté confinement, on assiste au retour de l'attestation n'autorisant que certains déplacements. Merci de vous rendre sur le site du ministère de l'Intérieur pour plus de détails : https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Attestation-de-deplacement-et-de-voyage


 

Campagne de restauration d’envergure de la « Merveille »à l’abbaye du Mont-Saint-Michel (50) : Cette grande campagne de restauration a pour objectif la restauration des façades et des toitures de la « Merveille », la partie la plus emblématique du monument, joyau de l’architecture gothique qui abrite notamment le célèbre cloître. La tâche est immense : les quelques 8000 m2 de façades du bâtiment, ainsi que l’ensemble des couvertures, vont mobiliser de nombreux savoir-faire liés au patrimoine, notamment à travers l’intervention d’une trentaine de compagnons, tous spécialistes dans leur domaine. Deux ans et demi de chantier, des échafaudages d’une hauteur équivalente à celle de l’Arc de triomphe, et un budget de près de sept millions d’euros : les grands travaux, qui vont débuter dans les prochaines semaines à l’abbaye du Mont-Saint-Michel, sont à la hauteur de ce monument d’exception. Ces travaux d’envergure débuteront à partir d'aujourd'hui, 2 novembre 2020, avec les premières rotations d’héliportage pour la mise en place des installations de chantier. Elles permettront d’acheminer notamment les échafaudages qui viendront progressivement couvrir le monument, puis les matériaux nécessaires à la restauration. Un ascenseur sera installé le long de la façade afin d’accéder plus rapidement aux niveaux supérieurs du chantier.  A l’origine de la décision d’entreprendre une telle campagne de restauration, figure le constat d’une dégradation sanitaire importante du bâtiment: l’auscultation de ses hautes façades de granit par des cordistes et des drones avait révélé une altération de la pierre ainsi que des infiltrations d’eau. Certaines parties sont en effet recouvertes d’une couche très dense de lichen et de mousse, des surfaces conséquentes de parements se délitent et les ardoises des couvertures - vieilles de près de 150 ans - doivent être changées… une intervention approfondie de restauration est aujourd’hui nécessaire. Vitraux et menuiseries extérieures feront aussi l’objet d’interventions de révisions selon leur état de restauration.


 

Selon une enquête initiée par Camping-car Park, auprès de 500000 camping-caristes, le baromètre du tourisme en camping-car nous apprend qu'au palmarès des régions françaises. La Bretagne est la 1ère destination régionale, un rang qu’elle occupait déjà dans les prévisions estivales, et devrait accueillir pour la prochaine saison 17,6% des camping-caristes, soit environ 527 000 nuits, juste devant la Nouvelle Aquitaine (17,3%), qui conserve sa seconde place estivale et confirme l’attrait de la façade atlantique. L’Occitanie (13,5%) ferme le podium, suivie par l’Auvergne-Rhône-Alpes (9,3%), les Pays de la Loire (9%) et la Normandie (7,7%).

A la question : « Quels sont vos mois préférés » ? 85% des répondants souhaitent partir cet automne : 49% en octobre hors vacances de la Toussaint, 29% pendant les vacances. Les intentions de départ se stabilisent ensuite avec 22% des répondants qui partiront en novembre et 23% en décembre, réparties équitablement entre vacances de Noël (12%) et hors vacances (11%).

Côté durée de séjour, près des trois quarts (73%) des camping-caristes prévoient de partir moins de 15 jours : 20% pour un weekend, 26% pour une semaine et 27% privilégiant deux semaines. Les séjours de quatre semaines ou plus séduisent néanmoins 12% des camping-caristes. Partir, l'affaire est entendue, mais pour aller où ? Sans surprise et d'après les destinations les plus prisées, les camping-caristes privilégient les promenades au bord de la mer ou de lacs et rivières (84%), devant la visite de villes et villages (82%). Viennent ensuite les balades à pied et randonnées (75%), devant les balades à vélo (65%). L’achat de produits du terroir séduit un peu plus (49%) de gourmets que la visite de musées, monuments et lieux de patrimoine (47%). C'est que ce secteur économique recèle tout de même un enjeu économique de 147 millions d’euros. L’étude fait ressortir une prévision de trois millions de nuits entre octobre et décembre 2020. Et l’apport économique des camping-caristes à l’économie française au cours de la saison automnale d'être ainsi estimé à 147 millions d’euros. En effet, un couple de camping-caristes dépense en moyenne 49 euros par jour (40 euros pour les acteurs économiques locaux et 9 euros pour l’hébergement).

