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Lettre envoyée le 25/10/2021



 

 

Lundi 25 octobre 2021                                                                               La Lettre N°557

 

 

40 ans d'Anti-France ! … et ça continue

 

L'élection présidentielle française aura lieu dans quelques mois et l'heure est au bilan. Pas de celui du dernier président, qui demeurera à jamais pour moi comme le serviteur zélé des multi-milliardaires mondialistes et le premier président qui a divisé le peuple en deux, en réduisant nos libertés fondamentales sous le prétexte d'une supposée pandémie. Un comble au pays des droits de l'homme ! Ne nous acharnons pas sur un seul être car cela n'apporte rien au débat. Penchons-nous plutôt sur les quarante dernières années que notre pays a vécues dans la décadence. Cet édito, je l'espère, rafraichira la mémoire des plus anciens et enrichira la culture politique des plus jeunes, dont certains voteront en 2022 pour la première fois et à qui on s'est bien gardé de dire que notre pays était une grande nation bien gérée jusqu'en 1981.

Il est un fait qu'en 1975, la France était la deuxième puissance économique mondiale, juste derrière les Etats-Unis, au moment où notre pays sortait de l'âge d'or des Trente Glorieuses (on appelle Trente Glorieuses la période de forte croissance économique et d'augmentation du niveau de vie que connurent alors la plupart des pays développés entre 1945 et 1975, avec la découverte de la société de consommation). Il est vrai qu'en ce temps-là, la Chine vivait encore au Moyen-Âge, ne fabriquant que des cerfs-volants et des lampions et circulant surtout à vélo. L'Allemagne était coupée en deux (l'Allemagne de l'Ouest d'un côté, et l'Allemagne de l'Est de l'autre) et le Japon ne s'était pas encore relevé de 1945. Quant à l'Angleterre, elle était enlisée dans les grèves corporatistes jusqu'à ce que Margaret Thatcher ne prenne la tête du pays et mette au pas les syndicats, d'où son surnom de « Dame de Fer ».

Notre France vivait encore sur les restes de la politique de développement initiée par le général de Gaulle (dont j'ai donné les détails dans un autre éditorial) : à la pointe de toutes les technologies, notre nation était performante dans le nucléaire civil et militaire, avait inventé le TGV, construit des paquebots géants, lancé des sous-marins nucléaires, et rayonnait grâce à ses avions Mirage (vainqueurs de la « Guerre des Six jours »), la fusée Ariane et l'avion français Caravelle. Comment en effet ne pas être conquérant avec une croissance de 5 à 6% durant trente ans ? A l'époque, notre pays ne connaissait ni chômage, ni insécurité.

La France accueillait « raisonnablement » des populations extérieures qui ne demandaient qu'à s'intégrer (des immigrés originaires de l'Italie, de l'Espagne et du Portugal, bref du même creuset culturel que le nôtre, désireux de s'intégrer et qui donnaient à leurs enfants des prénoms ...français!).

Qui se souvient qu'en 1980, les Français avaient le cinquième niveau de vie au monde, derrière les Etats-Unis, la Suisse, le Luxembourg et la Suède ? Ces Trente glorieuses ne connaitront qu'un seul accroc, la révolution d'enfants gâtés issus de la bourgeoisie de Mai 1968, un signe avant-coureur dont personne ne se méfia sur l'instant car effacé en quelques mois pour laisser à nouveau la croissance se poursuivre.

Vont alors intervenir des responsables politiques de tous bords pour liquider une fois pour toutes l'héritage du général de Gaulle, en quelques décennies seulement. En fait, tout fut mit en place pour faire perdre à la France sa compétitivité économique. Il fallait détruire ce pays arrogant et trop dangereux pour ses compétiteurs anglo-saxons en introduisant le loup dans la bergerie : on ouvrit alors grandes les portes de l'immigration à tout-va, en vertu d'accords européens (Cf l'ouvrage de l'historienne britannique Bat Ye'Or « Eurabia, l'Axe Euro-Arabe ») visant à fusionner à terme les deux rives de la Méditerranée avec les pays de la Ligue arabe et autorisant la civilisation arabe à conquérir sans limites et à tous niveaux notre vieux continent, à la suite de la crise pétrolière. On dépensa sans limite, on s'endetta sans se préoccuper de la dette que nos enfants auront à régler et l'on culpabilisa les Français pour ce qu'ils sont, à commencer pour leur couleur. On priva des générations entières d'écoliers d'un système éducatif digne de ce nom faisant de l'école de Jules Ferry une honte nationale dans le classement PISA. L'ancien sanctuaire de transmission du savoir fut remplacé par un espace de plus en plus dominé par les nouveaux venus, un espace où règne de surcroit l'insécurité, la haine de la France et les coupeurs de têtes. Le rapport Obin tirera bien la sonnette d'alarme en 2004 mais le manque de courage de nos politiques n'aura de cesse de classer les rapports à la verticale. Devenue une usine à cancres, l'Education nationale forme désormais des bacheliers dont la plupart ne maitrisent même plus la langue de Molière.

Hautement performante en 1975, notre industrie nationale fut bradée par nos dirigeants, plus soucieux des marges bénéficiaires à court terme que de la stratégie d'indépendance de la France à long terme. On brada ainsi l'acier français, et l'on revendit aussi aux Américains les turbines nucléaires d'Alstom. Trahison d'Etat ? Je vous laisse juge. Des millions d'emplois seront sacrifiés au passage et la part de l'industrie dans le PIB passera de 25 à 10% dans un premier temps et même au-dessous depuis. La faute à la mondialisation ? Celle-ci n'explique pas tout car nos voisins européens font mieux que nous. Prenons le secteur agricole français : troisième exportateur mondial en 2005, notre pays a depuis été rétrogradé au sixième rang, derrière les Etats-Unis, les Pays-Bas, l'Allemagne, le Brésil et la Chine et au premier rang des pays dont les agriculteurs se suicident par désespoir. Et la France de devenir probablement importatrice de produits agricoles en...2023 ! Nos dirigeants, depuis quarante ans, n'ont eu de cesse d'écraser nos paysans de charges, taxes règlements et normes environnementales et sanitaires parfois absurdes. Côté budget, comment se fait-il que nos gouvernants trouvent le l'argent pour des mineurs isolés (un seul d'entre eux coute 50000€ par an au contribuable Français) et qu'un paysan vit souvent avec 350€ de revenus par mois. Vous avez dit préférence nationale ?

Au nom des petits profits et de la réduction des déficits, notre système de santé s'effondre lui aussi compte tenu de sa gestion calamiteuse durant ces dernières décennies : fermetures des hôpitaux, baisse des effectifs et...la fameuse suppression de lits engagée depuis plusieurs années et qui justifie aujourd'hui les pires abus en matière de politique sanitaire face à la Covid-19. Combien de nations dans le monde envoyèrent-elles l'année dernière ses soignants affronter la pandémie, sans masques, sans blouses, sans gants, sans respirateurs, sans tests et sans médicaments ? Combien de pays durent-ils se résoudre à trier nos ainés dans le traitement de la Covid-19 ? Combien de gouvernants applaudirent-ils un temps leurs personnels médicaux pour les...virer un an plus tard, sans salaires ni indemnités car ils refusaient l'injection d'une substance toujours en cours d'expérimentation ?

