Nos élites républicaines ont la fâcheuse tendance de dépenser à tout-va l'argent qu'elles n'ont pas et de manière disproportionnée car elles savent toujours présenter l'addition au peuple. Au « Quoiqu'il en coute » je réponds « Parle pour toi » et je rappellerai à nos dirigeants que cet argent qui est issu de la sueur du paysan d'hier et du travailleur actuel n'est pas celui du diable (celui de la spéculation aveugle). L'échéance approche et je souris de voir ici et là, mais de plus en plus fréquemment des articles de presse évoquant la confiscation de nos comptes en banque en cas de crise grave. La revue UFC-Que Choisir a publié une information à ce sujet et je vous propose de vous résumer les principaux éléments de l'article en question (avec mon commentaire en italique): Si votre banque venait à mettre un genou à terre en raison de graves difficultés, qu’adviendrait-il de l’argent que vous lui avez confié ? Un mécanisme prévoit que les comptes des particuliers peuvent être ponctionnés pour son renflouement à partir d’un certain seuil.
Après une année 2020 marquée par la pire récession enregistrée depuis la Seconde Guerre mondiale – et près de trois fois plus grave que celle engendrée par la crise de 2008– les banques françaises sont-elles suffisamment solides pour résister aux conséquences économiques de la crise actuelle (non, je ne le pense pas) et l’argent que nous leur confions est-il complètement à l’abri ? (certainement pas).
En cas de coup dur, on pourrait vous contraindre à participer au sauvetage de votre banque si vous êtes un client particulier, indépendant ou une PME à condition que vos encours dépassent 100000€ dans une banque ou une entreprise d'investissement. Il s'agirait alors d'un « bail-in » (renflouement interne) contrairement au « bail-out (renflouement externe, lors d'un renflouement d'une banque par l'Etat – donc avec votre argent de contribuable- comme en 2008). Et l'Europe a mis de l'ordre dans les règles appliquées en pareil cas en considérant le déposant (le client qui dépose son argent) comme l'assureur-vie de l'établissement financier. Et les clients d'être classés par ordre de priorité : les premiers à trinquer seraient les actionnaires d'une banque (si, par exemple, vous détenez des titres de votre banque), puis certains créanciers prioritaires pour supporter les pertes bancaires (jusqu'à 8% du passif). Viennent ensuite les particuliers dont les comptes détiendraient plus de 100000€ (mais ne croyez pas trop aux promesses, car le petit ne pèse pas lourd en cas d'une telle situation, même si vous avez la loi de votre côté).
Grandes ou petites, toutes les banques et entreprises d’investissement qui se retrouveraient en graves difficultés peuvent être soumises à ce mécanisme (excepté les sociétés de gestion de portefeuille et les entreprises d'assurance détenant entre autres les contrats d'assurance-vie souscrits via un réseau bancaire). A l'heure actuelle une dizaine de banques françaises (dont BNP Paribas, la Société Générale, Crédit Agricole...) sont placées directement sous la houlette de la BCE compte tenu que ces banques de type « systémique » pourraient déclencher des réactions en chaine en cas de faillite car elles sont partie prenantes dans des investissements sur les marchés internationaux.
Pour déclencher un renflouement bancaire, plusieurs critères doivent être réunis : les procédures judiciaires classiques ne permettent pas de traiter rapidement les difficultés d'une banque sans mettre en danger l'économie réelle,la revente d'actifs, l'intervention d'un établissement relais, ou la séparation des actifs pourris (solution déjà expérimentée il y a 28 ans en France avec le Crédit lyonnais).
Et les spécialistes d'avouer ignorer si ces mesures suffiraient (je ne le crois pas) face à la crise actuelle, allant même jusqu'à jouer les vierges effarouchées à la seul perspective d'une intervention des autorités dans le fonctionnement des banques, incompatible avec la liberté du commerce et de l'industrie (Ah,ah, quelles libertés ? Depuis le début de la crise sanitaire, ces mêmes autorités n'ont de cesse de bafouer les libertés fondamentales d'aller et venir, d'informer ...à coup de confinements, de couvre-feux et de conseils de défense!).
Quid des dépôts inférieurs à 100000€ ? Le Fonds de Garantie des dépôts et résolution (FGDR) indemnise les clients d'une banque en faillite, mais dans certaines limites qui s'entendent par déposant et par établissement : Jusqu'à 100 000 € pour les sommes détenues sur les comptes courants, comptes sur livret, les CEL et PEL, les livrets jeunes, les comptes à terme ou les espèces sur un compte titres (rehaussés de 500 000 € pour les dépôts exceptionnels temporaires : vente immobilière, héritage, succession…), Jusqu'à 100 000 € pour l’épargne placée sur les livrets A, livrets bleus, livrets de développement durable et solidaire (LDDS) et livrets d’épargne populaire (LEP) et jusqu'à 70 000 € pour les actions, obligations, Sicav, FCPI, FCP et autres titres financiers détenus sur un compte titres ou un PEA, en cas d’incapacité du prestataire à restituer les titres ou à dédommager les investisseurs. Les assurances vie de capitalisation ou les produits d’épargne retraite sont couverts par un mécanisme différent, opéré par le Fonds de garantie des assurances de personnes (FGAP). Il s’élève à 70 000 € par personne et par assureur.