 

Le Futuroscope de Poitiers d'ici à 2025 : le parc d'attractions prévoit un plan d’investissement majeur de 300 millions d’euros d’ici 10 ans (dont les deux tiers avant 2025). Ce programme 2020- 2030 a pour ambition de densifier l’offre du Parc du Futuroscope tout en créant un véritable ensemble de plus de 22 hectares. Et de projeter dans les cinq ans à venir d’introduire dans son offre trois attractions majeures (d’un budget de 20 millions d’euros chacune), d’amplifier le renouvellement des animations existantes tout en étoffant son contenu par le déploiement d’expériences interstitielles (espaces paysagers, installations artistiques, concepts de restauration) destinées à doper l’expérience globale de visite, un projet qui prévoit la création de 750 emplois. Dès 2022, l’attraction "Chasseurs de Tornades", aventure immersive mêlant décors réels, spectacle vivant et plateforme rotative dynamique de 120 places, sera lancée. 2024 verra l’ouverture du parcours aquatique indoor et outdoor "Mission Bermudes". « l’Aquascope", prolongera ainsi le séjour des visiteurs et proposera des activités aquatiques multiples et à sensations, dans une atmosphère inédite, fidèle à l’identité technologique et immersive du Futuroscope. Une troisième attraction majeure est, enfin, annoncée pour 2026.
A proximité immédiate du Parc, sera proposée une offre hôtelière thématisée comprenant deux hôtels haut de gamme: l’un de 76 chambres sur le thème de l’espace, "Station Cosmos" (ouverture printemps 2022), auquel sera adossé un restaurant à looping unique en France. L’autre, insolite et écologique, de 120 lodges familiaux avec terrasse (ouverture en 2023).
L’ensemble s’articule autour d’une "plaza" ouverte sur l’extérieur, végétalisée et festive, offrant au site de nouveaux espaces de jeux et de partage. Cette stratégie trouve un écho avec l’ouverture cet été de zerOGravity, simulateur de chute libre indoor, et de la future Arena Futuroscope, initiée par le département, un amphithéâtre (de 1 372 à 6 000 places) dédié à la culture, au sport, au divertissement, ainsi qu’à l’organisation de conventions. Des spectacles produits par le Futuroscope seront également proposés aux visiteurs. Son ouverture est prévue au printemps 2022. A l’issue de ce programme, le Futuroscope espère dépasser 2,5 millions de visiteurs par an (soit 650 000 visites supplémentaires à la fréquentation d’aujourd’hui) et augmenter son chiffre d’affaires de 75%. https://www.futuroscope.com/fr/


 

Le secteur aérien, l’un des plus touchés par la crise sanitaire du Covid-19 en quelque chiffres : Entre 895 et 928 millions d'euros de perte avant impôts pour l'exercice 2019-2020 chez EasyJet (première perte de son histoire). D'après IATA, le transport aérien mondial dépense encore 13 milliards de dollars de cash chaque mois au second semestre 2020. 419 milliards de dollars, c'est le montant du chiffre d'affaires perdu par les compagnies aériennes cette année. Les compagnies américaines licencient des dizaines de milliers de personnes aux Etats-Unis. Côté constructeurs, on attend 16000 licenciements chez Boeing, 15000 chez Airbus et 2500 chez Bombardier. -15%, c'est la baisse des prix des billets d'avion observée en août par rapport à 2019. -66% est la baisse de prévision de trafic pour cette année (contre -63% auparavant par rapport à 2019), toujours selon IATA.