Nos forces de l'ordre sont logées à la même enseigne que nos soignants : abandonnée, la police travaille dans des locaux vétustes, se déplace avec des guimbardes affichant 300000 km au compteur et souffre de sous-effectif chronique. Sans parler qu'ils doivent s'équiper à leurs frais, comme d'ailleurs nos militaires qui, eux aussi, souffrent d'un sous-équipement depuis trop d'années.

Côté transports, ne parlons pas de la la SNCF. Ou plutôt si, abordons la folie des années 1980 qui consacra tout au TGV aux dépens des petites lignes, maillage pourtant essentiel du territoire, au même titre que le réseau des routes secondaires (imaginez un réseau routier national uniquement fait d'autoroutes!). Le TGV fera longtemps la fierté de notre pays, une vitrine unique de notre savoir-faire industriel et une belle carte de visite pour notre société nationale de transport ferroviaire. Or, après avoir jeté son dévolu après des années sur le « tout TGV », 30% du réseau national est à remettre en état. C'est ballot !

Sommes-nous au moins en sécurité en France ? Après tout, la sécurité fait partie des missions régaliennes de l'Etat. Que nenni ! L'insécurité a été au moins multipliée par cinq depuis les années 1960. Un péril grandement importé de l'extérieur, et aussi le résultat du laxisme judiciaire qui veut qu'il faut plutôt tout pardonner aux agresseurs que de défendre les victimes. Notre pays est le seul au monde où les commissariats sont attaqués et où les policiers, présumés coupables, sont fortement incités à ne pas sortir leur arme. Résultat : + 16% de hausse du nombre d'agressions (350000 agressions entre janvier et juin 2021 au lieu de 300000 à la même période de 2020) et un triste record pour l'Outre-mer (en tête du classement, la Guyane, la Guadeloupe, la Martinique et Mayotte), suivis par la Corse du sud, puis l'Hexagone (Haute-Marne, Loir-et-Cher, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Val-d'Oise).

Au chapitre de la dette publique, celle-ci a explosé depuis 1975, pour atteindre 116% du PIB français, soit 2798 milliards d'euros cette année, soit une dette ramenée à plus de 30000€ par Français (au lieu de 1000€ en 1975). Ne pourrait-on pas couper dans certaines dépenses ? Bien sûr que oui mais nos dirigeants n'on aucune volonté ni courage pour cela. La planète entière le sait, la France rase gratis depuis des décennies, distribuant les visas, puis l'argent sans limites aux populations extérieures à notre territoire (qui auraient tort de ne pas en profiter, à l'exemple de cette carte bancaire offerte par notre ministère de l'Intérieur à tout demandeur d'asile et qui est crédité de 1200€ mensuels, aux frais des contribuables que nous sommes!). Point besoin d'être énarque pour déduire que notre pays est proche de sa disparition, tout simplement par ce que notre supériorité démographique ne tient plus qu'à un fil et qu'elle sera bientôt réduite à néant, au profit d'une autre culture qui est déjà majoritaire dans plusieurs milliers de quartiers de notre république. Ou comment rayer de la carte un territoire millénaire patiemment modelé par nos rois au fil des siècles. Vous n'en n'aviez pas rêvé ? Moi non plus, mais nos élus l'ont tout de même fait ! Et çà, je ne m'y résous pas.

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

Il ne faut pas croire que les relations entretenues entre voisines sont toujours au beau fixe. Prenez Saint-Cast-le-Guildo et Saint-Jacut-de-la-Mer par exemple, deux charmantes petites villes côtières situées sur la Côte d'Emeraude : une certaine rivalité exista longtemps entre les habitants de ces deux entités, comme nous le rappelle le Télégramme de Brest dans son excellente rubrique «Les Tribus bretonnes ». D'un côté de la baie de l'Arguenon, se dresse Saint Cast (à bâbord) et de l'autre Saint-Jacut (à tribord). Bien qu'ancestrales, certaines réflexions étaient parfois mal ressenties comme lorsqu'on posait cette simple devinette : Pourquoi les enfants de Saint-Jacut ont-ils les oreilles décollées ? Parce que leurs parents les soulèvent par les deux oreilles en leur disant « regarde vers Saint-Cast comme c'est beau ! ». Querelles de bonne guerre entre Castins et Jaguëns ? Les habitants de Saint-Jacut taquinent eux aussi les Castins d'en face et cela ne date pas d'hier, puisqu'ils surnommaient les marins de Saint-Cast les « P'tits Jaonets « (Petits Jaunes), un sobriquet qui puise ses racines à la tenue ancestrale de ces pêcheurs castins qui partaient pour la grande pêche revêtus de toiles tissées en lin et en chanvre enduites de cire d'abeille pour les rendre imperméables (en quelque sorte l'ancêtre du ciré actuel). Yves Castel, historien local de Dinan avance une autre explication en rappelant que lorsque Saint-Cast devint une station balnéaire au début du 20è siècle, on y vit circuler des pièces de 20 francs or (qui pourraient bien être ces petits joanets, histoire de moquer l'aspect trop riche des Castins en face des Jaguëns plus pauvres !). Il est vrai qu'à Saint-Cast, on avait tendance à sourire des « miséreux » habitants de Saint-Jacut acculés à la petite pêche au maquereau, et dont on prétendait que l'odeur du poisson séché remontait jusqu'à Plancoët (d'où cet autre surnom de « Pue-la-raie »). Cette pêche assurera tout de même la survie de Saint-Jacut jusque dans les années 1950-1960 grâce à une flottille de quarante bateaux de pêche. De leur côté, les Jagüines (femmes de Saint-Jacut) remontaient l'Arguenon pour y pêcher le chevrin (bébé crevette) qui servait d'appât pour pêcher le maquereau. Et lorsque le chevrin manquait, les femmes partaient à la pêche aux coques pour nourrir la famille. Dans les années 1960, Saint-Jacut comptait pas moins de onze bistrots (autant que de plages!), un état de fait qui suffisait à certains pour qualifier leurs voisins de chercheurs d'embrouilles le samedi soir à Saint-Potan, Matignon, Ploubalay ou au Guildo...Les chicanes sont nombreuses dans l'histoire locale et l'une d'entre elles se transforma en bataille navale au cours du 16è siècle : deux armadas de pêcheurs qui se disputaient alors une même zone de pêche à grand renfort de cailloux et de sable aurait un jour déclenché une bataille navale qui sera finalement remportée par les Castins. Quelle est la part de vérité ? Mystère, mais ce qui est important c'est que nos deux communautés vivent aujourd'hui en bonne intelligence !

 

SEQUENCE NOSTALGIE

« Vidocq » reste dans toutes nos mémoires : treize épisodes de 25 minutes furent ainsi consacrés aux mémoires d'Eugène-François Vidocq, un ancien bagnard devenu policier au début du 19è siècle. La toute première série portera le nom de Vidocq, et la seconde, Les Nouvelles Aventures de Vidocq. On se souviendra de la prestigieuse distribution avec notamment Bernard Noël (François Vidocq), Geneviève Fontanel (Annette), Alain Mottet, Jacques Seiler, Henri Crémieux, Pierre Tornade...