(je rajouterai « à condition que le FGDR dispose du jour au lendemain des fonds suffisants en caisse. Personnellement, je n'ai qu'une confiance limitée dans ce système et ai préféré prendre les devants sur les recommandations d'un conseiller patrimonial, en écoutant aussi mon bon sens, en équilibrant sans attendre mes comptes (c'est la première chose à faire!), en diversifiant mes actifs et en arrêtant de croire tout ce qu'on vous serine dans les médias à longueur de journée!)
Cela fait déjà UN an que nous sommes les prisonniers involontaires d'une crise sanitaire qui nous dépasse, harcelés par les médias de masse. Heureusement que Poutine a récemment dit un non définitif au grand reset que certains prétendent de nous imposer, en affirmant sa préférence pour une société des nations et le respect des peuples. Pendant ce temps, le bas peuple (auquel je m'assimile) se voit (ré)imposer ici et là des confinements locaux les fins de semaine, en plus du couvre-feu national. Fatigués et désabusés, les Français n'osent plus croire en une libération prochaine et à un retour proche de nos libertés fondamentales. Il est pourtant urgent de ne pas désespérer car nos compatriotes fourmillent d'idées (comme dans ce clip « Libres au réveil » https://youtu.be/CYXOHUA72cU). Pas question non plus de culpabiliser ou adhérer à un discours asséné quotidiennement par les médias et leurs intervenants, à savoir journalistes et consultants santé. Comme en politique, le pouvoir médiatique applique la vieille règle « Faites ce que dis, ne faites pas ce que je fais» et se fait parfois prendre la main dans le sac : c'est ce qui est arrivé le 24 février dernier à des collaborateurs de TV BFM lorsque deux policiers débarquèrent peu avant minuit dans un restaurant clandestin où festoyaient journalistes et...des médecins de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris ainsi qu'un gradé de la brigade (militaire) des Sapeurs-pompiers de Paris (mangeait-il un pot-au-feu?), tous consultants de BFM TV. Et cette vingtaine de convives illégaux donneurs de leçons d'avoir été verbalisés. Comprenez-vous pourquoi je n'allume plus ma télévision?
Alors que l'on ne cesse d'enquiquiner les Français pour qu'ils respectent scrupuleusement les ordres de autorités dans l'attente de la seul vaccination laquelle serait nos élites le seul remède à la « pandémie » (on attend toujours les chiffres de mortalité en rapport avec celle-ci), j'échangeais l'autre jour avec un attaché de presse taïwanais qui m'informait qu Taïwan n'avait pas encore débuté la campagne de vaccination. Et de me confier que les quelques 900 cas de Covid décelés sur l'île d'avoir été traités par médicament et non par un vaccin. Tiens, bizarre ! Traiter le Covid, c'est justement ce que Mr Défraichi interdisait aux médecins généralistes de faire à leurs patients, préférant le Doliprane puis l'acheminement des victimes aux urgences, une fois au plus mal. Ne se moquerait-on pas de nous ? Et ne serions-nous pas trop gentils ?
Car enfin, comment ne pas se révolter lorsqu'on vous menace des privations des libertés fondamentales si vous n'êtes pas vaccinés ? Je l'ai déjà écrit, et je le redis ici, nul ne peut vous contraindre à vous faire vacciner et le Conseil de l'Europe a d'ailleurs voté, le 28 janvier 2021, une résolution (résolution 2361) stipulant en articles 7.3.1 et 7.3.2 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner si il ou elle ne le souhaite pas personnellement. L'article 7.3.2 précise par ailleurs que quiconque ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner (https://pace.coe.int/fr/files/29004 , résolution 2361.pdf articles 7.31 et 7.3.2). Ce monde est à nous tous et nous ne devons pas accepter qu'une minorité spolie nos libertés fondamentales.
Question cruciale : comment s'est-on fait prendre au piège depuis un an ? C'est le sujet de la vidéo (https://youtu.be/m5QgeTxaTXE) du jeune Mikaz, c'est à dire l’ingénierie sociale et la manipulation des foules. Les méthodes de manipulation sont diverses :
la stratégie de la distraction
création d'un problème puis proposition d'une solution
s'adresser à nous comme à des enfants en bas-âge
s'adresser à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion
nous maintenir dans la bêtise et l'ignorance
remplacer la révolte par la culpabilité
la stratégie de la dégradation
Cette vidéo est très instructive et montre à quel point les êtres humains sont manipulés d'une manière ou d'une autre sans même en avoir conscience.
(merci à Odile et à Valérie pour leur participation).
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !
C'est sans chauvinisme aucun que je reconnais le talent de « Bretagne Magazine » qui nous propose dans son numéro des mois de mars-avril 2021 de (re)découvrir un trésor inédit, celui d'images quimpéroises signées Villard, des photos vieilles de plus de 150 ans. L'ensemble, promis à une probable destruction, fut dégoté par hasard l'année dernière en fin d'année par un collectionneur de Loire-Atlantique, Jean-Claude Potet. Rappelons que le photographe Joseph Villard fut pionnier cornouaillais en matière de photographie bretonne et fut celui dont la famille donna ses lettres de noblesse à la carte postale. C'est l'histoire de la découverte de ces photographies oubliées mais, malgré tout, bouleversantes d'authenticité, comme cette petite mendiante de Quimper, avec ses haillons, son regard triste et sa coquille Saint-Jacques pour sébile.
