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Lettre envoyée le 28/12/2020


 

Lundi 28 décembre 2020                                                                                          La Lettre N°514

 

 

Du Poker menteur...à la confiance forcée !

 

On m'avait prédit que ce foutu 21è siècle signerait le retour de dictatures et des conflits religieux dans le monde. Nous y sommes, avec ce virus de malheur qui donne à nos gouvernants TOUS les droits (du moins le croient-ils) sur notre peuple pour bafouer les libertés fondamentales des droits de l'homme, à travers états d'urgence, couvre-feux et périodes répétées de confinement, puis bientôt, la détention forcée à votre domicile ou dans un centre prévu à cet effet si vous refusez de vous faire vacciner. Un projet de loi prévoit également de permettre à l'administration de violer le secret de votre dossier médical. Jusqu'où iront-ils ?

 

Je ne suis pas dans le secret des dieux mais je subodore que cette crise sanitaire n'est pas le fruit du hasard. Celle qu'on appelle pandémie arrange bien les adeptes du grand reset (à quand l'état d'urgence économique pour vider nos comptes bancaires?) et les investisseurs de l'industrie pharmaceutique qui vendent leurs vaccins à prix d'or, des vaccins dont on ne connait (pratiquement) rien de leur efficacité (où sont les études scientifiques?) et qu'on s'apprête à vous injecter de force, sous peine de vous interdire sortir de chez vous (malgré l'article 13 de la Déclaration universelle des droits de l'homme - https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/), une telle idée étant alors impensable il y a encore quelques années. Et pourtant, à moins de deux ans des élections présidentielles, un eurodéputé EELV et une député LREM se disent favorables au vaccin obligatoire et à un « Ausweis » vert pour les Français....passeport largement inspiré des idées rouges chinoises puisque ce pays impose, entre autres, le vaccin à ses ressortissants pour voyager hors de Chine. Et comment riez-vous après avoir mélanger le vert et le rouge ? Allez, cherchez bien. Car sans polémiquer sur tel ou tel vaccin (je n'en ai ni l'envie, ni la compétence), posez-vous tout simplement la question suivante : achèteriez-vous une voiture non garantie par le constructeur ? Ne trouveriez-vous pas bizarre que le constructeur qui a conçu ce véhicule soit si peu sûr de son produit qu'il se défausse par avance de tout ce qui pourrait arriver par la suite? C'est exactement ce que font les laboratoires pharmaceutiques en dégageant par avance leurs responsabilités pour les conséquences malheureuses qui pourraient apparaître après l'injection de leur vaccin. Douteraient-ils à ce point de la qualité de leur produit pour rejeter les recours éventuels sur les pays acheteurs et éviter de divulguer en toute transparence le résultat de leurs études scientifiques (dont les effets indésirables possibles)? Et l'on s'étonne de la défiance de nos concitoyens (ou « cons-citoyens » pour certains de nos dirigeants!) vis à vis de la vaccination? Un produit éprouvé n'a pourtant rien à craindre du public qui l'utilise. Oui mais... voilà que les dirigeants politiques prennent maintenant le relais, en pariant d'abord sur la méthode (médecine?) douce, puis, devant l'absence évidente de confiance des Français, d'imposer « la manière forte » sans débat parlementaire et par simple décret (au mépris du respect de la Constitution française du 4 octobre 1958 (https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/texte-integral-de-la-constitution-du-4-octobre-1958-en-vigueur) dont l'article 2 mentionne pourtant « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » et l'article 4 qui dit que « la loi garantit les expressions pluralistes des opinions et la participation équitable des partis et groupements politiques... »). Vous me direz que, depuis le non-respect des résultats français (malgré l'article 3 de la Constitution française) au référendum sur le Traité de Maastricht, ma confiance en nos représentants s'est beaucoup étiolée (ceux-ci reconnaissant qu'ils ignorent si le vaccin empêchera la transmission du virus, ni s'il y aura des effets secondaires, tout en soutenant malgré tout dans un premier temps la vaccination massive de 14 millions de Français (seniors) avant l'été 2021). Quid du principe de précaution ? Et des risques éventuels liés à l'injection d'un « vaccin » ARN non encore expérimenté avec recul sur l'homme ? Comme dirait l'autre «Chat échaudé craint l'eau froide »(souvenons-nous du scandale du sang contaminé survenu dans les années 1980, qui fit à l'époque des centaines de milliers de morts martyrs, ou personnes ayant contracté l'hépatite C, voire le VIH, lors de transfusions dans notre pays pour une ...simple question d'argent ! (https://www.aavac.asso.fr/actus_erreur_medicale/victimes_oubliees_scandales_medicaux.php). Ne l'oublions jamais !

 

L'internement de force du Professeur Jean-Bernard Fourtillan (https://youtu.be/J6DE0yREIFc) a éveillé les consciences, du moins en apparence. L'homme, accusé par certains de complotisme (mot magique qui marginalise le citoyen contestataire, à défaut de le contraindre à rentrer dans le rang) a finalement été relâché il y a quelques jours, sous la pression médiatique des manifestants d'une part, et l'apparition de groupes de défense du professeur sur les réseaux sociaux d'autre part. Ce dernier serait accusé d'avoir effectué des essais cliniques illégaux sur un patient et sans l'autorisation de l'Agence nationale de sécurité du médicament. Est-ce pour autant qu'un éminent personnage puisse être arbitrairement interné de la sorte alors que nos dirigeants ont l'année dernière libéré des milliers de prisonniers de droit commun dans la nature (dont certains ont depuis récidivé)? Le Professeur Fourtillan n'est (malheureusement) pas le seul médecin à être inquiété puisque l'on révoque aussi le Professeur Christian Perronne de son poste, probablement à cause de son trop grand scepticisme envers les nouveaux vaccins. Ne parlons pas du Professeur Didier Raoult lui aussi attaqué en justice. Six plaintes sont déposées par l'Ordre des médecins pour « charlatanisme » envers les « dissidents » de la pensée unique. Autres médecins attaqués par le Conseil de l'Ordre : Professeur Henri Joyeux, cancérologue à la retraite, Docteur Nicole Delépine, ancienne oncologue pédiatrique et les médecins généralistes Nicolas Zeller et Rezeau-Frantz. Et le peuple devrait voter la confiance?

