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Lettre envoyée le 24/01/2022


 

 

Lundi 24 janvier 2022                                                               La Lettre N°570

 

Le cerveau...sans prise de tête !

 

A une époque où la recherche évolue à grands pas en matière d'intelligence artificielle (La Revue de la Science, IA le grand remplacement), il est intéressant de faire le point sur les avancées de cet organe extraordinaire dont nous ne faisons qu'un usage (très) limité. Des récentes avancées révèlent des pistes pour prolonger la vie, restaurer la mémoire ou développer nos capacités cognitives.

 

Perdre la boussole n'est guère enviable alors que notre espérance de vie ne cesse de croitre. Or, une molécule nommé Hedgehog exercerait une action spectaculaire pour maintenir l'intégrité de notre cerveau et même pour restaurer et prolonger notre existence.

La tremblote n'est guère plus enviable et la maladie de Parkinson ne cesse de s'étendre. Des études récentes sembleraient mettre en cause l'intestin dans lequel on aurait retrouvé des agrégats de protéine alpha-synucléine, protéine destructrice de cellules spécifiques.

Mieux, une interaction intestin-cerveau et cerveau-intestin pourrait être la cause de cette maladie.

A suivre.

Une chose est sûre: l'inactivité physique tue une personne toutes les dix secondes, soit 3,2 millions de personnes chaque année. Or, si l'activité physique et les capacités cognitives sont étroitement corrélées, ce sont surtout ces dernières qui influent sur l'activité physique, même si l'activité physique influence également les capacités, mais dans une moindre mesure.

 

Notre cerveau n'a pas fini de nous étonner, entre ces cellules (astrocytes) qui changent de forme lorsque le cerveau n'a plus faim, et l'importance d'une efficace coopération entre neurones et cellules (dont les astrocytes). C'est en effet ce défaut de coopération qui est à l'origine de l'apparition de la maladie d'Alzheimer.

Ainsi, un apport alimentaire en L-sérine serait-il salutaire pour soigner les symptômes précoces des maladies d'Alzheimer, Parkinson et Huntington.

Si, au passage, il apparaît que notre mémoire retiendrait plus le fond que la forme, jouer dans un orchestre augmenterait les capacités cognitives et émotionnelles : au bout de deux ans de musique en collectivité, 300 enfants âgés de 7 à 12 ans ont ainsi vu leur mémoire, leur flexibilité cognitive, leur autonomie et leur empathie s'améliorer cinq fois plus rapidement que d'ordinaire. A cela rien d'étonnant dans la mesure où nous parlons le langage de la musique.

N'avez-vous pas remarqué que lorsqu'on écoute une mélodie, nous sommes dans l'attente de certaines notes, que nous devinons en quelque sorte ?

 

Le cerveau est suffisamment intelligent pour supprimer des informations du monde extérieur durant la phase de sommeil paradoxal au cours de laquelle se déroulent les rêves, comme pour les protéger.

Autre observation : les scientifiques qui ont fait écouter aux dormeurs des histoires en français mélangées avec une langue dénuée de sens, ont confronté l'électroencéphalogramme avec une technique de machine « learning » (apprentissage par la machine) et ont confirmé que le cerveau, même endormi, continue à enregistrer ce qui se passe autour de lui.

Une autre étude montre que notre cerveau est généralement persuadé de la réalité de ce qu'il voit ou de ce qu'il entend. Et de sa capacité à juger si ce que nous percevons est juste, ou non, dépend notre aptitude à apprendre de nos erreurs et à communiquer avec nos semblables.

 

Nous le voyons, compte tenu de l'avancée actuelle des recherches, les secrets des profondeurs du cerveau n'ont jamais été autant à portée de ...main. Trop fines pour être détectées par IRM (technique déjà révolutionnaire!), les colonnes corticales du cortex visuel pourraient bien être sous peu suivies par l'imagerie ultrasonore ultrarapide.