La même revue vous fait découvrir quelques-uns des plus beaux circuits vélo à faire seule ou en famille à Saint-Malo, du côté de la mer d'Iroise, de Névez, de Plougrescant et de Belle-Île. Sans oublier une escale en rade de Lorient, un gros plan sur le hérisson, une espèce à protéger, un article sur le sabotier de la forêt de Camors et un autre sur la tradition du poisson d'avril. https://www.bretagne.com/fr/bretagne-magazine
La Bretagne c'est aussi des PME performantes : SAVEOL (https://www.saveol.com/fr), la coopérative maraichère de Plougastel-Daoulas (29) en apporte la preuve, elle qui surfe actuellement sur l'essor du marché de la tomate cultivée sans pesticides tout en misant sur la fraise, en agrandissant son élevage d'insectes utiles (soit dix millions de punaises prédatrices, 130 millions de micro-guêpes parasites et 15000 ruches de bourdons qui serviront à la pollinisation). Autre exemple, l'entreprise morlaisienne Grain de Sail (https://graindesail.com/fr/) qui rentre en Bretagne avec une cargaison de 33 tonnes de masse de cacao destinées à l'ouverture d'une nouvelle unité de production de chocolat à Dunkerque. Qui a dit que la Bretagne manquait de talents ?
SEQUENCE NOSTALGIE
Les grands magasins apparaissent sur les boulevards de nos grandes villes au début du 19è siècle, avec leurs comptoirs multiples garnis d'assortiments sans cesse renouvelés. D'ailleurs appelés aussi « magasins de nouveautés », ceux-ci remplaceront progressivement échoppes médiévales des ruelles sombres et merceries du 16è siècle, affichant souvent des noms de rêve: Au Grand Mogol, Le Tapis rouge, Les Deux Magots, Aux Dames élégantes, Le Bazar des Bons Marchés...Accompagnant l'émergence des classes bourgeoises et de leur pouvoir d'achat, ces grands magasins pratiqueront l'entrée libre et des prix fixes et affichés qui mettront un terme à la notion de marchandage.
La révolution industrielle et la mécanisation, ainsi que la production en série qui en découlera, permettront à ces enseignes d'offrir des gammes de produits toujours plus larges et à des prix défiant toute concurrence. Le premier grand magasin parisien qui incarnera véritablement cette révolution commerciale sera « Le Bon Marché » conçu et réalisé en 1852 par Aristide Boucicaut. Et d'autres enseignes d'apparaitre à leur tour dans la capitale (et ailleurs en France) : Les Grands Magasins du Louvre en 1855, A La Belle Jardinière en 1856, les Grands Magasins du Printemps et la Samaritaine en 1865, les Magasins Réunis en 1866, les Grands Magasins de la Paix en 1869 et les Galeries Lafayette en 1896.
Le Centre des monuments nationaux fait, comme nous tous, contre mauvaise fortune bon gré en s'adaptant aux contraintes de la COVID. Et de proposer depuis quelques jours une web-exposition (https://www.chateau-angers.fr/Actualites/De-feu-et-de-soufre-l-armee-de-l-Apocalypse#) à découvrir en ligne, accompagnée de vidéos et tutoriels pour des vacances éducatives et ludiques.
Le Domaine national du château d’Angers présente toute l’année au public la tapisserie de l’Apocalypse, chef-d’œuvre médiéval unique au monde. Au-delà de son sujet religieux, la tapisserie raconte une histoire, celle de son époque troublée : la guerre de Cent ans. L’exposition « De feu et de soufre, l’armée de l’Apocalypse. La guerre au XIVe siècle » présentée au logis royal du Domaine national du château d’Angers, fait jaillir de la tapisserie les armes, protections du combattant et les pièces de harnachement du cheval. Et de montrer le contenu des panneaux, les salles, quelques-uns des objets les plus remarquables et les vidéos présentées dans le parcours de visite. Comme dans l’exposition au logis royal, des tutoriels sont proposés au jeune public pour s’équiper comme un chevalier en réalisant, avec l’aide des parents si besoin, un bouclier, un casque, une épée et même un cheval ! L’exposition est accompagnée de quatre vidéos de médiation en « 3 minutes chrono » pour découvrir de manière ludique et didactique des objets emblématiques : l’épée (« Excalibur, Joyeuse et Cie »), l’éperon (« Il était une fois dans l’Ouest »), le casque appelé chapel de fer (« Attention la tête! ») et le bouclier nommé targe (« Prêts, parez ! »).
Thème de l’exposition : Le XIVe siècle est marqué par un conflit endémique et sporadique que l’on appelle aujourd’hui la guerre de Cent Ans et dont le commanditaire de la tapisserie de l’Apocalypse, Louis Ier d’Anjou, est un des acteurs majeurs. Une véritable armée « de feu et de soufre » parcourt les différentes scènes de la tapisserie. On y voit des cavaliers vêtus de fer, des mercenaires menaçants, des civils déterminés qui se défendent et protègent leur ville... La précision de ces représentations offre un formidable témoignage sur les techniques de combat, l’armement des hommes et l’équipement des chevaux au XIVe siècle. Dans l’exposition, des épées, fauchons, armes d’hast, cottes de maille, casques, boucliers, selles, pièces de harnachement... sont mis en regard de leur représentation tissée. Cet événement a lieu en partenariat avec le musée de l’Armée (Paris), le musée Dobrée (Département de Loire-Atlantique) et l’Université d’Angers. Cette exposition bénéficie de prêts des musées Dobrée, de l’Armée, des Beaux- arts d’Angers et de la Résistance en Bretagne, des châteaux de Saumur et de Castelnaud, de l’Association L’alliance des Lions d’Anjou ainsi que de collections privées. https://www.chateau-angers.fr/#
Aimez-vous les puzzles ?