 

L’exécutif menace désormais, ni plus ni moins, nos libertés fondamentales en violant le Code de Nuremberg, et gageons que cela ne manquera pas d'émouvoir les défenseurs des droits de l'homme du monde entier, et d'écoeurer dans leurs tombes tous ceux qui sont tombés pour sauver nos libertés, lors des deux guerres mondiales. Le lendemain de la parution du cynique projet, les réactions furent nombreuses en France, du côté des politiques et des médias, et plus encore chez les citoyens, mais, même si l'on assiste à un « apparent » rétropédalage, je reste persuadé que l'intention est bel et bien là et que tout sera fait pour faire adopter ce texte, lequel violerait non seulement nos libertés individuelles mais également le secret médical. Du jamais-vu sous la 5è République. Pour mémoire, et concernant le Code de Nuremberg cité plus haut, voici la liste des dix critères, contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg qui se déroula en 1946 et 1947, critères précisant les conditions imposées aux expérimentations pratiquées sur l'être humain pour les rendre acceptables. Les expérimentations sont dites acceptables si elles respectent les dix critères suivants :

 

  • obtention du consentement volontaire du sujet, c'est à dire sans aucune pression (force, fraude, contrainte, supercherie, duperie, ou autres formes de contrainte ou coercition)

  • l'expérience doit être telle qu'elle produise des avantages avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d'autres méthodes et pas aléatoires ou superflus par nature

  • l'expérience doit être bâtie et fondée de façon telle sur les résultats de la connaissance de l'histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l'étude, que les résultats attendus justifient cette expérience

  • l'expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute souffrance et toute atteinte, physiques et mentales non nécessaires

  • aucune expérience ne doit être conduite dès lors qu'une raison a priori laisse à croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront (excepté peut être, dans le cas ou les médecins expérimentateurs servent eux-mêmes de sujets)

  • le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l'importance humanitaire du problème devant être résolu par l'expérience

  • les dispositions doivent être prises (et les moyens fournis) pour protéger le sujet d'expérience contre les éventualités (même ténues) de blessure, infirmité ou décès

  • les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées, en utilisant le plus haut degré de compétence professionnelle tout au long de l'expérience de toutes les personnes qui la dirigent ou y participent

  • Durant l'expérience, l'être humain doit être libre de mettre un terme à l'expérience s'il a atteint l'état physique ou mental dans lequel la continuation de l'expérience lui semble impossible

  • Lors du déroulement de l'expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l'interrompre à tout moment, s'il a été conduit à croire qu'une poursuite de celle-ci pourrait entrainer des blessures, l'invalidité ou la mort pour le sujet de l'expérience.

(NB : définition du mot expérience : mise à l'épreuve de quelque chose, essai tenté sur quelque chose pour en vérifier les propriétés. Définition du mot vaccin : substance d'origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou un animal, lui confère l'immunité à l'égard de l'infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l'égard d'autres infections. Définition du mot liberté : situation de quelqu'un qui se détermine en dehors de toute pression extérieure ou de tout préjugé, possibilité d'agir selon ses propres choix sans avoir à en référer à une autorité quelconque,état de quelqu'un qui n'est pas retenu prisonnier. Définition du terme thérapie génique :principale voie de recherche pour soigner les maladies héréditaires, avec pour but de « réparer » le gène entrainant une déficience, par l'insertion dans les cellules d'un gène sain codant pour la protéine fonctionnelle (ces définitions émanent de l'Encyclopédie Larousse en ligne)).

 

Il y a pourtant d'autres alternatives à ce qu'on nous vend comme un vaccin ARN. Saviez-vous qu'un laboratoire québécois est en cours d'élaboration d'un vaccin anti Covid à base de plantes? Celui-ci, en passe de franchir la phase III des tests, est conçu par la pharmaceutique québécoise Medicago (https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-11-13/vers-un-vaccin-quebecois.php) à Québec City (Québec). Autre remède annonçant combattre la Covid, selon le Président de Madagascar qui a récemment inauguré une usine de production à Antananarivo, le CVO+, lui aussi à base de plantes (https://www.presidence.gov.mg/actualites/995-lancement-officiel-de-l-usine-pharmalagasy-et-presentation-de-la-gelule-cvo.html) (Pharmalagasy, Zone industrielle Forello Tanjombato - Antananarivo au +261 020 224 63 78/76/71). Tous ces remèdes (vaccins ou pas), à base de plantes (ou pas), sur l'efficacité desquels je ne me prononcerai pas, ont au moins le mérite d'exister. Au-delà des polémiques médiatiques (dont je conseille de se préserver au maximum), il nous reste notre bon sens, notre curiosité et notre capacité à nous poser des questions, car, vous le savez, tout ce ne rapporte bien d'espèces sonnantes et trébuchantes est souvent décrié ou...ignoré. A l'année prochaine !

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

Alors que la campagne massive de vaccination anti-COVID a débuté hier (prions pour eux!), l'endossement de responsabilité en cas de dommages collatéraux possibles conséquents à un vaccin sur lequel on a aucun recul reste flou. Un fait certain : le laboratoire pharmaceutique décline toute responsabilité quant aux éventuels effets secondaires du produit qu'il a conçu puisque c'est le pays acheteur (la France) qui s'engage à endosser celle-ci.

A toutes fins utiles et dans un souci de transparence, Maitre Brusa, avocat de l'association Réaction 19 (https://reaction19.fr) a rédigé une plainte pénale contre X relative aux vaccins (article 40 du code de procédure pénale), une plainte accessible aux citoyens du monde entier pourvu qu'on soit adhérent à l'association, pour ceux qui pensent qu'on peut à nous tous changer le cours des choses face à ce qui apparaît comme une double peine, d'une part le risque d'effets secondaires, et d'autre part la menace de suppression de la liberté de se déplacer à terme en cas de non-vaccination. Dans la vidéo jointe (https://youtu.be/U6rCJgIqOeA) Ema Krusi invite Maitre Brusa à s'exprimer sur cette démarche. Pour la plainte, vous en trouverez tous les détails sur ce lien : https://reaction19.fr/action-en-cours/

SEQUENCE NOSTALGIE :

50 ans déjà ! C'est en effet en décembre 1970 que le film « Peau d'Âne » sortait dans les salles obscures. Inspiré d'un conte (du même nom) de Charles Perrault, paru en 1694, le film reprend le récit de cette princesse contrainte d'épouser son père, qui fuit le royaume en se dissimulant sous une peau d'âne. Sur son chemin, elle fera la rencontre du prince d'un château voisin, un prince charmant puisque les deux êtres tomberont amoureux et finiront par se marier. Pour vous, le célèbre cake d'amour (https://youtu.be/lckuX1aaslg) avec l'inoubliable Catherine Deneuve. Ici, le film (https://youtu.be/_fOQ7kgb-sY).