Cette dernière permet en effet de visualiser les structures fonctionnelles profondes dans le cortex visuel, sur un animal éveillé en train de réaliser une tâche de comportement.

Cette découverte est le fruit d'un partenariat entre chercheurs français (cocorico!) qui ont mis en commun leurs résultats sur le système visuel, le cerveau et l'imagerie ultrasonore ultrarapide, pour nous en coller...plein la vue !

Notre boite crânienne n'en a pas fini de nous révéler ses secrets, ne serait-ce que dans le domaine des émotions.

Dans ce domaine, nos amis Suisses mettent les bouchées doubles afin de répondre à un certain nombre d'interrogations : dans quelle mesure peut-on faire confiance à son propre jugement ? Et aurions-nous trop confiance en nous ? Une étude de l'Université de Genève (Suisse) tendrait à répondre par l'affirmative.

En effet, il apparaît que la confiance moyenne pour l'interprétation émotionnelle est plus élevée (5,88 points) que pour l'interprétation visuelle (4,95 points) alors même que les participants aux tests faisaient plus d'erreurs dans la reconnaissance des émotions (79% de réponses correctes) que dans celle des lignes (82% de bonnes réponses). Il faut avouer que l'apprentissage de la reconnaissance émotionnelle n'est pas aussi flagrant que celui de la perception. Et de nous fier, un peu trop vite, aux apparences pour accorder notre confiance.

 

Notons aussi que nos expériences (de vie) biaisent notre jugement. Organe incontournable, notre substance grise sait mobiliser des ressources dès lors qu'elle sent une menace, ce qui rend notre survie possible. Certes, la vue et l'ouïe nous aident en pareille circonstance mais ces deux sens ne permettent pas de couvrir l'espace à 360°. Des tests ont donc été soumis à des participants qui devaient réagir aussi vite que possible lorsqu'ils percevaient une voix coléreuse ou une voix joyeuse. Et l'étude de montrer pour la première fois qu'en quelques centaines de millisecondes, notre cerveau est d'une part, sensible à la présence de voix de colère et d'autre part, reste mobilisé durablement lorsque la colère est identifiée, même après des centaines d'écoutes de stimulis vocaux. Voilà qui est rassurant !

Et l'intelligence émotionnelle dans tout cela ?

Jusqu'à récemment, il n'existait pas de test de cette intelligence uniquement concentré sur des situations propres au monde du travail pour mieux évaluer le niveau d'une personne dans ce domaine et lui donner l'emploi qui lui correspond le mieux. Des chercheurs suisses ont ainsi conçu un test composé de quatre parties permettant d'évaluer les composantes de la compréhension des émotions, leur reconnaissance, la régulation de ses propres émotions et la gestion de celles d'autrui. Les résultats sont éloquents et démontrent que plus une personne a des compétences élevées en intelligence émotionnelle, meilleurs sont ses résultats professionnels, et ce, au-delà de son intelligence cognitive ou de sa personnalité. De plus, une meilleure capacité de réguler ses émotions est liée à un salaire un peu plus élevé. Par ici la monnaie ! Autre bonne nouvelle (surtout pour les ainés), l'intelligence émotionnelle augmente avec l'âge et l'expérience. Celle-ci peut donc être améliorée et développée. Et si les femmes obtiennent dans l'ensemble des résultats supérieurs aux hommes, un consensus se dégage pour constater que comprendre l'autre rend plus heureux.

Comme je le soulignais au début de cet article, l'être humain est loin d'utiliser toute sa capacité d'apprentissage et c'est bien dommage car celle-ci est énorme à l'image d'ailleurs de certains animaux. Cette capacité d'apprentissage nous permet véritablement d'appréhender de nouvelles informations sensorielles, de maitriser de nouvelles compétences ou de s'adapter à un environnement en constante évolution. Malheureusement, nombre des mécanismes d'apprentissage restent mal compris.

Or, de l'acquisition de connaissances dépend l'épanouissement de l'être humain et sa réussite professionnelle.