Nouvel att »raies » à Nausicaa (Boulogne-sur-Mer) : depuis octobre, deux raies pastenagues géantes à tâches noires ont rejoint le grand bassin de l'exposition « Voyage en Haute Mer » de Nausicaá. Celles-ci rejoignent les congénères déjà présentes dans le grand bassin : la raie manta, les raies guitares fouisseuses, les raies aigles et les raies mantes diables. Ces deux raies pastenagues sont impressionnantes, la plus grande d'entre elles mesurant 1,5 m d'envergure pour 2,6 m de long et un poids de 120 kg. Delta est un peu plus petite et mesure 1,20 m d'envergure pour une longueur de 2 m et pèse 60 kg. La raie pastenague à tâches noires a un corps arrondi, comme un disque épais et une queue plutôt courte. Comme les autres raies pastenagues, elle a une épine venimeuse sur la queue. Cette raie est l'une des plus grandes raies au monde. Elle peut mesurer jusqu'à 1,80 m d'envergure et peser plus de 150 kg. On la rencontre dans la région Indo-Pacifique et sur le littoral des îles du large telles que Malpelo, les îles Cocos ou les îles Galapagos. L'animal est vivipare et peut avoir jusqu'à sept jeunes à la fois. https://www.nausicaa.fr/


A 40 minutes de Bordeaux, sur la rive gauche de la Garonne et à deux pas de l’Océan Atlantique, la route des vins traverse les appellations de Sauternes et Barsac sur plus de 50km. Pour les découvrir, des Journées Portes Ouvertes auront lieu les 7 et 8 novembre 2020 de 10h à 18h chez une cinquantaine de vignerons. Au programme : initiations à la dégustation, visites guidées des châteaux, chais et parcs, expositions d’art et d’artisanats, balades en calèche, conférences, marchés de producteurs, rencontres musicales... L’occasion de vivre de véritables moments de partage avec les hommes et les femmes qui produisent les vins de Sauternes et Barsac dans les cinq villages des appellations : Barsac, Bommes, Fargues, Preignac et Sauternes.

Traditionnellement, les vins liquoreux se dégustent avec le poulet rôti du dimanche, du foie gras ou encore un gâteau au chocolat. Aujourd’hui on ose, on bouscule les codes, on change peu à peu la perception de ces vins et on va chercher des consommateurs plus jeunes ! Pour cela, des mixologistes imaginent des cocktails « tendances » pour que le Sauternes redevienne la nouvelle boisson à la mode ! Bars à vins, « Afterworks », « Happy Hours » et surtout les apéritifs dinatoires, c’est sur des modes de consommation plus nomades que la nouvelle direction veut orienter sa communication. A boire seul ou en cocktail, le Sauternes devient le vin décomplexé par excellence et révèle sa palette de 50 arômes à travers une myriade d’associations, avec des mets ou avec d’autres boissons. Saviez-vous que celui-ci est le seul vin qui se conserve trois semaines au réfrigérateur ? Sa production est concentrée autour de cinq villages, représentant 140 vignerons qui cultivent trois cépages sur 1900 hectares pour donner naissance à ce vin aux 50 arômes et aux deux appellations. Cinq millions de bouteilles de ce nectar sont annuellement produites (dont 30% des ventes sont destinés à l'export). Bonne dégustation ! https://www.tourisme-sud-gironde.com/vignobles-routes-des-vins/sauternes-barsac/

 

Le Musée du quai Branly-Jacques Chirac vous convie au spectacle Masques et danses des maîtres du fleuve les 7 et 8 novembre 2020. La légende désigne ce peuple mandingue, aussi appelé “maîtres du fleuve”, comme les descendants de Faaro, esprit de l’eau et dieu créateur du monde. La sortie des masques et marionnettes, temps fort des fêtes rituelles organisées par les associations de jeunes du village, est accompagnée de danses exécutées au rythme des chants et des tambours. Cette forme de théâtre total, où les danseurs masqués alternent avec les grands masques d’animaux réels ou imaginaires, célèbre le mythe des origines des Bozo et matérialise le lien entre le monde des esprits et celui des hommes. Ces rassemblements festifs représentent un moment important de la vie sociale où les chants qui accompagnent les masques adressent un message à la communauté : ils se font critiques des comportements perçus comme négatifs et encouragent la bonne conduite de l’individu dans la société. Réunissant sur scène dix acteurs et musiciens, ce spectacle inédit présente la grande variété des bozo, des masques de jour à l’image du cheval, de l’antilope et de l’oiseau aux masques de nuit représentant le scorpion, le crocodile ou le poisson-capitaine. https://www.quaibranly.fr/fr/