 

UN PEU PLUS D'HUMOUR :

Quand on l'a regardé une fois, on devient vite accro. Le site québécois des Têtes à claques (https://www.tetesaclaques.tv/accueil), créé en 2006 par Michel Beaudet, offre au public de petits clips vidéo d'animation mettant en scène personnages humoristiques et situations cocasses. Le concept séduira immédiatement les internautes, et la série sera diffusée à la télévision de Radio-Canada dès 2007, puis sur Canal+ un an plus tard : https://youtu.be/8OlRFHSQrUo

 

ACTIVONS NOS NEURONES :

Certains néo-ruraux (vous savez, ces gens de la ville qui décident de se mettre au « vert » - pas au verre, bien que l'un n'empêche pas l'autre tant que c'est fait avec modération) aiment la couleur mais pas les odeurs. On relate ainsi une plainte récente d'une bobo installée à Adainvillle (78) contre un jeune agriculteur qui a pour projet de développer non loin de là une exploitation bio, avec une vingtaine de vaches bretonnes pie noir, en voie d'extinction (je veux ici parler tout à la fois des agriculteurs et des vaches!). La plaignante déplore en effet plusieurs nuisances permanentes, sanitaires, sonores et olfactives intensifiées par la vitesse du vent, la pluviométrie et l'humidité de l'air. Cette affaire en cours démontre que l'on marche sur la tête et qu'on a peut être trop laissé entendre aux citoyens que le monde parfait serait pour demain : la campagne, je veux bien mais sans coq qui chante, sans vaches qui se soulagent ou meuglent, sans vent parce que ça souffle (et ça décoiffe), sans pluie parce que ça mouille et sans humidité parce que, parce que...Je suggère donc à cette dame que tout dérange d'adopter un abri anti-atomique, à l'intérieur duquel elle vivra en autarcie, donc sans aucune nuisance, au silence et sous terre (donc à l'abri des regards) et préservée des bourrasques. Quant aux mauvaises odeurs de la campagne, elles seront remplacées par le bourdonnement discret du système d'air conditionné.

Heureusement, il y en a d'autres que les contraintes locales n'effraient pas dès lors qu'il s'agit de mettre en avant la France rurale. Le journaliste Clément Osé, qui a écrit « A la rencontre de la France qui bouge » (aux Editions Larousse) en 2018 fait partie de ceux-là. Et de raconter son marathon de 3000 km émaillé de rencontres, d'initiatives locales et de métiers divers. Elle est pas belle la vie ?

 

En Vallée du Loir

Il est des endroits discrets qui gagnent à être connus. La Vallée du Loir fait partie de ceux-là. Pays d'art de d'histoire, cette vallée invite d'abord à la découverte de Rustin (et de ses célèbres rustines!) qui entretient une folle passion pour le caoutchouc depuis 1903, grâce à Louis Désiré Auguste Rustin, jeune inventeur passionné de vélo qui déposa en 1922 son brevet de petites pastilles autocollantes anti-crevaisons. Appuyé par un marketing génial avant l’heure: sponsorat de courses, emballages et slogans percutants, la « Rustine » fait un tabac et le mot passe même dans le langage courant. Aujourd’hui, l’entreprise est, comme autrefois, basée à La Chartre-sur-le-Loir. Et Louis Rustin, arrière-petit-fils de l’inventeur, a su magistralement éviter la sortie de route du patrimoine familial.

Filons maintenant chez Brodard & Taupin, une imprimerie toujours à la page puisque spécialisée dans le livre de poche : A l’origine, ce sont deux ateliers de reliure installés à Paris qui fusionnent et deviennent, en 1910 l’imprimerie Brodard et Taupin. L’entreprise déménage à La Flèche en 1967. Elle a alors l’exclusivité d’imprimer la toute dernière création de l’éditeur Hachette : le Livre de Poche. L’imprimerie se diversifie ensuite vers  « la Littérature générale », c’est à dire les livres de plus grand format. Brodard & Taupin est une imprimerie spécialisée en gros tirages. Elle travaille avec les éditeurs nationaux, Hachette, Le Livre de Poche, Le Seuil, et doit répondre aux exigences des « Best-sellers ». Et l’entreprise d'être capable de sortir des livres en 48 h ou 72 h.

La rotonde ferroviaire (tél : 02 43 46 77 25), elle, relève du patrimoine industriel : Aujourd'hui, on peut y découvrir quelques bijoux de l’industrie ferroviaire comme la dernière draisine Baguley de 1917, autrefois utilisée pour la surveillance des lignes, elle servait aussi au transport d’officiers en temps de guerre. Autre trésor, une luxueuse voiture-lit de l’Orient Express, qui a parcouru toute l’Europe jusqu’à Bagdad, impressionnant wagon de 1929, entièrement autonome, qui produisait l’électricité nécessaire pour le chauffage et le confort des voyageurs. Figurant parmi les 18 sites emblématiques de la Mission Bern, les travaux de restauration du site s’accélèrent et un musée devrait prochainement voir le jour. Le site se visite tous les mercredis et samedis après-midi.

La Forêt de Berçé (Carnuta, à Jupilles. Tél : 02 43 38 10 31) prestigieuse forêt domaniale, mondialement connue dans le domaine de la tonnellerie, s’étend sur plus de 5400 ha, où chênes et résineux cohabitent harmonieusement. Ce massif forestier propose en toute saison une diversité de paysages et de milieux à découvrir au fil des sentiers balisés et autorisés. Ancienne forêt royale, célèbre dans la construction navale, elle est l’une des plus anciennes et plus belles chênaies françaises.

Toujours envie de se mettre au vert ? Rendez-vous sur https://pays-valleeduloir.fr

 

Du sommet des Alpes aux volcans d’Auvergne, la montagne vous attend

Avec 175 stations de sports d’hiver, 40 millions de journées skieurs, 1,1 milliard de recettes pour les domaines skiables, la montagne en Auvergne-Rhône-Alpes représente 79% de l’économie nationale. Malgré un taux d’occupation Hiver 2020/2021 en recul de 23,5 points dans les Alpes du nord, avec une chute des nuitées particulièrement sensible dans l’hôtellerie, une baisse plus marquée pour les grands domaines d’altitude que pour les stations villages et un chiffre d’affaires amputé d’au moins 20% avec la fermeture des domaines skiables sur ces vacances de Noël, la région est optimiste car une enquête récente fait montre du besoin « vital » de nos concitoyens de prendre l’air, de s’évader en famille, ou entre amis, et de pratiquer des activités de pleine nature dont toutes celles liées à la glisse : 38% des français ont l’intention de partir en vacances à la montagne cet hiver. Autre signe encourageant, les nombreux reports de séjours prévus à Noël pour les vacances de février, qui devrait entrainer une fréquentation en hausse pour le ski de printemps.