L'apprentissage de la lecture en est un exemple et des chercheurs français ont réussi à mettre en évidence comment la région spécifique à la reconnaissance des mots se développe lorsqu'on apprend à lire. Et il s'est avéré que cette région correspond finalement à une partie de l'hémisphère gauche encore libre de toute spécialisation.

Toutes ces constatations sont rassurantes pour les êtres humains que nous sommes car il ne fait aucun doute qu'en dépit de la crise sanitaire mondiale actuelle, des chercheurs sont à pied d'oeuvre pour percer les mystères d'un cerveau que certains médias tentent d'endormir en l'avachissant quotidiennement à coup de programmes répétitifs et abêtissants.

Que nous naissions riches ou pauvres, nous sommes tous dotés de ce merveilleux organe qui peut faire de nous des citoyens libres et indépendants, ou...des esclaves ! Il ne tient qu'à nous de le développer, jour après jour, en l'enrichissant de connaissances nouvelles, d'expériences heureuses et de tester toujours plus loin nos limites. Il est notre meilleur allié contre les dangers qui nous menacent.

 

Enfin,comment ne pas conseiller l'ouvrage de Stanislas Dehaene, professeur au Collège de France et membre de l'Académie des Sciences, « Face à face avec son cerveau » : En trente-cinq ans de recherches, Stanislas Dehaene a vu la boîte crânienne rendue transparente, les pensées devenir décodables, les maladies céder à un début de compréhension. Et d'avoir participé à la genèse des premières théories mathématiques qui expliquent comment relier la conscience et son substrat matériel. C’est cette aventure intellectuelle en plein essor qu'il raconte ici, en partageant une centaine d’images spectaculaires de la conquête du cerveau.

Passionnant !

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

Les Monts d'Arrée, nous l'avons déjà vu, cachent des merveilles : il suffit de parcourir landes et forêts pour tomber sur une abbatiale du 12ème siècle avec son étang et ses jardins.

Lieu de sérénité, l'Abbaye du Relec recèle ainsi 900 ans d'histoire et se prête à la promenade en famille, d'autant plus que plusieurs activités sont proposées sur place : l'endroit qui a aménagé un nouvel accueil pour mieux accueillir le public, offre un espace d'exposition revisité qui raconte l'histoire de ce lieu magique. Cette première étape de découverte de ce site ancien est incontournable pour mieux comprendre et apprécier la promenade dans l'abbatiale ou les ruines du cloitre, sur la chaussée de l'étang ou dans le potager.

 

On se doute bien que les murs ont du entendre bien des choses en neuf siècles, de la vie paisible et retirée des moines cisterciens à celle animée d'un village breton. Que de choses ont du voir le jour depuis ce 12ème siècle, date de l'implantation de l'abbaye au milieu de ces terres sauvages.

Imperceptiblement, l'édifice va se fondre dans le paysage, tout en apprivoisant les pentes jusqu'à devenir le lieu attractif que l'on connait aujourd'hui. Peu à peu, vont affluer les paysans en quête de terres à défricher et attirés par un système économique plus juste, la quévaise (pratique successorale de certaines seigneuries ecclésiastiques bretonnes, mise en place pour faciliter les défrichements et mettre donc en valeur des terres qui ne rapportaient rien).

Au fur et à mesure de son développement, l'Abbaye du Relec devint plus prospère : ses terres s'étendaient alors du Nord du Léon jusqu'au Trégor, et des monts d'Arrée aux Montagnes noires. L'ensemble déclinera progressivement, et ce, malgré les grands travaux entrepris entre les 15ème et 17ème siècle. La révolution française n'arrangera rien, qui signera la fin d'un monde en vendant l'abbaye comme Bien national, puis comme simple carrière.

Le 20ème siècle apportera la renaissance du lieu avec le village, tout proche, de Relec et ses commerces, son école, ses foires et son traditionnel pardon du 15 août. Viendra, cinquante ans plus tard, l'exode rural qui plongera le domaine dans la léthargie jusqu'à ce que l'Abbaye ne soit rachetée (puis restaurée) par le Conseil Départemental dans les années 1970 (https://www.cdp29.fr/fr/presentation-relec).