 

Balads, la 1ère application mobile de séjours touristiques : un nouvel acteur du voyage d'agrément propose des séjours uniques, disponibles directement sur l’application mobile Balads. Il s'agit là d'une approche nouvelle du tourisme et d'une solution mobile flexible, permettant de s’adapter en temps réel aux contraintes sanitaires actuelles, en proposant des tout-en-un thématiques complets, originaux et sécurisés. Chaque programme donnant accès à de courts séjours d’une à trois nuits, solution idéale pour vivre de nouvelles expériences au cœur des régions françaises, en duo, entre amis ou en famille. Créée par Jérôme et Aymeric Ravet, Samir Moussouni et Laurent André, Balads naît de la volonté de concevoir un guide touristique digital, pour accompagner les amoureux de l’automobile dans leurs périples. Et de reléguer peu à peu la conduite au second plan, pour donner naissance à des histoires, agrémentées de temps forts : ces Balads sont en effet des invitations à des voyages uniques pour toute la famille, sur les thèmes de l’aventure, la nature, le bien-être, la gastronomie, le sport ou encore la culture.

Chaque Balads est scénarisée afin de faire vivre aux participants une expérience voyage inédite. Les lieux visités, routes et activités sont choisis en fonction de la thématique sélectionnée par les voyageurs et les plongent dans un univers unique. Ils sont ainsi amenés à découvrir (ou redécouvrir) des lieux mythiques ou plus confidentiels sous un autre angle. L’expérience est au cœur du concept développé par les fondateurs, en collaboration avec des professionnels qualifiés, qui partagent le même projet.

Balads, c’est aussi une application mobile inédite, permettant ainsi d’utiliser les nouvelles technologies pour permettre la découverte de sites exceptionnels et la digitalisation des outils touristiques traditionnels dans le but d'offrir aux voyageurs toujours plus de liberté et de sécurité.La technologie est alors mise au service de l’expérience, grâce à des fonctionnalités pratiques et ludiques, permettant de retrouver l’intégralité de son voyage dans l’application, ainsi que ses billets d’accès et autres justificatifs de réservation. L’application comprend également un système de navigation pour les déplacements en voiture, vélo ou piétons, ainsi que des guides visuels ou audio des lieux visités. Autant d’options permettant de profiter de sa Balads à 100%, en totale autonomie et en toute sécurité.

Pour vos premiers pas : télécharger l’application mobile disponible sur l’Apple Store ou Playstore (disponible en plusieurs langues), choisir sa thématique et/ou le temps dont on dispose pour s’évader, sélectionner sa Balads, payer en une seule fois (évitant ainsi aux voyageurs d'utiliser leur carte bancaire durant leur séjour (hors prestations non incluses)) et lancer la navigation le jour du départ dans son véhicule : Balads vous guide de lieu en lieu, tout en générant une expérience agrémentée de guides audios et visuels, et des e-tickets pour les visites émis automatiquement. Bon voyage ! https://www.balads.agency

Airbus a dévoilé trois concepts préfigurant le premier avion commercial zéro émission au monde, dont la mise en service est prévue en 2035. Chacun de ces concepts présente une approche différente du vol zéro émission, explorant diverses pistes technologiques et configurations aérodynamiques afin de soutenir l’ambition d’Airbus qui entend se positionner comme chef de file dans la décarbonisation de l’industrie aéronautique.Tous ces concepts utilisent l’hydrogène comme source d’énergie principale — une option qui, selon Airbus, s’avère exceptionnellement prometteuse comme carburant aéronautique propre et qui pourrait permettre à l’industrie aérospatiale et à de nombreux autres secteurs d’atteindre leurs objectifs de neutralité climatique.