La première diffusion de ce feuilleton aura lieu le 7 janvier 1967 sur la première chaine de l'ORTF, avec l'épisode intitulé « l'éternel évadé » dans lequel Pierre Pernet fera son unique apparition dans le rôle de l'acrobate (https://youtu.be/dk-bqr5XwAk?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW). Suivront les autres épisodes: https://youtu.be/5LtUSQRSO5I?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/zI-wUO5RQ5M?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/pGAy07_fWYo?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/EYIE2TiK7gg?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/qnVKSy0QKpk?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/E-UUrDn0aB0?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/JT5p5pb1an4?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/pZjjul_J9v4?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/I5Z6CaK8RK4?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/WoFCaXHdhFE?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/vcvFJ1_MpYg?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW, https://youtu.be/YXcSew4_4rc?list=PLgodZOGJOln9gJDN0uYG6eWMxkN46UKTW. Générique : https://youtu.be/sq3HYzT2Nm4


 

UN PEU PLUS DE GENIE

Merci à Muriel qui me transmet cette merveilleuse graine de génie : https://www.facebook.com/watch/?v=315150706766264

 

VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...

  • « Ne faites jamais confiance à la justice de votre pays », de Claude Butin (Les Trois Colonnes) : La magistrature française est en souffrance. « Juger, c'est apprécier. » « Il faut respecter le temps de la justice. » De beaux principes ! Mais le pouvoir d'appréciation du juge se réduit de jour en jour, sous la pression de sa hiérarchie et sous le poids de lois opportunistes toujours plus contraignantes. On a récemment intégré dans la grille d'évaluation des juges, un critère de rentabilité : une prime annuelle est versée en fonction du nombre de dossiers traités. Les juges sont-ils encore capables de se prononcer en leur âme et conscience ? La justice peut-elle vraiment être rendue en toute liberté, sans tenir compte de ce qu'attend la hiérarchie ? Existe-t-il encore des magistrats prêts à exercer leur mission sans être d'abord préoccupés par leur avancement ? Ce livre est le témoignage sincère d'un juge passionné qui n'avait cessé de croire en la justice... jusqu'au jour où il a dû rendre des comptes à ses pairs, après s'être déplacé place Vendôme pour mettre son propre ministre en examen. Une plongée dans le monde de la justice, un constat sans concession qui fait froid dans le dos. Après avoir lu ce livre, vous vous y reprendrez probablement à deux fois avant de faire appel à un juge.

  • L'Allemagne en embuscade pour tenter de contrôler le système énergétique français : écoutez Fabien Bouglé, auteur du livre « Nucléaire : les vérités cachées » (Editions du Rocher) interrogé par André Bercoff (Sud Radio). https://youtu.be/UqCzPMxhb3U

  • Electricity Map (https://app.electricitymap.org/map) est un site qui recense les mix électriques de différents pays (dont l'Europe) en temps réel. Les données proviennent directement et automatiquement des gestionnaires de transport d'électricité comme RTE (France). Très instructif !

  • Le tri des déchets : https://twitter.com/i/status/1449601314145583107

  • « La Mafia d'Etat » de Vincent Jauvert (Seuil) : En France, un petit groupe de hauts fonctionnaires truste la plupart des postes clés et lucratifs – dans les grandes entreprises privées comme au cœur de l’État. Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, jamais cette caste n’a été aussi puissante et aussi riche.Comment cette caste, unique dans le monde occidental, s’est-elle constituée sous le gaullisme, a prospéré sous Mitterrand, pour atteindre son apogée aujourd’hui ? Comment a-t-elle réussi à contrer toutes les tentatives pour réduire son pouvoir ? Pourquoi des proches d’Édouard Philippe sont-ils des archétypes de cet entre-soi ? https://youtu.be/WDijGKhcec0

     

 

QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?

  • Suisse : un think tank propose d’ajouter le Bitcoin (BTC) à la constitution fédérale : Le think tank à but non lucratif 2B4CH a pour but de promouvoir les cryptomonnaies auprès du secteur privé et du gouvernement. Il a, en fin de semaine, annoncé un nouveau projet, qui compte rassembler 100 000 amateurs de cryptomonnaies suisses, afin d’interpeller le gouvernement au sujet du Bitcoin.L’idée est d’amender l’article 99 de la constitution fédérale suisse, afin que celui-ci mentionne le Bitcoin au même titre que l’or. Cela ferait du BTC un actif de réserve pour la Suisse. Le think tank ne se fait pas d’illusion particulière sur ses chances de faire passer cette modification, mais le but est de commencer à susciter les discussions.

  • Le Salvador va construire un hôpital pour animaux avec les bénéfices générés par le Bitcoin : Dans un tweet publié ce 10 octobre 2021, Nayib Bukele, le président du Salvador, a annoncé la construction d'un hôpital vétérinaire comprenant quatre salles d'opération, quatre cliniques d'urgence, 19 bureaux et une zone de réadaptation.

  • Bitmain ne livrera plus de machine de minage de Bitcoin (BTC) en Chine : le fabricant de matériel de minage de Bitcoin (BTC) Bitmain ne commercialisera plus de machines en Chine continentale, précisant qu’elle suivrait les réglementations locales et suspendrait les livraisons nationales à partir de lundi, mais que les activités à l’étranger resteraient inchangées. La décision de Bitmain aura sûrement peu d’impact pour l’entreprise, car ses ventes nationales étaient en baisse depuis la fin de l’année dernière en raison de l’essor des opérations minières en Amérique du Nord. Alors que la société n’a pas encore révélé son plan pour aider les clients existants en Chine, Bitmain continuera à fournir des rigs de minage Antminer dans le monde entier, y compris à Taïwan et à Hong Kong.

 

LE PETIT MANUEL DU RESISTANT

  • L'ARS de l'Ardèche envisagerait de remplacer les personnels non-vaccinés par des délinquants dans les EHPAD : Du jamais vu ! Pour remplacer, dans les Ehpad, le personnel qui a refusé de se faire injecter une substance expérimentale à ARNm, l’Agence Régionale de Santé de l’Ardèche a eu une ’super’ idée qui plaira aux familles et aux résidents : faire appel à des personnes condamnées à des TIG (Travaux d’Intérêt Général), « un levier parmi d’autres ». Les TIG, peines alternatives à la prison ou peines complémentaires, consistent à effectuer un travail gratuit dans une association ou un service public. La perspective d’avoir des condamnés pour s’occuper des résidents en Ehpad n’a pas suscité l’enthousiasme, c’est le moins qu’on puisse dire : « Si on n’a plus que des TIG pour pallier le manque de personnel dans nos Ehpad, c’est que la situation est vraiment critique et qu’il convient qu’elle soit prise en compte au niveau national » a souligné le directeur des Ehpad de Marcols-les-Eaux et de Saint-Pierreville, Yvan Muschitz. Quoi qu’il en soit, la mise en pratique (ou pas) de cette idée honteuse sortie du cerveau écervelé d’un fonctionnaire du ministère de la Santé, est bel et bien le marqueur d'une fallacieuse bienveillance dont s’enorgueillit l’époque que l’on vit : les infirmiers et soignants non-vaccinés, et gens honnêtes, ont été éjectés comme des malpropres de leur poste de travail sous le prétexte qu’ils pouvaient être dangereux pour les « personnes vulnérables » que sont les personnes âgées, et les voilà remplacés par des petits voyous ! Jolie morale !