Dans ce contexte, Auvergne-Rhône-Alpes Tourisme lance une campagne de communication s'adressant aux jeunes (réseaux sociaux) et moins jeunes, y compris en direction des publics pas forcément habitués à la montagne. L'objectif est de donner envie de venir à la montagne. Et si le moment était était venu de visiter la région Auvergne-Rhône-Alpes ! https://www.auvergnerhonealpes-tourisme.com

 

Agrandissement de l'espace du Festival lumières sauvages, au zoo de Thoiry (78)

Fermé depuis le reconfinement, le domaine de Thoiry a rouvert une partie de ses animations, le safari et le Festival des lumières sauvages pour les fêtes de fin d'année. Les animaux sont à nouveau visibles en empruntant le parcours du safari en voiture individuelle, même si le zoo lui-même reste fermé, ainsi que toutes les unités de restauration. Dans le même temps, la féérie de Noël reprend aussi ses droits avec la reprise pour la 3ème année consécutive du Festival des lumières sauvages, qui attire en moyenne 300 000 visiteurs par saison. Le parcours d’animaux fantastiques, qui se déroule sur plus d’un kilomètre, avec ses immenses lanternes colorées, est censé raconter l’histoire et les rencontres du Comte de Thoiry, noble et explorateur intrépide de la Renaissance.

Cette année, les animaux terrestres sont rejoints par des créatures du monde sous-marins et des vestiges préhistoriques et une flore tout aussi fantastique. En tout, ce sont quelque 1 000 lanternes qui animent le festival.

Billet Safari + Lumières Sauvages : Adulte : 23€. Réservation sur le site  www.thoiry.net


Le tourisme français pourra t-il survivre avec la seule clientèle française ?

Impossible, d'après l'INSEE, qui a dévoilé les chiffres du tourisme en France arrêtés en septembre 2020. Et malgré les plans de relance, de communication, de consommation, etc... la clientèle domestique ne suffit pas pour sauver l'industrie en juillet-août, et en dehors de ces deux mois-ci, c'est l'hécatombe. Pendant deux mois le pays s'est calfeutré pour éviter un engorgement des hôpitaux et une implosion de notre système sanitaire, condamnant ainsi de nombreux secteurs d'activité dont le tourisme. Après cette période d'arrêt total, le gouvernement n'y est pas allé de main morte pour relancer la machine, tou comme les régions. De campagne de communication en campagne de consommation touristique, tout aura été fait pour que les Français passent l'été à la maison et soutiennent l'industrie locale. Au regard des chiffres dévoilés par [l'INSEE] https://www.insee.fr/fr/accueil , cela n'a pas suffit, même si le tissu hôtelier à sans doute limité la casse. Ainsi, sur la saison estivale, les hôtels perdirent 58 % de leurs nuitées par rapport à la saison 2019. Le fameux slogan "restez en France" a bien été suivi, mais n'a pas comblé le manque à gagner d'un pays dont la communication et l'accès des sites touristiques sont d'habitude majoritairement tournés vers la clientèle étrangère.

Pour l'INSEE la reprise de juillet et août 2020 futt jugée comme "timide". Avec un recule de nuitées de 30% sur le coeur de saison, à savoir les deux mois estivaux, l'activité a fortement freiné par rapport à 2019. Pire même le nombre de nuitées de la clientèle résidente a certes baissé en juillet (– 14 % par rapport à juillet 2019), mais progressé de 2 % au mois d’août. Ainsi, sur la période juillet-août 2020, le nombre de nuitées hôtelières en France métropolitaine s’élèva à 33,8 millions. La catégorie la plus touchée par la crise reste le haut de gamme, en raison de la désaffection de la clientèle étrangère. Ces chiffres mettent en lumière, une industrie qui n'est pas adaptée à la clientèle, laquelle risque de connaître des difficultés structurelles sans un véritable redémarrage du trafic aérien.

L’Île-de-France est la région ayant subi le choc le plus important. Les nuitées des non-résidents (touristes étrangers) y chutèrent de 85 % sur les deux mois, et la seule fréquentation des 4-5 étoiles, de 79 %. Au total, la région a perdu 69 % de nuitées par rapport à juillet-août 2019. Si l'urbain a été très durement impacté, le littoral observe un repli plus léger (– 9 %). Globalement les touristes ont préféré la mer (+14%). Sur les littoraux d’Occitanie, de Nouvelle-Aquitaine et des Pays de la Loire, la fréquentation totale progresse même légèrement (de + 1 % à + 2 %). En revanche, elle chute sur les littoraux de Provence-Alpes-Côte d’Azur (– 15 %) et de Corse (– 24 %). La montagne reste finalement l'une des grandes gagnantes de l'été 2020. La fréquentation dans les massifs de montagne reste stable grâce à l’afflux de résidents (+ 21 % par rapport à 2019)

Sur ce constat, septembre 2020, qui devait être le mois de la reprise pour tout un secteur, vit l'épidémie repartir de plus belle. Malgré une ouverture de presque tout le parc hôtelier français (94%), les mesures sanitaires et la désaffection des voyageurs d'affaires ont plombé l'entrée dans l'automne. Des annonces plus alarmistes de la part du gouvernement, la persistance dans les entreprises du télétravail et des réunions virtuelles et l’annulation de nombreux évènements, limitant les déplacements de loisirs comme professionnels plombèrent l'ambiance. En septembre 2020, la fréquentation touristique s’éleva en effet à 11,8 millions de nuitées dans les hôtels métropolitains, soit une chute de 42 % par rapport à septembre 2019. La fréquentation hôtelière des touristes résidents en France baisse de 19 % par rapport à septembre 2019 et celle des touristes non résidents s’effondre (– 81 %), du fait notamment de la quasi-absence des touristes non européens. Une fois de plus, l'Île-de-France fait office de mauvais élève, avec une région quasiment exclusivement tournée vers le tourisme étranger. La France du tourisme devrait sortir durement et durablement touchée par cette crise. Et en l'absence de l'évolution du comportement des consommateurs, le paysage ne sera plus le même...

 

56 jeunes entreprises françaises très prometteuses

La FEVAD et KPMG ont dévoilé leur palmarès de start-up innovantes il y a quelques semaines. Crise ou pas, le monde et l'économie avancent et le « Challenge Start me up » qui avait été lancé en plein confinement en avril a livré ses résultats. 56 start-up ont ainsi été sélectionnées pour figurer dans l'annuaire "Start Me Up", afin de permettre aux e-commerçants de s'y retrouver dans la profusion de solutions. En 2020, les jeunes pousses travaillant dans le secteur de la communication et du marketing ont été surreprésentées, avec 18 entreprises.
Même durant la crise, la communication est importante, car elle permet de garder le lien avec la clientèle et surtout de se démarquer. Malgré l'Europe et la gouvernance mondiale, la data est plutôt peu représentée avec seulement huit entreprises dont QEmotion, une start-up bien connue du secteur du tourisme. Le 2e secteur le plus présent est celui de la digitalisation et de l'omnicanal, avec 12 start-up. Avec l'explosion de l'e-commerce en 2020 et de la livraison, le secteur de la logistique n'est pas en reste avec sept jeunes pousses.