Tous désignés sous le nom de code « ZEROe », les trois concepts pour le premier avion commercial zéro émission climatiquement neutre sont les suivants : Un concept de turboréacteur  (120-200 passagers) capable d’effectuer des vols intercontinentaux de plus de 3500 km, alimenté par une turbine à gaz modifiée fonctionnant à l’hydrogène, au lieu du kérosène, par combustion. L’hydrogène liquide sera stocké et distribué grâce à des réservoirs situés derrière une cloison étanche arrière. Un concept de turbopropulseur (capable d’embarquer jusqu’à 100 passagers) utilisant un moteur turbopropulseur au lieu d’un turboréacteur, également alimenté par la combustion d’hydrogène dans des turbines à gaz modifiées, et capable de parcourir plus de 1800 km. Une option idéale pour les vols court-courriers. Un concept d’aéronef à fuselage intégré  (jusqu’à 200 passagers), dont la voilure se fond dans le fuselage principal de l’appareil et qui présente un rayon d’action comparable à celui du concept de turboréacteur. Le fuselage exceptionnellement large offre de multiples possibilités pour le stockage et la distribution d’hydrogène, ainsi que pour l’aménagement de la cabine.

Pour faire face à ces défis, les aéroports auront besoin d’importantes infrastructures de transport et de ravitaillement en hydrogène pour répondre aux besoins des opérations quotidiennes. Le soutien des gouvernements sera déterminant dans la réalisation de ces objectifs ambitieux, grâce à un financement accru de la recherche et de la technologie, à la transformation digitale et aux mécanismes qui encouragent l’utilisation de carburants durables mais aussi le renouvellement des flottes d’avions, afin de permettre aux compagnies aériennes de retirer plus rapidement du service les appareils plus anciens et moins respectueux de l’environnement.

L'électricité, une solution d'avenir pour voyager : Les véhicules électriques ne cessent de gagner en autonomie, ce qui permet à leurs utilisateurs de réaliser de véritables roadtrips. Il s’agit d’ailleurs d’une tendance touristique selon le magazine Lonely Planet qui gagnera du terrain avec la progression des itinéraires comportant des bornes de recharge à distance raisonnable et en quantité suffisante. Ainsi, certaines destinations encouragent les entreprises de l’industrie touristique à se doter de tels équipements pour ainsi favoriser leur fréquentation par cette clientèle, tout en encourageant le virage vers des transports plus durables. L'Etat du Colorado (Etats-Unis) présente ainsi les avantages, pour l’industrie comme pour les voyageurs, de favoriser les déplacements touristiques en véhicule électrique en mettant en service de nouvelles infrastructures (comme par exemple la « Electrified Byway » qui garantira au conducteur de véhicule électrique une présence et une répartition de stations de recharge suffisantes pour se sentir en sécurité) et de équipements (bornes de recharge électrique qui ne sont pas limitées à un seul type d’emplacement et peuvent être installées à l’endroit où l’on souhaite voir des voyageurs s’arrêter) .D'autres routes comme les Electrified Byways attireront une clientèle sensibilisée à l’environnement et au respect de la nature . En Oregon (Etats-Unis), l'Etat qui détient l’un des réseaux de bornes de recharge rapide les plus développés des États-Unis, propose déjà des routes touristiques bien équipées pour accueillir les voyageurs en véhicule électrique. Ces bornes sont réparties à travers le territoire dans divers types d’entreprises largement impliquées dans un tourisme plus durable, offrant ainsi à l'usager plusieurs itinéraires. Dans la Willamette Valley, des viticulteurs se sont regroupés en réseau pour offrir une route qui s’intitule Plug & Pinot : chaque vignoble offre des bornes de recharge permettant aux occupants de la voiture de visiter les lieux et de procéder à une dégustation le temps que le véhicule recharge ses batteries.

En juin 2020, l’Association des Véhicules Électriques du Québec (AVEQ) dénombrait plus de 76 500 certificats d’immatriculation de voitures électriques dans la province. Soit une progression de 44 % sur une même année, conséquence directe du COVID19 (cette croissance annuelle était plutôt de 70 à 80 % au cours de ces deux dernières années). L’installation de bornes à travers la province va bon train. Le Circuit Électrique, réseau public alimenté par Hydro Québec, est à ce jour le plus étendu avec plus de 2 500 bornes de recharge, dont 305 bornes rapides. Plus d’une centaine d’autres seront en principe déployées de part et d’autre de la province au cours des deux prochaines années. Un ajout qu s’inscrit dans l’objectif d’Hydro-Québec, annoncé en janvier 2019, concernant l’implantation de 1600 stations de recharge rapide sur dix ans.