  • Le juge Rui da Fonseca e Castro attaque l'État portugais : Spécialisé dans le droit pénal et les affaires criminelles au Portugal, le juge Rui da Fonseca e Castro s’attaque au gouvernement de son pays. Selon lui, ces mesures sont excessivement liberticides : « j’ai vu naître des menaces contre les libertés et les droits fondamentaux. » Dans un pays où la population est vaccinée à près de 85 %, le juge regrette de voir son gouvernement agir de la sorte et se dit engagé dans un combat contre « la corruption du système politique (https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/gouvernement-tyrannique-juge-rui-da-fonseca-e-castro)

  • Témoignages de soignants non-vaccinés du Morbihan (56) : https://actu.fr/societe/coronavirus/morbihan-pourquoi-ces-soignants-ont-decide-de-ne-pas-se-vacciner_45408541.html

  • Réactions combattantes remarquables des Antillais (à 0h55mn de l'émission) contre l'obligation vaccinale : https://www.twitch.tv/videos/1179581435
  • Vote sénatorial contre le pass sanitaire : https://youtu.be/gLG457LPuHM

  • « Ne pas être vacciné, ça a un prix ? » : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/ne-pas-etre-vaccine-a-un-prix-conseil-detat

  • Action DejaVu.legal (https://dejavu.legal/fr) met à disposition des jeunes de 12 à 17 ans refusant le vaccin une lettre les informant de leur droit au refus et de préciser les circonstances de ce refus : https://dejavu.legal/ressources/lexprecia-vaccination-covid-lettre-jeunes-1.pdf

 

ACTIVONS NOS NEURONES

Du 30 octobre au 7 novembre, les enfants de 3 à 12 ans ont leur Festival de Cinéma Jeune Public en accès libre et gratuit. Cette heureuse initiative nous vient du musée du quai Branly (75). En prolongement de la présentation de l'exposition « Ultime combat. Arts martiaux d'Asie », il a en effet été décidé d'offrir 18 séances de cinéma d'Asie du Sud-Est aux enfants qui seront en vacances de Toussaint à ce moment-là.

Alors que certains films nous invitent à découvrir le quotidien au Japon, en Chine à Taïwan ou en Corée (Bonjour, Happiness Road), il arrive que celui-ci soit bouleversé et bascule vers des univers hors du commun. On y découvre alors des figures de guerriers modernes (Un été de Kikujiro) ou inspirées de récits mythologiques ou de légendes (Princesse Mononoke, Le Roi des Singes, Horus, Prince du Soleil). On peut également croiser des créatures féériques telles que des renards à cinq queues, des tanuki, un kappa, petit être de l’eau venu d’un autre temps, ou encore un bakaneko, ce chat capable de changer d’apparence. La nature est souvent le théâtre de ces phénomènes et tient presque toujours une place essentielle.

Une semaine durant, le festival fait la part belle au cinéma animé d’Asie, avec quelques grands classiques des réalisateurs Isaho Takahata et Hayao Miyazaki, de leurs débuts jusqu’à la création de l’emblématique Studio Ghibli. Trois séances (Le Roi des Singes, Les Petits Canards de Papier et Trésors du Studio d’Art) et un ciné-concert autour des Contes chinois seront consacrées au Studio d’Art de Shanghai. Au début des années 1960, 380 personnes travaillent pour le Studio, et son importance est comparable à celle des Studios Disney ! Certains sont spécialisés dans le dessin animé, d’autres dans le découpage articulé et les poupées. Le studio s'inspire autant des arts traditionnels (calligraphie et peinture) que des arts populaires (papiers découpés, papiers pliés, estampes, théâtre de marionnettes, théâtre d’ombres, théâtre d’opéra...) ou des arts décoratifs !C’est également l’occasion de montrer les drôles de petits films du japonais Koji Yamamura ou de partir à la découverte des films d’animation de Corée et Taïwan. https://www.quaibranly.fr/fr/

 

DU COTE DE CHEZ NOUS

Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : https://youtu.be/n2JVdo1GCiI

 

Aujourd'hui 25 octobre, Journée mondiale des pâtes

La journée mondiale des pâtes est célébrée le 25 octobre 2021. Cette journée est organisée à l’initiative de l’IPO (International Pasta Organisation) depuis 1995. Elle nous rappelle que les pâtes sont un plat universel qui se déguste chaque jour partout sur la planète et que, dans le monde, 86 % de la population en mangent au moins une fois par semaine.

Les pâtes alimentaires sont fabriquées à partir d'un mélange pétri de farine, de semoule de blé dur, d'épeautre, de blé noir, de riz ou d'autres types de céréales, d'eau et parfois d'œuf et de sel. 

"Les pâtes" peuvent également désigner les plats dont les pâtes sont l'ingrédient principal, servies avec de la sauce ou des assaisonnements. Elles présentent plusieurs variétés comme les nouilles, spaghetti, coquillettes ou macaronis. Avec ses 9 millions de hashtags #pasta, les pâtes restent l'un des aliments les plus partagés sur les réseaux sociaux, au coude à coude avec les avocats ou les burgers. Mais loin derrière la pizza avec plus de 22 millions de publications.
 Si vous aussi vous faites partie des personnes qui mangent et adorent les pâtes, n'hésitez pas à goûter les Bonnes Pâtes de Beauce produites à Ruan en plein cœur de la Beauce.Et si vous préférez faire vos propres pâtes, vous pouvez utiliser la farine de la ferme de la Manne, produite dans le Grand Pithiverais.

 

Ouverture au public de la nécropole de la colonne de Juillet (Paris 4è)

En 1830, la Révolution des Trois Glorieuses porte au pouvoir Louis-Philippe d'Orléans. Pour rendre hommage aux insurgés et à leur combat, il ordonne la construction d'une colonne triomphale surmonté du Génie de la Liberté. La première pierre de la colonne de juillet est posée en juillet 1831, à l'occasion du premier anniversaire de la Révolution. Simultanément au réaménagement de la place de la Bastille par la Ville de Paris, le Centre des monuments nationaux a mené depuis 2016 une importante campagne de restauration de la colonne de juillet en vue de l'ouverture au public de son soubassement. Compte-tenu de l'exiguïté des espaces, l'ouverture au public de La nécropole prend la forme de visites-conférences, d'une durée d'1h30, assurées par un guide-conférencier pour des groupes de 18 personnes. Ses visites ont lieu tous les samedis et dimanches à 14h30 et à 16h30 et la réservation préalable est obligatoire sur la billetterie en ligne (https://www.colonne-de-juillet.fr/) au tarif de 13 €. Le rendez-vous pour le début de la visite est dans la cour de l'hôtel de Sully, au 62 rue Saint-Antoine et dix minutes avant le début de la visite. Chaque visite est complétée par des documents et des images présentées sur une tablette numérique. Le guide-conférencier conduit les visiteurs dans les différents espaces du soubassement, y compris les caveau où reposent les révolutionnaires de 1830 et de 1848. On peut aussi admirer l'impressionnant escalier hélicoïdal de bronze menant au sommet de la colonne, même si celui-ci reste inaccessible au public pour des raisons de sécurité.