Les 56 jeunes lauréates sont : ShareGroop (paiement), Deal2drive, Goodmecano, Hubstairs, Les Marmots, Qidoon, Octopulse, Possible France, Watiz (plateforme/Marketplace), Asmodine, Botmind, Connect Innov, Dailylive, Front-Commerce, Joko, Letmotiv, Retail VR, Stratow, Thunderstone, Webotit, Wishibam (omnicanal & digitalisation), Bleeker (offre pour les marques fabricants), Antvoice, Botfuel, Facil'iti, Fructifi, Gratix, HDB Solutions, Influensnetwork, Magileads, Market Invaders, Mrsuricate, Noci By Digital'ize, Parcellab, Smartkeyword, Snatch Studio, Teester, Twipics, Wibilong, Zaion (marketing & communication), Cocolis, Fenotek, Find & Order, Fretly, Monstock, Onestock, Urbanhub (logistique), Lizee (économie circulaire), Alphalyr, Factonics, Hubware, Invenis, Klack, Popeo, Pricinghub, Qemotion (data & analytics)

 

 

L'Ecosse, une destination tranquille


l’Écosse met tout en œuvre pour assurer des vacances sereines à ses futurs voyageurs et leur permettre de profiter au mieux, et en toute sécurité, de ce que la destination a à offrir. Et le pays a instauré un système de niveaux d’alerte qui permet d’adopter immédiatement les bonnes règles de conduite pour une sécurité sanitaire absolue. Les différents niveaux d'alerte déterminent ainsi avec précision le comportement à adopter en matière de distanciation sociale, de visites de sites touristiques tout en donnant la réglementation adéquate concernant les évènements et les ouvertures d’hôtels, des restaurants et des commerces. Quant à l’accueil chaleureux légendaire des Ecossais, il n’a pas changé ! Et pour faciliter la vie des visiteurs, VisitScotland a même listé une série de conseils à destination des voyageurs.

Malgré le Brexit, la carte d’identité reste valable pour se rendre au Royaume Uni (dont fait partie l’Ecosse) jusqu’au 30 Septembre 2021, mais à partir du 1er Octobre, la présentation du passeport sera obligatoire pour tous les citoyens de l’Union Européenne, de l’Espace Économique Européen et de la Suisse désireux de se rendre dans le pays.
Suite à l’épidémie de Covid-19, chaque voyageur doit remplir un formulaire (ou Passenger Locator Form) sur le site du gouvernement britannique dans les 48h précédant le voyage. Cette mesure est cependant susceptible d’être modifiée en fonction de l’évolution de la situation sanitaire. Consultez le site de VisitScotland pour connaitre les dernières informations disponibles.
Depuis la France, on peut se rendre en Ecosse via différents vols directs ou par bateau, avec les traversées en ferry qui relient la France à l’Angleterre. Mais, dans tous les cas, il est recommandé de vérifier avec le transporteur les mesures ou formalités supplémentaires à accomplir avant le départ.
Ce qui est certain, c'est que l'Ecosse reste une destination sûre et inspirante: L’Ecosse reste une source de dépaysement, d’aventures, d’Histoire et de grands espaces. Et un pays unique en matière culturelle ne serait-ce qu’à travers sa langue, ses danses, ses musiques traditionnelles et le célèbre kilt écossais. On peut par exemple visiter de superbes châteaux hantés ou encore partir sur les traces du fameux monstre du Loch’Ness, affectueusement surnommé « Nessie » . Enfin, l’accueil des Ecossais reste tout aussi chaleureux et jovial malgré les mesures de distanciation sociale. https://www.visitscotland.com/fr-fr/

L'application « Explor Visit », pour préparer ses visites réelles...

Celle-ci propose de patienter en embarquant virtuellement au cœur d'expositions du monde entier et en 3D. Une façon également de préparer sa visite physique après la balade numérique. Du musée Grévin à Paris à celui de La Piscine à Roubaix, en passant par le British Museum de Londres ou l’Art Institute de San Francisco, les utilisateurs sont invités à voyager sur la carte interactive de l’application, téléchargeable sur IOS et Android, sur laquelle ils peuvent se repérer facilement et naviguer d’un bout à l’autre du globe. D’ailleurs, Explor Visit propose aussi la visite de monuments, de châteaux, de jardins, de sites urbains (street art) et naturels. Chaque lieu est enrichi de contenus commentés pour en apprendre plus sur son histoire et sur celles des œuvres d’art qu’il abrite. https://explorvisit.com/


 

En cas de mauvais temps...ou de confinement, distraire les petits n'est pas toujours une chose aisée. Deux livres pourront peut être vous aider : Little Globe Trotters, la nouvelle série de guides jeunesse destinés aux voyageurs curieux dès 5 ans convie les enfants à s'amuser grâce au carnet d'activités consacré à Paris. Ils feront la connaissance de Basile et Céleste avec lesquels ils partiront à la découverte de la capitale française (Champs-Elysées, Montmartre, la Tour Eiffel …). Autre ouvrage, « Cherche et Trouve avec Susie & Sam » (dès 3 ans) : une balade en ville pour retrouver nos deux compères, accompagnés de Pimpim et Kiko le chien partant à l'aventure dans Paris (un autre livre sortira bientôt et sera consacré à Londres!). Autant de guides à lire dès 5 ans, avec jeux, quizz et activités ludiques sans oublier l'application interactive pour compléter ses connaissances.

 

>Ehop Voyage, l'agence de voyages virtuels pour s'évader sans avoir besoin de se déplacer

Les professionnels savent déjà qu'ils vont devoir se réinventer pour proposer des offres alternatives, loin des sentiers battus, pour permettre aux Français de voyager loin des foules, sans risques pour leur santé. Y compris sans avoir besoin de se déplacer ! Parce qu'il est trop longtemps resté figé sur ses acquis, l'univers du voyage doit dès à présent accélérer sa transformation numérique pour mieux innover et se réinventer. Digitaliser les voyages, c'est aussi rendre enfin le plaisir de la découverte accessible à tous.

Dans ce contexte, Ehop Voyage, l'agence de voyages virtuels, propose, à l'aide d'un casque de réalité virtuelle, de se "téléporter" et de pouvoir voyager pour vivre un intense moment de liberté et de bien-être sans se déplacer. Avec Ehop Voyage, tout devient réalisable, 7j/7 et 24h24, quels que soient l'âge et la situation physique des personnes. Toutes ont enfin la possibilité de profiter d'un moment au calme sur une plage paradisiaque, de s'offrir une plongée avec les requins, de se détendre grâce à un exercice de relaxation , de visiter un jardin japonais, de faire un tour sur le village du Vendée Globe ou d'assister à un concert privé...