En Israël, l’entreprise Electreon planche sur un projet qui permet aux véhicules de se recharger en cours de voyage, et grâce à la route. Des fils de cuivre connectés situés sous l’asphalte transmettent en effet l’énergie aux véhicules qui y circulent. Un projet-pilote est actuellement en cours dans la région de Tel-Aviv alors que la Suède possède déjà une telle infrastructure (laquelle fut d'ailleurs développée par une branche suédoise de l’entreprise israélienne). La Smartroad Gotland, est ainsi le premier système de route électrique sans fil au monde, permettant pour l’instant de recharger des camions et des autobus en mouvement.




 

Le « Guide du patrimoine près de chez vous », ouvrage de Camille Viéville, historienne de l'art, redessine la carte de France du patrimoine. Ce nouveau guide présente les plus beaux de ces sites et contient toutes les informations pratiques nécessaires pour les visiter. Châteaux, églises, moulins, théâtres, maisons d’écrivains, hôtels particuliers : autant de lieux qui frappent par leur originalité et qui témoignent de la diversité du patrimoine industriel ou rural propre à nos 18 régions.

Chaque site emblématique fait l'objet d’anecdotes et de témoignages inédits (artisans d’art et porteurs de projets) qui donnent une idée du caractère vivant de notre patrimoine et nous font prendre la mesure de la richesse de notre « trésor collectif ». En complément sont proposées de nombreuses cartes pour suggérer aux lecteurs des itinéraires de visite à travers toute la France !

L'ouvrage est préfacé par Stéphane Bern dont la mission, depuis trois ans, s’est engagée dans la restauration de 54 sites. Dès lors, pour chaque exemplaire vendu au prix de 15 €, près d’1,20 € seront reversés à la Mission Stéphane Bern. Construit autour de parcours proposés au lecteur, ce guide dévoile au fil des pages des anecdotes, témoignages ou récits d’histoire et toutes les informations pratiques nécessaires pour visiter ces joyaux du patrimoine.Disponible depuis octobre sur : www.boutiquesdesmusees.fr

Saint-Benoit-sur-Loire (Loiret) qui abrite l'abbaye de Fleury, un des joyaux architecturaux de la France, a inauguré il y a un an le centre d'interprétation Belvédère dédié à l'histoire de ladite abbaye. Et ce centre d'accueillir actuellement l'exposition « Des tapis de marbre pour Saint Benoit, le pavement en opus sectile de Saint Benoit sur Loire », à découvrir cette semaine. Par ailleurs, il est primordial de faire lire l'édito de ma lettre auprès du plus grand nombre de personnes. Je compte sur vous pour faire suivre au maximum. Merci par avance !

Avertissement : compte tenu du confinement général imposé par les autorités, il est probable que certaines manifestations annoncées dans cette lettre soient annulées ou reportées. Renseignez-vous au préalable ! Attendez-vous aussi à une semaine riche en évènements (troublants!)

Yves


Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Etats-Unis 3) Canada 4) Belgique 5) Maroc 6) Argentine 7) Australie 8) Allemagne 9) Royaume-Uni 10) Inde




Saint-Benoit, du Monastère au Belvédère (Saint-Benoit-sur-Loire, Loiret, France)


Otage de la crise du coronavirus, mais pas encore assigné à résidence, je mets à profit le temps dont je dispose entre deux couvre-feux pour découvrir à distance notre patrimoine national. Alors qu'à la seule évocation d'Orléans, je susurre « Jeanne d'Arc » qui donna sa vie pour bouter l'envahisseur anglais hors de France, des noms aussi évocateurs que Saint-Benoit-sur-Loire (45), domaine de Fleurius ou abbaye de Fleury ne pouvaient qu'attiser ma curiosité. Pourquoi aller chercher ailleurs ce qu'on a sous les yeux ? A savoir le Belvédère, un centre d'interprétation dédié à l'histoire et au patrimoine de ladite abbaye (...)


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