 

Lieu inspirant et incarné par ceux qui la découvrent, l'Abbaye du Relec vaut également la peine d'être appréciée pour son potager: cucurbitacées, fabacées, brassicacées et astéracées y ont élu domicile et s'y trouvent fort à l'aise. Plantes de jardin ou sauvages, ces espèces sont utiles à tout le monde.

Prenons par exemple les Astéracées, à la fois nombreuses, diverses et surprenantes, depuis la laitue jusqu'au topinambour, de l'armoise au chardon-Marie, du cosmos au chrysanthème en passant par l'échinops, le bleuet et le pissenlit. Ce potager a de quoi émerveiller les visiteurs en toute saison. Si le cœur vous en dit , faites-y une halte ! (Tél : 02 98 78 05 97)

 

SEQUENCE NOSTALGIE

Et hop ! Voici Barbapapa, unesérie télévisée franco-américaine datant de 1974.

Au total, 45 épisode de cinq minutes, seront tournés, adaptés de la collection de livres du même nom (dont le premier sera édité en 1970).

Diffusée en France pour la première fois le 2 octobre 1974, sur l'ORTF, cette première série sera suivie d'une deuxième (de 48 épisodes , dès 1977) puis d'une troisième (de 50 épisodes en 1999) et enfin d'une quatrième (de 52 épisodes diffusés à partir de 2019).

Destinée aux enfants (petits et grands!), l'histoire met en scène les aventures de Barbapapa, Barbamama et leurs sept enfants (Barbalala la musicienne, Barbibul l'inventeur, Barbabelle la coquette, Barbidou l'ami des animaux, Barbotine l'intellectuelle, Barbouille l'artiste-peintre et Barbidur le costaud), autant de personnages colorés qui ont la faculté de se transformer en objets de leur choix.

N'oublions pas non plus Socrate le chien, Claudine et François, les amis de Barbapapa, les parents de Claudine et François et Bébé Alice. Ricet Barrier sera quant à lui le narrateur de la première série de ce feuilleton.

 

Génériques : https://youtu.be/0rj9Q7wEoGk , https://youtu.be/Qqw6kK9xRh4 et https://youtu.be/GnK_thGNla0 , version karaoké (https://youtu.be/vFEsh33Fmkw?list=PLIaplgVJMdTuEfoUWUECLOyIiVjseLAig)

Episodes : https://youtu.be/TsOiit3Mu3k?list=PLIaplgVJMdTuEfoUWUECLOyIiVjseLAig, https://youtu.be/AZG8ueyq9bQ

Chanson des Barbapapa : https://youtu.be/TURvq2X8Ew0 et B.O Barbapapa : https://youtu.be/Hk00nYqai08

Il est possible de s'abonner à prix modique pour voir tous les épisodes sur https://www.tfoumax.fr/hero/barbapapa

 

UN PEU PLUS D'HUMOUR

Rendez-vous en terre inconnue avec les bobos : https://m.facebook.com/watch/?v=790773444827548&_rdr

 

VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...

 

QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?

  • Solana (SOL) pourrait devancer Ethereum pour devenir la Visa des cryptomonnaies : Dans un article relayé par Business Insider nous apprenons que dans une note de recherche, Bank of America a déclaré que la blockchain Solana (SOL) pourrait devenir la Visa des cryptomonnaies. En ce sens, le rapport souligne la vitesse de transaction élevée et les centaines d'applications disponibles sur sa blockchain. Il est vrai que l'écosystème a connu récemment un fort enthousiasme et a conclu de nombreux partenariats. Par exemple Opera s'apprête à intégrer le réseau Solana (SOL) à son navigateur. Le but étant de permettre aux utilisateurs d'accéder aux applications (dApps) du réseau directement dans le navigateur. A suivre...