Avec Ehop Voyage, tout devient simple : cette solution "nouvelle génération" est très facile à mettre en place puisqu'elle fonctionne en toute autonomie, sans formation et sans connexion Internet. Il suffit de porter le casque de réalité virtuelle pour commencer à rêver.... De plus, le tarif a été spécialement étudié afin de rendre le voyage virtuel accessible au plus grand nombre. Ehop Voyage propose un forfait à partir de 99 € qui permet de bénéficier d'un casque dans l'établissement 24h/7j, léger, confortable, facile d’entretien, garanti un an et d'un abonnement mensuel pour actualiser le catalogue de voyages et d’expériences à 360°. https://www.ehop.voyage/


Le 31 décembre 2020, à 23h35, la Ville de Paris présente « Bienvenue Ailleurs » de Jean-Michel Jarre, un concert virtuel dans la Cathédrale Notre-Dame : Ce concert est réalisé en collaboration avec les équipes de la startup française de réalité virtuelle VRrOOm. Il se déroulera virtuellement à l'intérieur de Notre-Dame (la cathédrale aura été modélisée pour l'occasion). Jean-Michel Jarre, lui, se produira en direct depuis un studio à Paris en même temps que son avatar jouera à l'intérieur de la cathédrale. 
Notre-Dame, au cœur de Paris, occupe une place unique dans l'imaginaire collectif. C'est un symbole de la force du patrimoine mondial qui nous lie les uns aux autres. Pour le monde entier, Paris est la ville lumière. En cette période difficile due à la pandémie, ce concert a vocation à réaffirmer à l'international  que Paris ne plie pas devant l'adversité, et qu'elle sait tirer toute la force de son histoire et déployer de l'énergie grâce aux innovations technologiques, culturelles et économiques. Ainsi le spectacle « Welcome to the other side » (« Bienvenue Ailleurs ») enverra-t-il un message d'espoir et de force pour 2021, telle la cathédrale affaiblie qui sait se relever. 
Ce concert multimédia du 31 décembre, entièrement gratuit et accessible partout en France comme dans le reste du monde, sera diffusé en direct de différentes manières : 
-    En direct sur Paris.fr, sur le compte Facebook @Paris ainsi que sur les chaînes YouTube de la Ville de Paris et de Jean-Michel Jarre,  accessible sur ordinateur, tablette et smartphone, 
-    En réalité virtuelle, sur la plateforme de VR sociale VRchat, pour le public équipé de casques VR, ou en 2D, sur ordinateur, tablette et smartphone,  
-    En direct et en stéréo sur France Inter,
-    En direct sur la chaîne TV, BFM Paris.
D'une durée de 45 mn, le programme musical qu'interprétera Jean-Michel Jarre sera composé de morceaux spécialement réorchestrés de son récent opus, Electronica, nommé aux Grammy Awards, ainsi que de nouvelles versions remixées d'Oxygène et d'Equinoxe.


Combien coute un navire de croisière immobilisé pour cause de COVID ?

Certaines des plus grandes compagnies de croisière du monde ont mis en sommeil leur flotte pendant une longue période en raison de l'épidémie de coronavirus. Devant une telle situation inédite, les machines des navires sont préparées pour une période prolongée de non-utilisation et la majorité de l'équipage est renvoyé chez lui.

Deux types d'immobilisation existent : à froid ou à chaud. Lors d'une immobilisation à froid, les navires sont dotés d'un équipage juste assez nombreux pour effectuer la maintenance de routine et surveiller les systèmes du navire, y compris les équipements de sécurité. La liste d’actions à effectuer avant et pendant un désarmement à froid est longue. Pour commencer, les réservoirs de ballast sont soit vidés complètement, soit remplis complètement d'eau et d'inhibiteurs de corrosion. Dans les zones « machines » telles que les salles des machines, des déshumidificateurs sont déployés pour prévenir la corrosion. Les centrales de production de vapeur sont vidées et ouvertes pour la ventilation naturelle. Des déshumidificateurs sont également installés dans les cabines et les salles publiques, les draps et les serviettes de cabine sont stockés dans un endroit sec et les matelas de cabine sont stockés sur le bord. Les chambres frigorifiques sont vidées et laissées avec les portes ouvertes. Il faut parfois jusqu’à trois mois pour réactiver un navire après un désarmement à froid, et tout dépend de la durée de celui-ci. Côté cout de cette immobilisation, celle-ci revient moins chère que l'autre option. il faut en principe recertifier le navire, en fonction de la durée de l'immobilisation et là encore, cette nouvelle certification à un coût (les certificats ont une durée moyenne de six mois) Il faut donc tout remettre à jour pour autoriser le navire à reprendre la mer. Il faut aussi s'acquitter des charges mensuelles suivantes : la taxe d’immobilisation du quai (qui varie en fonction du port où le navire est désarmé) qui peut atteindre 3000 euros par jour, l’enregistrement du pavillon (là encore, tout dépend du pays de l’enregistrement du navire) et la Société de classification.

combien coute dans ce cas un désarmement à chaud? On doit partir du principe que les couts fixes mensuels d’un navire désarmé à chaud comprennent l’immatriculation, l’entretien, les assurances (navire et équipage), l’équipage présent à bord (qui varie en fonction de la taille du paquebot), les frais techniques, les eaux grises et les ordures ménagères ainsi que bien évidemment, le carburant et les coûts de ballastage. En clair, on évalue ces couts à environ deux millions d’euros par mois et par navire (sur la base d’un navire de 2500 passagers). En tablant sur 310 navires en exploitation avant la crise du Covid 19 (sachant que tous ou presque sont toujours désarmés à ce jour, certains navires ayant été désarmés à froid, d'autres étant envoyés à la démolition, tandis qu'un nombre restreint de bâtiments ont repris une activité partielle), on peut évaluer à 290 le nombre de navires actuellement désarmés avec un coût moyen de deux millions d’euros par mois. L’industrie dans son ensemble dépense donc 580 millions par mois, soit 46 milliards 400 millions depuis le mois d’avril.


 

Mayotte (976) vous attend

Depuis la levée du confinement, les voyageurs en provenance de l’hexagone peuvent de nouveau se rendre à Mayotte. Les tests PCR de moins de 72 heures et antigéniques réalisés en laboratoire (TDR), resteront obligatoires pour les vols depuis la Métropole vers Mayotte et de Mayotte vers la Métropole. https://www.mayotte-tourisme.com

 