Inventé dans les années 1760 par John Spilsbury, qui eut le premier l'idée de découper la carte des pays du monde pour les vendre et permettre d'apprendre la géographie plus facilement est à l'origine du puzzle. Casse-tête mais excellent pour le cerveau, la pratique du puzzle améliore de manière significative certaines compétences cérébrales. Reconstruire un puzzle nécessite en effet patience et concentration. Ce loisir est tout de même plébiscité par 17 millions de millenials (génération des 17-35 ans) en France, soit le quart de la population, et notre pays est le premier marché des jeux de société et des puzzles en Europe (pour un chiffre d'affaires de 578 millions d'euros en 2019, soit une croissance de 122%).
Le client type du puzzle est une femme de 30 à 50 ans tandis que le puzzle obtenant les meilleures ventes comporte 1000 pièces (le marché propose différents modèles, de 100 à 500, 1000 ou 5000 pièces),un puzzle infiniment plus petit que le plus grand puzzle du monde qui compte...54000 pièces ! Ce loisir a aussi son championnat du monde annuel de puzzle qui récompense les assembleurs de puzzle les plus rapides au monde. Pour vos prochaines vacances ou votre prochain weekend, que diriez-vous d'assembler un puzzle Larousse, de la collection Puzzle thérapie illustré par Monsieur Z, graphiste du sud de la France connu grâce à ses affiches touristiques vintage et design?https://www.editions-larousse.fr/livre/puzzle-la-vie-en-couleurs-9782035997494
Les CanapEvasions de Cergy-Pontoise (95) : un guide à la maison
Depuis janvier dernier, l'Office de tourisme de Cergy-Pontoise Porte du Vexin a lancé ses visites virtuelles. La nouveauté : des visites numériques en direct par internet avec un guide-conférencier. Ces visites s'adressent aux adultes et adolescents qui pourront profiter de ce voyage culturel depuis leur canapé. Au programme : des balades adaptées au plus grand nombre, car elles permettront aussi dorénavant aux personnes en situation de handicap de découvrir virtuellement des sites difficiles d’accès (les souterrains de Pontoise et le Belvédère de l’Axe Majeur par exemple). Le détail de ces visites sont donnés sur le site de l'Office du Tourisme (https://www.ot-cergypontoise.fr/), là même où l'on doit effectuer ses réservations préalables.Une fois inscrit pour la visite, Vous recevrez un lien pour retrouver votre guide en live, via le logiciel Zoom. Au menu : une conférence virtuelle interactive d’1h30, des photos et vidéos immersives. Un ‘chat’ permettra également des échanges questions/réponses en direct avec votre guide.
Prochaines visites CanapEvasion: Pontoise au Moyen-Âge le 12 , Le village de Jouy-le-Moutier le 14 et L'eau et ses activités au fil du temps le 28 mars 2021.
Réouverture du Parc Oriental Maulévrier (49) le 13 mars 2021
Durant la fermeture hivernale annuelle, les jardiniers du parc ont aménagét un nouvel espace appelé « l’île du Soleil Couchant », ont dessiné de nouveaux chemins à travers les douze hectares du parc puis planté quelques 1000 végétaux. L’ouverture de la saison 2021, prévue le 13 mars, débutera avec Hanami, la fête des cerisiers en fleurs. Le parc propose ainsi un programme complet avec des temps forts d’animations thématiques tous les mois.
Pour la saison 2021, les horaires vont être étendus afin d’ouvrir plus longtemps et ajouter 14 nouvelles dates pour les nocturnes qui connaissent un vrai succès. Les jardiniers ont réalisé un tour de force en créant « l’île du Soleil Couchant », un nouveau jardin au fond du parc qui sera achevé d’ici un an environ.
Cette île se trouve à l’ouest du jardin et fait référence à la promenade dans le parc qui, de l’entrée à cette île, suit la course du soleil d’est en ouest. Cet espace d’environ 3 000 m2 créé par le propriétaire historique des lieux, mais qui n'avait jamais été aménagé, a été travaillé avec l’aide de professeurs japonais afin de permettre aux jardiniers du parc cette nouvelle attraction. En ce qui concerne les animations, un événement phare est proposé, avec notamment des temps fort comme Hanami, la fête des cerisiers en fleurs, qui débutera dès l’ouverture du parc le samedi 13 et jusqu’au 5 avril. De nouvelles animations verront également le jour ces prochains mois : les Contes et histoires du Japon le dimanche 18 juillet et à l’automne, Kōyō et Momijigari, la chasse aux feuilles rouges.
>Crée entre 1899 et 1913 par l’architecte parisien Alexandre Marcel, le Parc Oriental de Maulévrier est reconnu comme étant le plus grand jardin japonais d’Europe. Situé à 20 km du Puy du Fou, ce parc est composé d’un jardin japonais de 12 ha classé jardin remarquable, d’une serre de bonsaï, d’un salon de thé et d’une boutique. Et constitue un espace de méditation et de poésie qui s’apparente aux grands parcs japonais de promenade de la période Edo (17ème/18ème siècle). La composition des jardins japonais, leur symbolisme, relève d’un art sacré, et d'un moyen d'expression de diverses religions orientales. https://www.parc-oriental.com/
Visite du Château de Langeais (37)
En ce début de printemps, le château de Langeais propose aux visiteurs un parcours enrichi et une programmation variée pour mieux faire découvrir ses trésors. La visite débute dans la salle de mariage avec un mariage royal raconté par Stéphane Bern. Le 6 décembre 1491, au château de Langeais, Charles VIII épouse Anne de Bretagne dans le plus grand secret. Des statues de cire saisissantes de réalisme et un spectacle audiovisuel restituent cet évènement. Cette scénographie est entièrement renouvelée cette année, pour immerger les visiteurs dans les coulisses de cette union inédite. Cet évènement majeur méritait un chroniqueur et journaliste incontournable, passionné d’histoire et de patrimoine, en la personne de Stéphane Bern qui conte aux visiteurs, tel des témoins privilégiés, les enjeux de cette cérémonie, laquelle aura pour conséquence le début du rattachement de la Bretagne à la couronne de France.