  • Une centrale hydroélectrique du Costa Rica se tourne vers le Bitcoin (BTC) pour continuer à fonctionner : Le Costa Rica est un pays qui produit son électricité de manière presque entièrement renouvelable, et c’est l’État qui contrôle la distribution d’énergie. Selon Reuters, il y a eu un surplus de production ces derniers mois, ce qui a conduit la centrale hydroélectrique en question à fermer, faute de demande de la part de l’État. Eduardo Kooper, le président de l’entreprise, s’est donc tourné vers le Bitcoin pour trouver une nouvelle utilité pour la centrale, qui avait été forcée de cesser de fonctionner pendant neuf mois. Il explique avoir été « très sceptique » au départ, mais l’entreprise a finalement misé 500 000 dollars pour investir dans de l’équipement de minage. Au total, ce sont désormais 650 machines dédiées à 150 clients qui minent du Bitcoin en continu dans la centrale hydroélectrique.

  • La néo-banque N26 lancera un service de trading de cryptomonnaies courant 2022 : Après s'être concentrée sur son expansion géographique et avoir fidélisé plus de 7 millions de clients, la néo-banque N26 souhaite se tourner vers des secteurs en plein essor. Ainsi, la fintech allemande introduira dans les prochains mois un service de trading centré sur les cryptomonnaies.

 

LE PETIT MANUEL DU RESISTANT

  • Masques PRONEEM : S’il est important de se faire vacciner, les gestes barrières restent essentiels pour ralentir la progression du virus et se protéger des différents variants « une réduction même petite des taux de transmission pourrait produire une diminution importante de la taille du pic épidémique. Le renforcement des gestes barrières, du port du masque, le télétravail et une réduction des contacts peuvent jouer un rôle important sur la dynamique de l’épidémie. » indique l’institut Pasteur dans un rapport du 29 novembre 2021.

     

  • Les masques VIRALSTOP sont entièrement virucides, car l’actif encapsulé au cœur de leurs fibres neutralise le virus. Les masques VIRALSTOP ont été testés dans un laboratoire de classe 4 sur le virus responsable de la Covid19. Plus de 200 tests en R&D représentant 600 000 euros d’investissement ont été réalisés pour s’assurer de l’efficacité de VIRAL STOP sur les virus H1N1, SARS COV 2 et ses variants, quel que soit le textile imprégné (coton, polyester, polyamide, élasthanne, soie, mousse, microfibre, laine, tissus enduits, moquette...). Les porter minimise considérablement les risques de contamination. L’actif VIRALSTOP empêche également le développement de bactéries, mauvaises odeurs, et champignons.

  • "DIVIZIONAIR" chaque dimanche à 21h sur Youtube avec Fabrice Di VIZIO, animé par Éric Morillot : https://youtu.be/N7jQ6qcaToE

     

  • Conseil Scientifique et Indépendant (CSI) du jeudi 13 janvier 2022 : https://crowdbunker.com/v/4wETRr7C

  • Où est votre limite ? Reprendre notre pouvoir. Agir chacun à notre échelle. Ne pas attendre que les autres prennent les devants pour agir à notre tour. Si chacun de nous agit ainsi, alors plus aucune mesure dénuée de logique ne pourra avoir d'impact sur nous. https://fb.watch/asenQJt8TT/

     

  • L'application NosLois (téléchargeable sur Apple Store et Google Play) crée du contact régulier avec les citoyens et less parlementaires autour d'une information factuelle, les propositions de loi. NosLois permet de suivre les lois en cours de préparation, de les voter et d'influencer les décisions, offre aux parlementaires la possibilité d'expliquer leurs votes, d'interroger et consulter les citoyens de leurs circonscriptions. https://www.noslois.fr/

     

  • Les promesses ne valent que pour ceux qui y croient : https://odysee.com/@Vivresainement:f/pass-vaccinal-senat:d

     

  • Maître Carlo Brusa : Conseil constitutionnel espoir ou désespoir : https://reaction19.fr/ (vidéo)