MuséoPark Alésia fait peau neuve (21)

le MuséoParc Alésia se prépare à accueillir une nouvelle scénographie plus accessible, plus interactive, plus ludique et plus proche des visiteurs. Et ce parc d'ouvrir une nouvelle page de son histoire en lançant sa nouvelle scénographie. Sous la conduite du Conseil départemental, qui est à l’origine du MuséoParc, le nouveau parcours permanent proposera dès juin 2021 une véritable immersion à la fois au cœur du siège d’Alésia mais aussi dans la ville gallo-romaine qui s’est développée. Pour cela, la nouvelle exposition consacrera une part belle aux collections trouvées sur le site et jamais exposées jusqu’ici. Cette nouvelle scénographie permanente (sur 1 100 m2) qui s’inscrit dans le bâtiment circulaire de Bernard Tschumi est confiée à Clémence Farrell qui signe la scénographie et la direction artistique, et à Muséomaniac pour la conception audiovisuelle et multimédia. Alésia est un lieu de fouilles depuis plus d’un siècle et la nouvelle scénographie veut à la fois mettre en relief les collections et la très longue période d’occupation humaine du site (du Néolithique à nos jours). Réservant une partie importante du site à la période du Siège, cette nouvelle présentation permettra de comprendre pourquoi Vercingétorix se réfugie à Alésia, quel peuple gaulois est déjà installé sur le mont Auxois à son arrivée et que devient Alésia après le siège de César…Cette scénographie permettra en particulier de valoriser les collections et de présenter un florilège d’objets gallo-romains de l’agglomération qui se développera du Ier au IIIe siècle, permettant de faire un pont avec les vestiges visibles sur le site. Vivement l'année prochaine ! https://www.alesia.com

 

Se rendre au Royaume-Uni à compter du 1er janvier 2021

A compter de cette date, les citoyens de l'Union européenne seront traités comme « non-britanniques », à l'exception près de ceux qui bénéficiaient d'une résidence dans le pays avant 2021 et qui conserveront leurs droits (la réciproque s'appliquera aussi aux Britanniques domiciliés dans l'Union et se rendant sur le continent). Quant aux touristes britanniques, ils devront être patients pour entamer less démarches nécessaires à l'entrée dans l'UE même si une exemption réciproque de visa est prévue. Ils devront en tous cas pouvoir attester qu'ils sont couverts par une assurance et qu'ils disposent de ressources suffisantes ou d'un billet retour. Leur séjour dans l'UE sera limité à 90 jours sur une période de 180 jours. Les Européens pourront quant à eux entrer sur le sol britannique muni d'une carte d'identité jusqu'à octobre 2021. Au-delà de cette date, un passeport sera exigé, pour des séjours limités à six mois maximum. Des exceptions s'appliqueront toutefois à certains accompagnants non-européens d'un citoyen de l'UE car ceux-ci auront besoin d'un visa. De leur côté, les ressortissants irlandais et britanniques conserveront la liberté totale de circuler à l'intérieur du royaume en vertu d'un accord bilatéral déjà ancien.

Quant aux voyageurs d'affaires, on pourra exiger qu'ils présentent un visa et/ou un permis de travail pour effectuer une mission ou un service rémunéré, en fonction de la législation en vigueur dans le pays de l'UE concerné. Côté britannique, on pourrait traiter les citoyens européens comme des citoyens de nation dites favorisées, à savoir leur imposer un permis de travail sauf s'il s'agit uniquement d'assister à une réunion ou participer à une formation. Pareillement, les citoyens de l'UE bénéficiant d'une offre d'emploi au Royaume-Uni devront prouver de la maitrise de la langue anglaise et d'un niveau de salaire fixé par la loi.

Actuellement 1,3 million de Britanniques résident dans l'UE, et 4,2 millions de citoyens européens avaient déposé une demande de statut de résident à la fin octobre, au Royaume-Uni. Leurs droits seront protégés à condition d'être installé sur place avant le 31 décembre 2020. Les règles seront différentes pour ceux voulant émigrer après le 1er janvier. Et la réciproque de s'appliquer aux citoyens britanniques voulant aller en UE pour travailler ou prendre leur retraite, qu'il s'agisse d'assurance maladie, de conditions de revenu ou d'exigences linguistiques. La Grande- Bretagne indique pour sa part son intention d'instaurer un système à points dès l'année prochaine pour limiter l'installation des Européens sur son sol. L'âge, les ressources financières et la maitrise de la langue seront bien sûr pris en compte.

 

Sauvegarde de patrimoine à Roubaix (59)

>Jusqu'au 31 janvier 2021, La Piscine (https://www.roubaix-lapiscine.com) lance une opération de financement participatif en collaboration avec la plateforme Dartagnans.fr. Cette campagne vise à récolter des fonds pour accompagner le musée dans la mise en œuvre d’un chantier de collections autour de son patrimoine textile qui est à l’origine du premier musée roubaisien. Créé en 1835, le musée industriel de Roubaix est à l’origine exclusivement consacré au tissu et regroupe des échantillons exclusifs de la production locale. Cette collection initiale est réunie dans le double souci de conserver la trace de la création industrielle contemporaine et de constituer un fonds de référence esthétique et technique pour la formation des futurs ingénieurs roubaisiens.

>Riche de près de 40 000 pièces, allant des tissus coptes (4e siècle avant J.-C.) aux créations les plus contemporaines (Christian Dior, Jean-Paul Gaultier, Paule Leleu, Élisabeth de Senneville, Marimekko, Michèle Lemaire, etc.), en passant par une série rarissime de tissus russes et une exceptionnelle collection de soieries du 18è siècle, ce fonds s’impose aujourd’hui internationalement par sa qualité. Et demeure une source d’inspiration pour les professionnels et les créateurs tout en constituant le socle d’une mémoire textile fondatrice de l’identité de la ville de Roubaix. Le tissu compte néanmoins parmi les matériaux patrimoniaux les plus sensibles aux conditions de conservation et notamment à la lumière. Sa fragilité impose un stockage soigné dans des espaces au climat contrôlé et une présentation trimestrielle par rotation.
Bien qu’il s’agisse de la première collection du musée, la fragilité de ces pièces rend leur présentation et leur valorisation complexes. Cette première campagne se concentrera sur près de 3 000 livres d’échantillons qui forment la base historique des collections de La Piscine et présentent une complexité particulière du fait de l’association de plusieurs matériaux (cuir, papier, tissu, métal), aux exigences de conservation parfois contradictoires.
https://dartagnans.fr/fr/projects/retrouvons-la-memoire-textile-de-roubaix/campaign


Exposition « Pierres précieuses » et visite virtuelle

L'exposition « Pierres précieuses » propose au public un parcours immersif, mettant en regard quelques 360 minéraux, gemmes et objets d'art issus de la prestigieuse collection du Museum et plus de 250 créations joaillières puisées dans la collection patrimoniale de la Maison Van Cleef & Arpels. https://youtu.be/nJjLTSfeMLQ

De Sybelles (73) fêtes de Noël...

Faute de ski alpin, les Sybelles (Savoie) se sont adaptées pour recevoir leurs vacanciers dans les meilleures conditions possibles en cette fin d'année. Pas moins d'une trentaine d'activités sont possibles pour s'évader à la journée ou en formule séjour semaine dans les six stations des Sybelles : Le Corbier (Survol du domaine skiable des Sybelles et des six stations à bord d'un ULM avec Seb Blanchon au 06 72 25 71 39), La Toussuire (Baptême en dameuse à la tombée de la nuit, au 06 22 26 00 68), Saint-Sorlin-d'Arves(Raquettes pour tous les niveaux sur https://www.saintsorlindarves.com/), Saint-Jean-d'Arves (Balade hivernale avec un âne de bât) sur https://www.anesenmontagne.com/), Les Bottières ou encore Saint-Colomban-des-Villards.