Autre salle, celle consacrée à l'art de la tapisserie : Le château de Langeais rassemble une riche collection de tapisseries des XVe et XVIe siècles tout en offrant un espace reconstitué évoquant un atelier de lissier, avec son métier à tisser, ses outils indispensables et ses écheveaux de laine. Les visiteurs découvriront de manière pédagogique le contexte qui favorisa le développement de cet art, les principaux centres de production ainsi que les différentes techniques de tissage.
Pour découvrir le château et ses richesses, une application de visite est proposée aux visiteurs et permet de découvrir l’histoire du château, ses riches collections et la vie seigneuriale à la fin du XVe siècle. Des informations complémentaires permettent d’approfondir certains points, comme les datations et les origines des différentes œuvres. https://chateau-de-langeais.com/
Qui de l'oeuf ou du fonctionnaire... ?
La loi relative à la lutte contre le gaspillage prévoit l’entrée en vigueur, fin 2021, d’une étiquette environnementale – le futur « Ecoscore » - pour les produits agricoles et alimentaires. Mieux informer les consommateurs sur l’impact environnemental des produits est en effet l'objectif de ce nouveau texte. Oui mais...à l'heure actuelle, la méthode envisagée pour servir de base à cet Ecoscore ne prend pas correctement en compte les atteintes à la biodiversité et l’impact des pesticides puisque les impacts environnementaux calculés à partir de la base de données agricoles Agribalyse, qui jouera un rôle central dans l’Ecoscore, sont effectivement erronés car incomplets. Et de favoriser de manière aberrante l’agriculture intensive.
Concrètement, la loi ne tient aucun compte pour l'instant de l’usage de pesticides ou des antibiotiques ni de leurs impacts sur la santé, la qualité des sols, de l’air ou de l’eau. A l’inverse, les bénéfices de l’agriculture biologique ou de l’élevage en plein air sur la biodiversité et le bien-être animal ne sont pas intégrés dans les indicateurs. Voudrait-on laisser croire au consommateur que la ferme des 1000 vaches ou l’élevage de poules en cage est ce qui se fait de mieux pour l’environnement ? A suivre...
Le projet « smart station » étendu à plus de 570 gares françaises
la SNCF Gares & Connexions poursuit ses investissements. Ainsi, le projet "Smart Station" (comprenez « gare déshumanisée ») qui sera déployé dans une huitième gare dans quelques semaines sera étendu à 579 gares dans toute la France, d'ici à 2023. L'objectif est de mieux contrôler la performance énergétique de ces lieux et de gérer le matériel. Place à la seul rentabilité et adieu à la présence humaine ! Ainsi, le projet "Smart Station" prévoit de digitaliser, automatiser et centraliser la surveillance des équipements en gare, mais aussi d'améliorer la performance énergétique des installations. ENGIE Solutions a développé des solutions digitales innovantes et prévoit de déployer à terme plus de 6 000 objets connectés, via les équipes Vertuoz, spécialisées dans la supervision. Vertuoz gère déjà près de 90 000 bâtiments et plus de 400 000 objets connectés. Elle contrôle en temps réel plus de 110 000 points de collecte, qui permettent de réduire de plus de 230 000 tonnes par an les émissions de CO 2 de ses clients.Quant aux rares agents encore en charge de l’exploitation des gares, ils pourront visualiser rapidement les lieux d’incidents, prioriser les interventions, agir à distance et surveiller un vaste périmètre de façon plus intuitive et efficiente. Chiche !
Digitalisation des résultats de tests COVID « ICC AOKpass » bientôt sur Air France
Dès le 11 mars, Air France débutera une phase de test de la solution de digitalisation des résultats de tests COVID « ICC AOKpass ». Cette solution sera disponible sur les lignes au départ de Paris-CDG vers Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) et Fort-de-France (Martinique).
Ouverture du salon virtuel Virtual Nautic les 12 & 13 mars 2021.
Dans un esprit de résilience, ce nouveau grand rendez-vous virtuel de la communauté nautique s’est donné pour objectifs de promouvoir le savoir-faire du secteur nautique (15 milliards d’€ de retombées pour 150 000 emplois directs et indirects) et de présenter l’exceptionnelle richesse de l’offre aquatique française (littoral, lacs, rivières, en hexagone comme en outre-mer) auprès des passionnés et des amateurs d’activités nautiques.
Pour cela, la FIN (Fédération des Industries Nautiques) a choisi une plateforme innovante qui reproduit l’environnement d’un salon physique et offre une expérience immersive et chaleureuse aux participants, en leur permettant notamment, de dialoguer oralement, de réaliser des présentations sur tous supports (vidéo de promotion, vidéo 360°, brochures...), et de prendre des rendez-vous...