 

6è édition de la Fête de l'Automne, jusqu'au 7 novembre 2021, à Terra Botanica (49)

Jusqu'au 7 novembre se déroule la 6ème édition de la Fête de l’automne à Terra Botanica. Pour la première fois, les géants des Mystères de la Forêt, le 5ème univers du parc du végétal et de la biodiversité, s’invitent à l’événement de clôture de la saison 2021. Parmi les dizaines d’animations et attractions revisitées pour l’occasion, les géants vont réunir l’ensemble des créatures d’Halloween pour un banquet grandeur… nature ! La Fête de l’automne est aussi l’occasion pour les visiteurs d’admirer la panoplie incroyable des couleurs des arbres dans la vingtaine d’hectares du site, un événement éphémère à ne pas manquer avant la fermeture du parc après ces vacances de la Toussaint. En attendant une nouvelle saison pleine de nouveautés qui débutera avec « Les Printemps de Terra » annoncés pour les 26 et 27 mars 2022 https://www.terrabotanica.fr/

 

Go West Young Man, ou la conquête de l'Ouest américain en BD

En quatorze histoires, Go West young man retrace la conquête de l’Ouest américain, de 1763 à 1938. Des conflits des grands lacs au désert du Mexique, les destins se succèdent. Trappeurs et pionniers, tribus indiennes, desperados et prostituées vont se battre et survivre dans les grandes plaines, les villes champignons et les guerres interminables. Si les grands thèmes sont à l’honneur dans cet album, c’est le côté obscur des Hommes qui ressort, présentant avec un goût amer le rêve américain. Racisme, génocide indien, condition des femmes, guerres et misère. Go West young man est un hommage au western, mais un hommage lucide en 112 pages. Sortie le 3 novembre 2021. www.bamboo.fr

 

Nouveautés à la Cité de l'Espace de Toulouse (31)

Site leader en Europe en matière de diffusion de la culture spatiale et astronomique auprès du grand public, la Cité de l'espace se réinvente en permanence pour proposer au public des expositions et ateliers en lien avec l'actualité spatiale. À l'occasion des vacances de la Toussaint, la Cité de l'espace propose deux nouvelles offres inédites :  un atelier participatif et ludique pour comprendre comment sont sélectionnés les astronautes de l'Agence spatiale européenne, l'ESA, et une exposition sur le futur de l'exploration spatiale européenne. Les visiteurs pourront également voir (ou revoir) l'exposition « Suivi Mission Alpha » pour comprendre la mission Alpha à laquelle participe actuellement l'astronaute Thomas Pesquet. Et à l'occasion du retour sur Terre de l'astronaute, courant novembre, la Cité de l'espace retransmettra en direct cet événement. https://www.cite-espace.com

 

Exposition «Vivement le Cinéma », jusqu'au 16 janvier 2022, à Paris (75)

Entre le mitan du 19è siècle et le déclenchement de la Première Guerre mondiale, les mutations du regard artistique sont profondes et marquent l’avènement de nouvelles cultures visuelles tels que le Réalisme, l’Impressionnisme, le Naturalisme et l’Art Nouveau, ainsi que la naissance du cinéma. La fin du 19è siècle connaît les grands bouleversements urbains, en particulier à Paris, avec l’intensification et la vitesse inédite des déplacements. L’œil est désormais contraint d’être mobile. Un sentiment d’accélération de l’Histoire et de disparition rapide du monde ancien conduit l’humanité vers une nouvelle perception du temps.

L’exposition « Vivement le Cinéma ! » décrit les influences involontaires, les emprunts délibérés, les coïncidences contemporaines dont le medium naissant s’enrichit dans la proximité des Beaux-Arts et grâce à la puissance de son matériau photographique. En une décennie, le cinématographe (né en 1895) devient le cinéma, il se dote de « théâtres » spécifiques (1906-1907) afin que les films soient projetés dans des conditions susceptibles de fidéliser le public. De curiosité amusante et d’attraction stupéfiante le cinéma devient un spectacle qui concurrence le music-hall et le théâtre : l’écran cinématographique remplace la rampe de ces derniers. La mise en scène des films emprunte largement aux « grandes machineries picturales » de la peinture académique ou dite de « style pompier ». Le public des Salons est prêt à se rendre dans les salles de cinéma.

https://www.musee-orsay.fr/fr/expositions/enfin-le-cinema-arts-images-et-spectacles-en-france-1833-1907-422

 

Pourquoi pas un séjour à Lourdes (65) ?

Lourdes vous propose cinq expériences incontournables à vivre en famille et dans les alentours :

  • Un voyage dans le temps au château fort de Lourdes :Mille ans d'histoire imprègnent ce vaisseau de pierre suspendu au cœur de la ville. Ancienne résidence comtale, place forte, prison royale puis caserne militaire, ce château médiéval a bravé bien des assauts au fil du temps jusqu'à devenir aujourd'hui musée pyrénéen (https://www.chateaufort-lourdes.fr/)

  • Vivre zen au cœur du sanctuaire : cet endroit est l'un des plus grands lieux de pèlerinage au monde. Un lieu propice au recueillement et à la réflexion (https://www.lourdes-france.org/)

  • Une expédition dans les Grottes de Bétharram : à 800 mètres sous terre, une rivière souterraine propose une insolite et plaisante promenade en bateau histoire d'admirer un monde extraordinaire de concrétions calcaires aux formes étonnantes, sublimées par un éclairage soigné (https://www.betharram.com/)

  • Une montée au Pic du Midi : à bord d'un des deux téléphériques disponibles, grimpez à 2877 mètres pour admirer le spectacle naturel depuis le sommet du Pic tout en profitant de la pureté de l'air, de la lumière et de l'incroyable stabilité de l'atmosphère (https://picdumidi.com/)

  • Des sensations fortes avec la Mountain luge au Hautacam : sur cette luge à deux places, vivez une descente entre 10 et 45 km/heure (vitesse que vous contrôlez vous-même) (https://www.hautacam.com/)

 

Exposition « L'imprimé dans la mode de l'imprimé » jusqu'au 26 mars 2023 à Mulhouse (68)

Cette exposition retrace la fabrication des modes, comment les étoffes sont devenues des vêtements réalisés par les tailleurs et les couturières, avant que la confection ne donne naissance au prêt-à-porter. En proposant aux visiteurs une histoire de la mode par les tissus imprimés et leurs motifs, le musée expose des pièces qui montrent la permanence de certains décors à travers l’évolution des formes et des pratiques vestimentaires. https://www.musee-impression.com

 

Exposition « Marées hautes, marées basses » jusqu'au 31 décembre 2021, à Trouville-sur-Mer (14)

Depuis quelques années, Pierre Collin se confronte au littoral pour en saisir les formes et mouvements, les jeux d’ombres et de lumière. Le rythme des marées, la course du soleil et des ombres portées sont comme autant de marqueurs temporels sensibles. Au Musée Villa Montebello, 64 rue Général Leclerc. Entrée : 5€