 

Les Français aiment la culture sur CulturMoov

Aujourd’hui, de plus en plus de contenus culturels et touristiques sont consommés via des outils digitaux. Les Français aiment la culture et faire des découvertes ! Depuis le début de la crise sanitaire, nombreux sont ceux qui ont éprouvé un sentiment de manque lié à l’absence de sorties culturelles et touristiques. Alors, pour compenser cette absence de loisirs, ils ont eu recours au streaming en dévorant médias, contenus culturels et divertissement en ligne. On note ainsi que seulement 30% des personnes interrogées (source: L’Œil du public) n’ont pas eu d’activités culturelles sur le web depuis le début de la crise. Or, dans le « monde d’après », il faut se rendre à l'évidence : d'une part, notre pays fait face à deux confinements à quelques mois d'intervalle et alors qu'un troisième est sérieusement envisagé par le Conseil Scientifique, seulement près d’un Français sur deux est prêt à retourner dans les lieux culturels tout en restant vigilant sur les mesures sanitaires.

C'est pour permettre à tous les Français de découvrir les merveilles touristiques et culturelles françaises que CulturMoov a été créé. CulturMoov conçoit et édite depuis 2016 des expositions et des visites virtuelles sur les collections des musées et le patrimoine français. CulturMoov, ce sont donc de nombreuses visites guidées à suivre sur place ou à distance, en direct ou en rediffusion, créées en partenariat avec des professionnels pour permettre à tous de voyager depuis l'endroit où il se trouve. Aujourd'hui, CulturMoov présente sa sélection de six expériences à vivre en ligne : deux visites interactives guidées, deux visites live guidées et deux visioconférences.

Parmi les activités disponibles sur CulturMoov on note une balade au Clos normand à Giverny, le Patrimoine industriel du Grand Paris, sur les Pas de Victor Hugo, les lieux secrets de Montmartre, le Bijou de la Préhistoire à nos jours et Village des Batignolles

Les atouts de CulturMoov : des visites animées par des guides professionnels, une expertise, une notoriété et une légitimité depuis 2016, des visites virtuelles développées pour plus de 50 institutions partenaires ou clientes, plus de 30 activités disponibles en ligne en français et en langues étrangères, une grande transparence sur la promesse et l’expérience utilisateur virtuelles et différents formats de visites : visite live, visite interactive, visioconférence, jeu énigmes pour famille et plusieurs formules : E-visites à l'unité pour les particuliers, packs de 3, 5 ou 10 visites utilisables sur un an pour les particuliers, offres entreprises, et packs de fin d'année pour les entreprises qui souhaitent offrir un cadeau original à leurs collaborateurs. https://www.culturmoov.com/

L'exposition « Ils restaurent Notre-Dame » met à l'honneur le chantier de Notre-Dame de Paris

Depuis le terrible incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris du 15 avril 2019, les clichés de l'intérieur ont été rares. De ce constat, le ministère de la Culture présente depuis le lundi 7 décembre une exposition au domaine national du Palais-Royal montrant l’ampleur du chantier en cours et à venir à travers des clichés inédits pour la grande majorité réalisés par Edouard Bierry. Quelques jours après l’incendie, il a pu entrer dans ce chaos, pour témoigner de l’étendue des dégâts à travers son oeil rempli d’émotion à la vue des amas de pierres, poutres brûlées, et de sa nef ouverte aux cieux. Plus d’une dizaine de photographies montrant une partie de son travail sur ce chantier du siècle sont à découvrir dans cette exposition en accès libre et gratuit – Domaine national du Palais Royal – 5 rue de Valois, 75001 Paris (dans le respect des recommandations COVID 19)

 

Illumination de Néris-les-Bains (03) jusqu'au 3 janvier 2021

Le Conseil départemental de l’Allier poursuit son programme d’illuminations des patrimoines remarquables avec Néris-les-Bains qui offre le mapping des “Lumières sur le Bourbonnais” sur la façade du théâtre André Messager. Sur ce nouveau site, les créateurs de ce spectacle, Les Allumeurs de Rêves, Light Event Consulting et BK France font voyager le spectateur durant vingt minutes grâce aux toutes dernières technologies de projection. De l’amphithéâtre romain qui accueillait les jeux du cirque en passant par le théâtre André Messager (compositeur bourbonnais) qui a fait les belles heures de l’opérette et du vaudeville, Néris-les-Bains, station thermale, se raconte en images, sons et musiques, des temps antiques jusqu’à nos jours. Enfin, la Belle Époque, symbolisée par sa musique, son style graphique et architectural, et sa fête si connue viendront clore en beauté et en joie cette scénographie de lumières féériques.

 

Fin d'année camarguaise

Pendant les fêtes de fin d’année, de nombreuses écuries ou mas proposent en effet des balades à cheval. On peut aussi découvrir les manades, faire des excursions, visiter des sites naturels sans parler des manifestations organisées par le village de Saintes-Maries-de-la-Mer (13) : Animations de rues de 14h à 16h le 29 décembre, transhumance de moutons en ville de 11h à 14h le 30 décembre, Roussataïo aux flambeaux à 18h30 le 31 décembre 2020 (et même manifestation dans les rues le 1er janvier 2021 à 12h00) Office de Tourisme : 04 90 97 82 55. https://www.saintesmaries.com


Plus qu'un parc d'attractions, Le Puy du Fou est un lieu de mémoire où se transmet notre roman national. Muriel, Odile et moi nous y sommes rendus en septembre dernier par une belle journée ensoleillée. L'occasion pour nous trois de replonger dans son Histoire pour quelques heures en assistant à des spectacles vraiment réussis. Ainsi se termine 2020, année de malheur mais je me garderai bien de faire des pronostics pour 2021 tant nous vivons dans un monde compliqué et imprévisible. A l'année prochaine !

Yves


Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Chine 3) Canada 4) Ukraine 5) Italie 6) Polynésie Française 7) Thaïlande 8) Emirats Arabes Unis 9) Belgique 10) Burkina Faso




Le Puy du Fou (Les Epesses, Vendée, France)


Du temps où nous n'étions pas encore reconfinés, c'est à dire en septembre dernier, Muriel, Odile et moi nous étions rendus le temps d'une journée au Puy du Fou, situé aux Epesses (85) en Vendée. Je connais de longue date ce parc, mais ne m'y étais encore jamais rendu. Nous arrivâmes sur place à l'heure de l'ouverture afin de profiter pleinement d'une journée qui s'avérera bien remplie. Notre guide de charme, Muriel, nous avait en effet concocté un programme de choix pour cette première visite (...)


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