Virtual Nautic permettra d’accueillir gratuitement des visiteurs nationaux comme internationaux et sera un outil de promotion touristique, en utilisant un format inédit et à un coût très réduit par rapport à un salon physique. https://www.fin.fr/virtual-nautic
Sortie de la deuxième édition du « Guide des Grands Parisiens », ce lundi 8 mars
Ce guide culturel pionnier, imaginé par les Magasins généraux et « Enlarge your Paris », propose plus de 300 adresses et bons plans à travers dix grands quartiers s'affranchissant du périphérique. Ce livre est disponible en anglais et en français, au prix de 20€.
Effet de Manche (50) pour la prochaine saison touristique
De nouvelles sensations, à consommer dès l'été prochain, sont déjà annoncées et des idées novatrices ont aussi vu le jour :
Captain Airbase emmène ses passagers survoler la côte des havres, cette partie de la côte Ouest, si authentique. Décollage de l’aérodrome de Lessay pour un baptême de l’air tout en douceur, à la découverte du havre de Saint-Germain-sur-Ay ou encore du château de Pirou. https://www.baptemedelair-airbase.com/
Cousin du canyoning, le coastering est né en Irlande et mêle nage et escalade. Le littoral du Cotentin, avec ses falaises escarpées, est particulièrement adapté à cette pratique sportive procurant de belles sensations. Elle se pratique dès l'âge de 8 ans et consiste à escalader des parois abruptes, sauter dans des trous d’eau, explorer des grottes insoupçonnées, ou encore plonger dans des courants vivifiants. https://secourisme50.assoconnect.com/page/858874-reserver
Louer un bateau électrique sur la Douve : ce nouveau service de location de barques électriques permet d’être en immersion dans la nature, tout en douceur et dans le respect de l’environnement. Observer et amarrer à son rythme, au gré des bouées mises à disposition sur la Douve. Balades de 1 à 3h pour 5 à 9 personnes et possibilité de repas terroirs fournis sur place. (barque équipée de banquettes et d’une table). https://www.decouvertemarais.com/
Le Guide vert Michelin 2021 distingue quatre nouveaux sites
Coutumier du fait, ce guide récompense chaque année les sites qu'il juge intéressants (une étoile), les lieux méritant un détour (deux étoiles) ou qui valent le voyage (trois étoiles). La première distinction concerne l'église Saint-Etienne (https://www.normandie-tourisme.fr/sites-lieux-de-visites/eglise-abbatiale-saint-etienne) de Caen (14), pour laquelle le guide évoque une référence à l'art normand et anglais. "Une des plus belles églises romanes d'Europe remise en perspective par une nouvelle revue des étoiles des grands édifices religieux, en Europe, en 2020." L'église a probablement été fondée au Xe siècle alors que la ville de Caen connait son premier essor notable.
Symbole de l’architecture du XXe siècle, l'église Saint-Joseph (https://unesco.lehavre.fr/fr/decouvrir/leglise-saint-joseph) du Havre (76) est inscrite au titre des Monuments historiques depuis le mois d'octobre 1965 avant d'être classée en 2018. Elle est identifiée comme l'un des éléments remarquables de la ville reconstruite par Auguste Perret, bien inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco en 2005.
>La distinction accordée à l’Abbaye de La Chaise Dieu (https://www.abbaye-chaise-dieu.com/) est motivée par la richesse du mobilier inestimable que l’Abbaye contient, par une restauration des lieux très réussie avec un parcours de visite cohérent et instructif, par des visites guidées de grande qualité, et par l’organisation, en ses lieux et depuis plus de cinquante ans, d’un festival de musique renommé. Pour les gestionnaires du site, elle vient couronner plusieurs années de travaux et de développement initiés il y a presque quinze années. Situé au cœur du Livradois-Forez, l’ensemble abbatial de la Chaise-Dieu fait l’objet depuis 2007 d’un programme exceptionnel de réhabilitation mené par un Syndicat Mixte composé des trois collectivités territoriales : le Département de la Haute-Loire, l’Agglomération du Puy-en-Velay et la Commune de la Chaise-Dieu.
Lors de la remise de la 3e étoile au Domaine de Chantilly (https://domainedechantilly.com), le conservateur du musée a insisté : « Les collections du Château de Chantilly constituent le joyau du Domaine. On ne le sait pas assez ! » Le duc d’Aumale rassembla ici des trésors inestimables de l’art européen. Dans le cadre de la revue des neuf critères d’attribution des étoiles du Guide Vert Michelin pour les grands musées français, il est apparu évident que Chantilly mérite désormais sa place aux côtés des 23 autres grands musées de France qui ont trois étoiles et donc « valent le voyage ». Les collections, maintenues dans leur présentation d’origine, méritent amplement cette distinction d’autant que le musée Condé a obtenu le label « Musée de France » en 2020, qu’il bénéficie d’une politique de conservation et d'une médiation culturelle remarquables.