 

Exposition « Signac collectionneur » jusqu'au 13 février 2022 à Paris (75)

Depuis une quinzaine d'années, le collectionnisme suscite un regain d'intérêt, et est à l’origine de nombreuses études, expositions et publications. Dans ce cadre, la collection Signac est un véritable cas d'école car elle reflète le regard et les partis-pris d'un artiste particulièrement actif sur la scène artistique de son temps.
La collaboration avec les archives Signac, qui conservent, outre la correspondance de l'artiste, les carnets où il consignait ses achats, permet d'établir un recensement précis des peintures, dessins et estampes qui lui ont appartenu. Autodidacte, Signac apprend son métier en regardant les œuvres des impressionnistes, en particulier celles de Claude Monet, d’Edgar Degas, de Gustave Caillebotte ou d’Armand Guillaumin qui pour la plupart figurent dans sa collection. Sa première acquisition est un paysage de Paul Cézanne. https://www.musee-orsay.fr/fr/expositions/signac-collectionneur-423


Exposition « Alsace, rêver la province perdue 1871-1914», jusqu'au 7 février 2022, à Paris (75)

L'image de l’Alsace, province « perdue » suite à la guerre franco-prussienne de 1870, est au cœur de cette exposition. Celle-ci interroge, entre autres à travers des œuvres du peintre Jean-Jacques Henner (l’une des figures majeures des Alsaciens de Paris), la manière dont se construit et se diffuse l’image de l’Alsace depuis la capitale entre 1871 et 1914. Le parcours est composé d’œuvres variées (peintures, sculptures, objets d’art et du quotidien, dessins, affiches, estampes...), réparties en cinq sections. Musée Jean-Jacques Henner https://musee-henner.fr/

 

Les voyages de l'albâtre, au Musée du Louvre jusqu'au 31 mai 2022, à Paris (75)

L’albâtre a joué un rôle très important dans la sculpture en Europe entre le 14è et le 16è siècle, parallèlement au marbre. Depuis 2010, le département des Sculptures du Musée du Louvre conduit avec le Laboratoire de recherche des monuments historiques et le BRGM, ainsi qu’avec de nombreux partenaires, un programme de recherche dont l’objectif est d’identifier l’origine des albâtres utilisés en France. À partir de prélèvements de quelques milligrammes d’albâtre, le dosage des isotopes d’oxygène, de soufre et de strontium permet de distinguer précisément les gisements à travers l’Europe. L’exploration de carrières historiques, encore en activité ou fermées, et l’analyse d’oeuvres, conservées dans des musées ou des monuments historiques et dont l’historique est documenté, a permis de constituer un ensemble de références qui permet d’identifier précisément l’origine de l’albâtre. Il est ainsi possible de repérer des circuits d’approvisionnement, de cerner des zones d’influence, d’étayer des comparaisons stylistiques, et parfois de donner des indices pour situer une oeuvre mal documentée. Après la mise en évidence de l’utilisation des albâtres du centre de l’Angleterre et des Alpes, près de Grenoble, la recherche apporte de nouveaux résultats sur les albâtres de Malaucène près d’Avignon, de Franche-Comté, de Beuda en Catalogne, et commence à éclairer les provenances pour les Pays-Bas, l’Allemagne et la Lorraine. La vitrine d’actualité met en scène ces résultats. https://www.louvre.fr/recherche-et-conservation/vie-des-projets/les-voyages-de-l-albatre

 

La Fondation Claude Monet à Giverny (27) Jusqu’au 1er novembre 2021

Claude Monet a vécu de 1883 à 1926, soit quarante- trois ans, dans sa maison de Giverny. Passionné par le jardinage autant que par les couleurs, il a conçu son jardin de fleurs et son jardin d’eau comme de véritables œuvres d’art. Aujourd’hui, ce sont plus de 500 000 visiteurs qui viennent du monde entier ressentir cette atmosphère unique. La Fondation Claude Monet, propriété de l’Académie des Beaux Arts, oeuvre toute l’année avec son équipe de jardiniers pour mettre en valeur les jardins en restant fidèle à la vision du grand peintre. https://fondation-monet.com

 

Exposition « Derrière les images. Photographier la guerre Mémorial’14-18 », jusqu'au 11 novembre 2021, à Souchez (62)

La Grande Guerre marque un tournant majeur dans l’usage de la photographie. En moins de quatre ans, elle s’impose comme un outil d’information de masse : des dizaines de milliers de photographies, prises par des photographes officiels ou amateurs, reflètent la mobilisation d’un pays. Toute l’année, le Mémorial 14-18 présente des centaines de photographies dans son Centre d’Histoire. Mais connaissez-vous les histoires qui se cachent derrière ces images ?

La guerre révèle le parcours d’une image pendant la Grande Guerre, depuis sa production jusqu’à sa diffusion, et son héritage dans la photographie contemporaine, à travers une sélection de photographies issues des fonds de l’ECPAD. Complémentaires au parcours du Mémorial, ces images montrent sous un nouvel angle les territoires du Nord et du Pas-de-Calais dans la tourmente du conflit mondial. À cette occasion, le Mémorial 14-18 vous présente également le travail du photo reporter Édouard Élias, dont les photographies prises en Ukraine pendant la guerre du Donbass en 2018 résonnent de manière troublante avec les images de la Première Guerre mondiale. https://www.ecpad.fr/actualites/derriere-les-images-photographier-la-guerre-l-exposition-organisee-par-l-ecpad-et-le-memorial-14-18-notre-dame-de-lorette/

 

Flaubert21. « Madame rêve en Bovary » Maison Marrou et Opéra de Rouen, exposition «Hors- les-murs» bilocalisée du Musée des Traditions et Arts Normands – Château de Martainville (76) jusqu’au 14 novembre 2021

Héroïne moderne, Emma Bovary a choqué ses contemporains et marqué plusieurs générations de lecteurs. Ce personnage de fiction a inspiré les artistes, qu’ils soient illustrateurs, musiciens ou cinéastes, et chacun d’entre nous imagine sa propre représentation d’Emma Bovary, d’Isabelle Huppert à Mia Wasikowska. Madame Bovary s’inscrit dans un territoire, celui de la Normandie et plus particulièrement de la Seine-Maritime. C’est pourquoi le Musée des Traditions et Arts Normands, riche de ses collections, présente « hors les murs » l’exposition Madame rêve en Bovary dans deux sites culturels et patrimoniaux emblématiques de la Seine- Maritime : la Maison Marrou et l’Opéra de Rouen.

À la Maison Marrou, le projet scénographique innovant réalisé par Jean Oddes entraîne le visiteur dans un parcours immersif et une interprétation contemporaine de l’œuvre de Gustave Flaubert à travers trois grands axes : littéraire en lien avec le texte de Gustave Flaubert, patrimonial grâce à l’apport de collections issues de musées de France et de collections particulières, et contemporain comprenant des créations visuelles, sonores et olfactives. Y sont évoqués la vie et les tourments d’Emma Bovary, par le prisme de sa mort : son mariage avec Charles, sa vie à Yonville, sa maternité mais également ses vies fantasmées par le biais de ses lectures, ses toilettes, ses escapades amoureuses...