     

ACTIVONS NOS NEURONES

Le magazine Le Pèlerin offre à ses lecteurs une approche spirituelle dans des lieux de vie touchant au patrimoine national (religieux ou pas). Une superbe idée pour découvrir la France en ces temps covidiens tout en se ressourçant au passage en écoutant le carillon du Sacré-Coeur de Millau, en s'extasiant devant les vitraux de la Nativité de Spézet (Finistère), en s'arrêtant à l'abbatiale de Sénanque ou en s'attardant sur Nicolas qui fut condamné pour avoir laissé chanter son coq à Margny-lès-compiègne (Oise). Pour info, cela fait trente ans que Le Pèlerin accompagne les maires ainsi que les associations à la restauration de leur patrimoine, grâce au concours Grand Prix Pèlerin du Patrimoine, conjointement avec l'Institut Pèlerin du Patrimoine.

Pour vos prochaines sorties, je ne saurais trop vous conseiller de vous rendre sur: https://www.lepelerin.com/patrimoine où vous découvrirez une carte de France mentionnant, sous la forme de pastilles de couleur, les lieux ayant remporté un Grand Prix du Patrimoine (en orange), les lieux patrimoniaux des régions (en marron), les coups de cœur (en bleu) et les évènements (en jaune). De quoi sélectionner à l'avance vos destinations culturelles, en remplissant l'adresse de votre choix, en sélectionnant le rayon d'action (de 10 à 100 km) ou en entrant un mot-clé dans la case recherche.


DU COTE DE CHEZ NOUS

Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien https://youtu.be/BM4ZklCyJ3w


 

Exposition « Alicia Paz » du 27 janvier au 31 mars 2022, à Paris (75)

À travers une série de portraits sans âge, huiles sur toile au charme suranné, l'artiste franco-mexicaine Alicia Paz réhabilite une poignée d'entre elles, femmes célèbres et anonymes qui l'ont inspiré, bouleversée ou simplement aimée. L'artiste peintre, diplômée des Beaux-Arts de Paris réunit ainsi des femmes issues d'époques, de cultures et de classes différentes, pour former ici son panthéon personnel des grands Hommes.

A la Maison de l'Amérique Latine, 217, boulevard Saint-Germain, à Paris (7ème). Entrée libre. https://www.mal217.org/fr


 

Altitude Jazz Festival, du 22 au 30 janvier 2022, à Briançon (05)

Pour sa 15ème édition, l'Altitude Jazz Festival se tiendra à l'air libre.

Du 22 au 30 janvier, les artistes se produiront en plein air et les concerts seront en accès libre pour la grande majorité. Une édition unique et décalée, imaginée par l'équipe de Décâblés. Pour cette édition 2022, pas de concerts en salle, tout se fera dehors, en plein air : au soleil pour les concerts en journée et sous les étoiles au coin du feu pour les concerts du soir. 

Doudounes, bonnets et bottes de neige seront donc de rigueur, mais il ne fait aucun doute que la musique saura réchauffer les coeurs.

Des concerts gratuits le midi, du lundi au vendredi, Place Centrale à Briançon, et sur réservation le soir du samedi 22 au dimanche 30 dans des lieux tenus secrets dans les villages de la vallée, mais « autour du feu » (réservation sur www.altitudejazz.com). Il faudra peut-être même chausser les raquettes, skis de fond ou de rando pour accéder à un espace scénique inédit...

Les lieux précis des concerts seront communiqués la veille aux personnes ayant réservé leurs billets.

Les concerts d'ouverture et de clôture se tiendront eux sur la Place de la Médiathèque de Briançon à 19h le samedi 22 janvier et à 15h le dimanche 30 janvier. Pas de bar ni de restauration possible pour cette édition adaptée aux restrictions actuelles.