En Mars à la Cité du Vin (Bordeaux)
En attendant de pouvoir rouvrir ses portes, la Cité du Vin garde le lien avec ses visiteurs et multiplie les évènements en ligne. En mars, trois nouveaux rendez-vous sont à découvrir. Au programme : après la conférence du 3 mars (Qui a lu…boira la fiction du vin au XIXème siècle, consacrée à la littérature, dans le cycle des Vendanges du Savoir), voici « Le vin, une affaire de femmes ? » à l’occasion de la Journée Internationale du droit des femmes le mardi 9 mars à 19h00 : Longtemps critiquée et moquée, la présence des femmes au sein des cercles de dégustation s’est développée ces dernières années. De nombreux exemples, de Jancis Robinson à Pascaline Lepeltier, des blogs féminins de dégustation de vin aux associations de vigneronnes et de dégustatrices, viendront confirmer cette évolution et le nouvel intérêt des femmes pour l’exercice de la dégustation. Un évènement animé par Laure Menetrier, directrice du Musée du vin de Champagne et d’archéologie régionale. Informations et inscriptions sur : https://www.laciteduvin.com/fr/vivez-la-cite-du-vin/evenements-spectacles/levin-une-affaire-de-femmes
Une nouveauté, Les rencontres en ligne, fait enfin son entrée, selon un concept conçu pour rencontrer depuis chez soi des personnalités de l’univers du vin à l’autre bout du monde à travers une heure d’échanges et de discussions avec des personnalités internationales du monde du vin. Pour ce premier numéro, c’est la Hong-Kongaise Jeannie Cho Lee, Master of Wine et administratrice de la Fondation pour la culture et les civilisations du vin, qui reviendra sur son parcours et partagera son expertise sur le marché du vin en Asie. Un évènement animé par Mathieu Doumenge, rédacteur en chef adjoint du magazine Terre de Vins, accessible en anglais et en français, grâce à une traduction en direct. Informations et inscriptions : https://www.laciteduvin.com/fr/vivez-la-cite-du-vin/evenementsspectacles/hong-kong-avec-jeannie-cho-lee-master-wine
900è anniversaire de la Tour de Crest (26)
Construite au XIIe siècle, dominant la vallée de la Drôme, elle constituait l'élément majeur d'un imposant château, composée de trois tours imbriquées. En 1633, Louis XIII démantèle le château et seule la tour est conservée pour servir de prison. Symbole de l'arbitraire royal, la Tour de Crest est surnommée "La Bastille du Sud". Ses derniers prisonniers, en 1851, furent les opposants républicains au coup d'État de Napoléon III. Ce printemps, la Tour de Crest propose un parcours de visite enrichi, avec une reconstitution historique inédite. La programmation des animations s'annonce également très riche, avec notamment la possibilité de descendre la tour en rappel.
Grâce à un système audio, des mises en scènes et des cellules de reconstitution, le visiteur vit une véritable expérience immersive. Il est transporté au cœur de la vie quotidienne des détenus de l'époque, avec Alexandre de Montrond, major de la Tour au XVIIIe siècle, et découvre ainsi leurs conditions de vie, les tentatives d'évasion, etc...La visite permet également de mieux comprendre la relation entre le monument et la ville de Crest. En plus de visiter un vestige médiéval unique en France, le public peut prendre connaissance des documents historiques, admirer les maquettes de construction des trois tours imbriquées, et s'émerveiller devant la vue panoramique exceptionnelle qu'offre ses terrasses, sur la vallée et les reliefs de la Drôme, du Vercors, des monts d’Ardèche. https://tourdecrest.fr
Esch-sur-Alzette (Luxembourg), capitale européenne de la culture en 2022
Esch2022 incarnera une nouvelle génération de destinations européennes originales et avant-gardistes et l’expression du changement d’un territoire jadis dominé par l’industrie minière, avec pour objectif de créer une nouvelle perception de la région comme destination culturelle et touristique attrayante, de renforcer l’identité régionale et de façonner durablement l’avenir de toute une région. Esch2022 c’est une nouvelle destination de voyage pour les amoureux de la nature avec la région du Minett, ou « Pays de la Terre Rouge », labellisée réserve de biosphère par l’Unesco, à découvrir en mobilité douce grâce au « Minett-Trail », un chemin de randonnée qui relie onze communes du sud du Luxembourg, lieux ponctués d’hébergements insolites, ou encore la réserve naturelle Prënzebierg, et ses nombreuses pistes de VTT.
Il s’agit d’une programmation ambitieuse, conçue en partenariat avec les communes luxembourgeoises et françaises, des artistes, des groupes et des associations régionaux, et également des institutions culturelles internationales où l’art digital occupera une place centrale. Parmi les temps forts de cette programmation culturelle dont le fil rouge est l’innovation et la créativité́. Autre événement, l'exposition «Remix nature», en partenariat avec Haus der elektronischen Künste (HeK) à Bâle, sera l’occasion de se pencher sur les liens entre technologie, culture et nature, creusant la notion d’anthropocène (de juin à août 2022).«Remix Art», réalisée en partenariat avec Ars Electronica, interrogera les rapports entre arts et science, le rôle de l’artiste et de l’art dans le cadre des développements numériques (de septembre à novembre 2022 et «Perspectives of Europe», exposition immersive et multimédia, conçue en collaboration avec Historical Consulting et Tinker Imagineers, qui se présente comme une ouverture sur le futur, le monde en devenir, l’Europe en évolution, clôturera l’année (décembre 2022). https://esch2022.lu/
2021, année du bicentenaire de la disparition de l'empereur de tous les Français
Notre pays a ainsi hérité de grands hommes qui ont su hisser la nation au premier rang par leur talent, leur autorité et leur ingéniosité. Mon site couvrira l'ensemble des évènements prévus à cette occasion, dont voici le calendrier :
Au Musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préaux
Du 17 mars au 3 mai , exposition « Autour des collections de porcelaines de Joséphine, regards de Setsuko » ou comment la personnalité de l’impératrice Joséphine et son goût pour la porcelaine ont inspiré l’artiste Setsuko. Conférence Setsuko Klossowska de Rola - Isabelle Tamisier-Vétois à la Médiathèque de Rueil (mercredi 14 avril, 20 h 30 ).