À l’Opéra de Rouen, la scénographie est conçue à partir de malles de voyage, qui, comme autant de loges d’opéra, offrent la possibilité de créer des micro-univers dédiés à l’un des aspects de la musique dans le roman. Elles constitueront pour le public venu à l’opéra le cheminement logique et la base d’un voyage imaginaire pour aller à la rencontre d’Emma et de Flaubert. https://www.chateaudemartainville.fr/fr/home/

 

Le Jugement dernier dans une noix de prière – Micro sculptures de dévotion en buis, au Musée du Louvre (Aile Richelieu) jusqu'au 10 janvier 2022 à Paris (75)

Depuis leur création dans les anciens Pays-Bas au début du 16e siècle, les micro sculptures de dévotion en buis ont fait l’objet de l’engouement des dévots, puis des collectionneurs. Une enquête menée par l’Art Gallery of Ontario (Toronto) a fondamentalement renouvelé la connaissance de ces œuvres, grâce aux apports de nouvelles technologies.

Le département des Objets d’art, qui possède l’une des plus belles collections de ces sculptures, a ainsi pu faire tomographier deux chefs-d’œuvre de cette production : un triptyque, dont les commanditaires ont été récemment identifiés, et une noix de prière (ou pendant de chapelet). L’actualité du département des Objets d’art se propose de partager avec le public les découvertes apportées par ces récentes recherches, notamment sur le mode de fabrication de ces prodiges de virtuosité. Autour des cinq micro sculptures du Louvre sont rassemblées une dizaine d’œuvres conservées au musée de Cluny-musée national du Moyen Âge et au musée national de la Renaissance Château d’Écouen. Ce regroupement exceptionnel met en évidence une certaine diversité au sein de cette production, ainsi que la fascination continue exercée par ces œuvres au cours des siècles, depuis la création d’une monture d’orfèvrerie ou l’ajout d’une polychromie à l’époque moderne, jusqu’au pastiche ou à l’ajout d’un faux monogramme de Dürer pour attirer les collectionneurs du 19e siècle, avides d’œuvres médiévales et de la Renaissance. Aile Richelieu, 1er étage, Salle 535.

Exposition « Sur la Route – Devenir Compagnon du Tour de France » jusqu'au 12 décembre 2021, à Saint-Cyr-sur-Morin (77)

La Seine-et-Marne accueille un centre de formation de la Fédération compagnonnique à Saint-Thibault-des-Vignes qui regroupe différents métiers de l'artisanat. Le musée propose donc de faire découvrir au public des outils tirés de ses collections permanentes qu'utilisent les artisans auxiliaires à la production agricole, en association avec la Fédération afin de présenter le parcours des compagnons du Tour de France. https://www.musee-seine-et-marne.fr/fr/actualites/sur-la-route-devenir-compagnon-du-tour-de-france-du-19-mai-au-12-decembre-2021

 

« Ma Planète en couleurs », l'atlas ludique et informatif dès 6 ans

Un beau livre, tout en images, avec des photos de voyage exceptionnelles, insolites et graphiques, c'est ce qui est proposé par cet ouvrage. Chaque pays évoqué a sa propre couleur dominante, des informations et une mise en avant des richesses. Le rouge anime ainsi le Canada, le vert la Thaïlande, le rose pour l'Inde, le jaune au Sénégal et le bleu pour l'Islande...rajoutons à cela un feuilletage-plaisir et c'est un superbe arc-en-ciel que vous aurez sous les yeux. L'ouvrage invite ainsi les enfants à visiter 43 pays de manière ludique, en s'interrogeant sur la diversité des cultures et en s'émerveillant sur le monde alentour. Avec plus de 350 photos et mille détails à chercher. Prix : 14,95€ ; Editions Larousse Jeunesse.

 

Flaubert21. « Flaubert, entre ici et ailleurs » aux Jardins de l’abbaye Saint-Georges de Boscherville(76) jusqu’au 14 novembre 2021

De la salle d’exposition aux jardins d’inspiration italienne de l’abbaye Saint-Georges de Boscherville, une invitation à cheminer avec Gustave Flaubert, à suivre les allers-retours du regard de l’auteur entre les paysages de ses voyages en Méditerranée ou en Bretagne et ceux de sa Normandie natale. Composée avec les bosquets et les parterres renouvelés par le jardinier, l’installation Flaubert entre ici et ailleurs, fait la part belle à l’association de photos évoquant les voyages de l’auteur avec des extraits de texte et un soin particulier pour la mise en paysage de la typographie. https://www.abbayesaintgeorges.fr/event/flaubert-entre-ici-et-ailleurs/

Exposition »Le Chat déambule » jusqu 'en mars 2022 à Caen (14)


"Le Chat déambule" est le titre de l’exposition en plein-air de vingt statues de bronze représentant le personnage du dessinateur-humoriste Philippe Geluck. Inaugurée sur les Champs-Élysées, puis installée sur les quais de Bordeaux, l’exposition est arrivée à Caen (14) répartie dans les endroits qui peuvent trouver une résonance avec l’œuvre pédagogique de son auteur. Ainsi le Chat Martyr a-t-il trouvé sa juste place au pied de l’escalier du Mémorial de la Seconde guerre mondiale de Caen. Les vingt statues de bronze sont arrivées à Caen le 22 septembre dernier, ville où le sculpteur a été président du jury du concours de plaidoiries des lycéens au Mémorial.

Et le Chat déambule vraiment dans un parcours étudié autour de quatre lieux différents : l'hôtel de Ville, le quai Vendeuvre, la place de la République et le Mémorial. Une exposition un peu différente, donc, de celle présentée à Paris et Bordeaux mais aucun des vingt Chats de bronze ne manque : Chat golfeur, Chat Gros Bidet et Petit Pipi, Chat petit rat, Chaltérophile ou Chat faisant de la balançoire avec une petite souris. L'exposition "Le Chat déambule" est à découvrir jusqu'au mois de mars à Caen. Elle s'accompagne d'un livre, d'une application (gratuite) sur smartphone et d'une autre exposition, en intérieur, intitulée "Caen le Chat s'expose".

 

2021, année Napoléon : Exposition « Eclairages sur des œuvres d'Oscar Rex », du 27 octobre 2021 au 3 janvier 2022, à Rueil-Malmaison (92)

>De nationalité autrichienne, Oscar REX est né à Graz en 1857. Il a grandi à Prague et étudié à Munich. En 1881, il s’installe à Paris, où il parfait sa formation dans les ateliers de Jules Breton et Mihály Munkácsy. Peintre chez qui l’histoire frôle souvent l’anecdote, Rex a hérité de son premier maître Julius de Benczur un goût pour les matières, les tissus, la brillance et de Munkácsy le coloris audacieux et la théâtralité. Autour de 1900, il conçut une trentaine de peintures sur les épisodes saillants de la vie de Napoléon. Le château de Malmaison en conserve plusieurs dans ses collections, à la fois sobres et « parlantes », bel exemple du « récit » napoléonien qui a fait florès au XIXe siècle en France mais aussi en Europe. https://musees-nationaux-malmaison.fr/chateau-malmaison/

 

« La Dame à la Licorne » de passage à Toulouse (31) du 30 octobre 2021 au 16 janvier 2022

« La Dame à la licorne » sera à Toulouse pour un prêt exceptionnel du Musée de Cluny aux Abattoirs, Musée – Frac Occitanie Toulouse. La tenture des années 1500 y dialoguera avec des artistes contemporains dans une perspective renouvelée. Exceptionnelle par la qualité de son exécution, envoûtante et intrigante par les mystères qui l’entourent, « La Dame à la licorne » est l’une des plus belles réalisations du Moyen Âge. Le vaste chantier de modernisation en cours au musée de Cluny est l’occasion d’exposer cette œuvre historique dans une région où elle n’a jamais été présentée, avant la réouverture du musée début 2022.

La présentation des tapisseries aux Abattoirs s’accompagnera d’un ensemble d’œuvres d’artistes contemporaines qui mettront en perspective sous un angle actuel « La Dame à la licorne » comme une œuvre fondatrice du respect de la nature et de la représentation féminine. Elle sera également mise en regard du chef d’œuvre textile des Abattoirs, le rideau de scène de Picasso, « La Dépouille du Minotaure en costume d’Arlequin » réalisé en 1936 pour le « Quatorze-Juillet » de Romain Rolland. Une programmation culturelle dédiée viendra souligner l’influence du Moyen Âge sur l’art contemporain. https://www.lesabattoirs.org/

 

Exposition « En Scène ! Dessins de costumes de la collection Edmond De Rothschild », du 27 octobre 2021 au 31 janvier 2022, au Musée du Louvre (Paris 1er)

Cette exposition nous invite à découvrir une centaine de feuilles provenant de l'un des plus importants fonds de dessins d'habits de spectacle, celui des volumes de Costumes de fêtes, de ballets et de théâtre au temps de Louis XIV offerts par le baron Edmond de Rothschild au Musée du Louvre. Quatre sections forment l'ensemble de cet événement en abordant successivement l'atelier du dessinateur de costumes qui entend explorer la transmission de modèles entre les différentes générations d'artistes et les spécificités techniques de ce type de dessin. Le visiteur est ensuite convié à suivre les principaux genres spectaculaires représentés dans des recueils qui abordent les divertissements équestres, les bals, ballets et mascarades, et les tragédies en musique. https://www.louvre.fr/en-ce-moment/expositions/en-scene

 

Sortie du livre « Voyage gourmand dans les Alpes » le 27 octobre 2021

Pendant six ans, la journaliste canadienne Meredith Erickson a sillonné l’arc alpin de la Suisse à l’Italie et de l’Autriche à la France en voiture, à pied, à skis, en funiculaire ou en téléphérique, pour établir un inventaire gourmand inédit. Son carnet de voyage s’adresse aussi bien aux gourmets désireux de respirer le bon air des cimes qu’aux sportifs appréciant les plaisirs de la table. Le récit de ces pérégrinations est savoureux, à plus d’un titre. Partout Meredith a déniché les lieux, rencontré les personnes qui animent le patrimoine culinaire et la créativité de la gastronomique alpine. Dans son carnet de voyage délicieusement illustré par les photos de Christina Holmes, on picorera ses anecdotes, ses conseils et astuces, ses adresses préférées…Mais surtout Meredith a rapporté de son odyssée alpine 75 recettes glanées aussi bien dans les chalets d’alpage qu’auprès des chefs étoilés. Un festin de plats traditionnels comme de créations contemporaines : quenelles de radicchio et de speck, soupe de la Valpelline, schnitzel, bombardino, raclette, rösti, truite pochée à la roussette, soufflé à la chartreuse… le tout servi avec les meilleurs vins des Alpes. Sans oublier quelques recettes de son invention et une multitude de curiosités appétissantes. 368 pages, 39€ (Editions Glénat)

 

Salon International du Patrimoine Culturel, au Carrousel du Louvre (Paris) du 28 au 31 octobre 2021

Ateliers d’Art de France confirme la tenue de la 26e édition du Salon International du Patrimoine Culturel du 28 au 31 octobre 2021, au Carrousel du Louvre – Paris. Attendue par l’ensemble des acteurs du patrimoine, cette édition sera placée sous le thème « Patrimoine et Territoires ». Plateforme incontournable d’échanges et de rencontres pour le secteur, le Salon rassemblera, comme chaque année, l’ensemble des acteurs des métiers du patrimoine : les professionnels de la restauration, de la sauvegarde et de la valorisation du patrimoine bâti ou immatériel. https://www.carrouseldulouvre.com

 

Ouvrage « Marseille, sur les Traces de Monte-Cristo » de Frédéric Presles (Editions Marc Cres)

Marseille est bien souvent le nombril du monde. Son port de commerce incontournable depuis le XIXe siècle, son stade qui donne de la voix lors de rencontres tumultueuses, son opéra et ses théâtres, des séquences cinématographiques qui nous en révèlent les bas-fonds, sans oublier son fort développement Tech : Marseille occupe bien souvent le devant de la scène. La cité phocéenne est un paradoxe à elle toute seule : elle semble à la fois immuable depuis des siècles et en proie à une vitesse vertigineuse. Cette dualité en fait une ville unique au monde, d’une grande singularité, celle où l’on offre des palais à des femmes pour une seule nuit, celle où les parties de cartes restent dans les mémoires, celle où l’accent donne le ton, celle aussi où l’histoire devenue réalité du comte de Monte-Cristo sert, sur fond d’enquête, de fil conducteur à ce livre afin de dévoiler des décors dignes d’un film de Sergio Leone tourné en cinémascope. Vivre ici, c’est un mélange d’adoration et de rejet ; on prête à cette ville tellement de potentiel que beaucoup ne comprennent pas pourquoi elle semble vouloir rester ancrée dans sa calanque du Vieux-Port, découverte il y a déjà presque trois mille ans. Entre temps, Monte-Cristo a pris le pouvoir ! Marseille n’est pas un village, elle est cent onze fois plus... 152 pages, 29,90€

 

Comme chaque fin de mois, je vous invite à poursuivre la série d'articles sur les héros de la France éternelle. Cette semaine, découvrons un grand roi, Philippe Auguste, souverain qui marquera son époque et restera comme l'un des monarques les plus admirés et les plus étudiés de la France médiévale, non seulement à cause de la longueur de son règne mais pour ses importantes victoires militaires et les progrès accomplis pour conforter le pouvoir royal et contrôler la hiérarchie féodale.

Yves

 

Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) Etats-Unis 2) France 3) Chine 4) Canada 5) Belgique 6) Suède 7) Allemagne 8) Emirats Arabes Unis 9) Cameroun 10) Costa Rica

 


 

Les Héros de la France éternelle - Philippe II (14) (France)


Fils héritier du roi Louis VII et d'Adèle de Champagne, Philippe II dit «Auguste » succédera à son père comme le septième roi de la dynastie des Capétiens. Couronné en la cathédrale de Reims le 1er novembre 1179, ce souverain-là marquera son époque et restera comme l'un des monarques les plus admirés et les plus étudiés de la France médiévale, non seulement à cause de la longueur de son règne mais pour ses importantes victoires militaires et les progrès accomplis pour conforter le pouvoir royal et contrôler la hiérarchie féodale (...)



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