Du 5 mai au 6 septembre « Napoléon aux 1001 visages » : à travers les multiples représentations de napoléon, quels étaient les véritables traits de cette figure légendaire de l’Histoire de France ? Conférence du Docteur Philippe Charlier à la Médiathèque de Rueil : Autour de l’étude scientifique du masque mortuaire de Napoléon (mercredi 16 juin, 20 h 30 )
Du 17 septembre au 18 octobre « Créations autour d’une robe de Joséphine » : à l’occasion de la copie d’une robe de l’Impératrice par les élèves de l’Ecole Duperré, présentation d’interprétations contemporaines de robes ou d’accessoires de mode de style Empire par les élèves. Conférence de Céline Meunier et de l’école Duperré à la Médiathèque de Rueil (mercredi 6 octobre, 20 h 30)
Du 27 octobre au 3 janvier « Eclairages sur des œuvres d’Oscar Rex » : le peintre austro-hongrois Oscar Rex (1857-1929) conçut peu avant 1900 un ensemble d’une trentaine de peintures sur des épisodes saillants de la carrière de Napoléon. Le château de Malmaison en conserve plusieurs dans ses collections.
Le Musée Napoléon de l'Île d'Aix (17) présente aussi l'exposition « Sous la dictée de l'Empereur » du 2 juin au 30 septembre.Conférence : mardi 19 ou 26 octobre, à la Médiathèque du Patrimoine, 19 h 30.
Le Musée national de la Maison Bonaparte à Ajaccio (Corse) présente « Dans le marbre et l’airain : la mémoire des Bonaparte en Corse » et la découverte des monuments funéraires dédiés à la famille Bonaparte en Corse , du 10 avril au 11 juillet.
Ce même musée invite le public à l'exposition « Les Bonaparte et l’antique, un langage impérial « , pour partir à la découverte de la bibliothèque du cardinal Fesch en partenariat avec la Bibliothèque municipale d’Ajaccio, du 25 septembre 2021 au 9 janvier 2022.
Autre exposition, « Napoléon » présentée à la Grande Halle de la Villette, à Paris (19è), du 14 avril au 19 septembre.
Le Musée de l'Armée à Paris (7è) présente l'exposition « Napoléon n'est plus » (du 31 mars au 19 septembre), puis « Napoléon ? Encore ! » (du 7 mai 2021 au 30 janvier 2022).
Le Mobilier national (Paris 13è) convie les visiteurs à l'exposition « Les palais disparus de l'Empereur » (du 16 septembre 2021 au 4 janvier 2022).
Exposition « Un Palais pour l'Empereur. Napoléon 1er à Fontainebleau » (du 14 septembre 2021 au 4 janvier 2022), au Château de Fontainebleau (77).
Le Château de Versailles (78) propose une programmation de visites des espaces napoléoniens de Versailles et de Trianon, notamment de l’attique Chimay récemment restauré avec un nouvel accrochage de plus de 150 œuvres retraçant l'épopée napoléonienne. Des contenus numériques inédits, vidéos et visites virtuelles sur la première collection napoléonienne au monde seront également disponibles sur www.chateauversailles.fr
Quoi de neuf chez Airbus ?
Biomass, le satellite de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) pour l’étude des forêts prend forme : ce satellite est partie intégrante de la mission Earth Explorer de l'ESA dont le lancement est prévu en 2022. Il étudiera la biomasse forestière afin d'évaluer les stocks et les flux de carbone terrestre pendant cinq ans. Le satellite emportera le premier radar à synthèse d'ouverture en bande P embarqué dans l'espace et fournira des cartes exceptionnellement précises de la biomasse des forêts tropicales, tempérées et boréales, que les techniques de mesure au sol ne permettent pas d'obtenir.
Il est une région, située à une heure de Paris et autour de Pithiviers, qui s'étend de la forêt d'Orléans au Malesherbois, de la Beauce au Gâtinais jusque Puiseaux et Beaune-la-Rolande : le Grand Pithiverais. Celui-ci est traversé par les vallées de l'Oeuf et de la Rimarde qui se rejoignent au-dessus de Pithiviers afin de former l'Essonne. C'est à cette balade que je vous convie cette semaine.
Yves
Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Chine 3) Canada 4) Etats-Unis 5) Belgique 6) Suisse 7) Bulgarie 8) Algérie 9) Espagne 10) Royaume-Uni
Le Grand Pithiverais (Loiret, France)
Râleur à mes heures (ce qui fait de moi un vrai Gaulois !), je reste toutefois optimiste car je connais trop la richesse de mon pays. La France est ainsi faite, d'une incroyable mosaïque de paysages, de cultures et d'identités. Le Grand Pithiverais, situé dans le département du Loiret, procure un dépaysement naturel et authentique à qui souhaite découvrir bocages du Gâtinais, plaines de Beauce, forêt d'Orléans ou vallées de l'Essonne. Sans parler de la gastronomie d'exception offerte par cette région bénie des dieux (miel du Gâtinais, Brioche beaunoise et gâteau Pithiviers) et de son riche patrimoine. Partons à la découverte de ce qui fut autrefois la province de l'Orléanais (...)