Les organisateurs ont mis en place une cagnotte pour soutenir le festival : www.billetweb.fr/bruit-blanc-je-soutiens


 

Exposition « Sous l'oeil du dragon. Anges, Saints et démons », du 26 janvier au 8 février 2022, à Paris (75)

Anges gardiens, anges combattants, anges de tendresse, anges pèlerins, jardiniers ou musiciens, tous prennent vie dans la gravure de Paul Kichilov et sous la plume de Pauline de Préval. Une exposition originale à deux voix, artiste et écrivain, qui invite au réenchantement du monde.

Paul Kichilov est un peintre graveur né à Moscou en 1966 et résident depuis 1973 à Paris. Diplômé de l'ENSAD en 1991, il est souvent sollicité par des revues et des maisons d'édition en même temps qu'il expose ses créations dans des galeries et monte des spectacles de dessin vivant.

Son travail témoigne de ses multiples sources d'inspiration : l'univers des contes russes, le clair-obscur des tourments de l'âme, le noir et blanc des hivers russes de l'enfance et la lumière du soleil grec qu'il a connu pendant dix ans à Athènes...Le fil rouge de son œuvre : la quête de vérité par les chemins de l'imaginaire.

Au Collège des Bernardins, 20 rue de Poissy à Paris (5ème). Entrée libre. https://www.collegedesbernardins.fr/content/sous-loeil-du-dragon-anges-saints-et-demons


 

Oui aux soldes mais dans les règles !

Il est bon de se rappeler ce qui suit :

 

  • Les soldes d’hiver (du mercredi 12 janvier au mardi 8 février), comme celles d’été, commencent à la même date et durent 4 semaines (contre 6 auparavant) sur tout le territoire, hormis quelques exceptions liées à des particularités locales.

  • Depuis 2015, les commerçants ne peuvent plus pratiquer de soldes complémentaires, quand ils le souhaitent, pendant deux fois une semaine ou une fois deux semaines au cours de l’année (soldes flottants).

  • En dehors des soldes saisonniers, le mot « solde » ne peut pas être utilisé. Les commerçants peuvent en revanche procéder à des promotions, déstockages ou autres liquidations.

  • Les soldes ne peuvent porter que sur des articles déjà proposés à la vente et payés par le commerçant depuis au moins 30 jours. Outre le prix réduit affiché, le prix avant les soldes doit être indiqué. Si vous procédez à des repérages avant les soldes, vous pouvez vous-même vérifier que le rabais porte bien sur le prix initial et non pas sur un prix artificiellement gonflé.

  • La réduction peut être faite par escompte à la caisse, cette modalité doit alors faire l’objet d’une publicité et l’avantage annoncé s’entend par rapport au prix de référence (- 30 % sur les étiquettes jaunes, - 50 % sur les vertes, etc.)

  • Un commerçant peut ne solder qu’une partie de ses produits, mais il doit l'indiquer clairement (par exemple avec un  panneau « Nouvelle collection non soldée »). Il lui est en tout cas interdit d’acheter des produits pour les vendre exclusivement pendant la période des soldes ou de se réapprovisionner.

  • Article soldé ou non, les règles en matière de garantie sont les mêmes : le commerçant est tenu d’échanger ou de rembourser un article en cas de vice caché (défaut de fabrication…). Tout article soldé est également couvert par la garantie légale de conformité (la puissance du four n’est pas celle promise, le téléviseur ne capte pas les chaînes de la TNT…) : le vendeur doit entièrement répondre des défauts de conformité existant lors de la remise du produit et qui sont présumés exister à ce moment-là s’ils apparaissent dans un délai de 2 ans

  • Si l’article ne convient pas ou plus (problème de taille, de choix de la couleur), le commerçant n’est pas obligé de l’échanger ou de le rembourser. Il peut accepter de le faire à titre commercial uniquement (sauf publicité contraire comme par exemple un panneau « Échange ou remboursement possible même pendant les soldes »). Il est donc fortement conseillé d’essayer les articles (même si parfois trouver une cabine disponible dans certains magasins relève de l’exploit) avant l’achat.

  • La réglementation des soldes sur Internet est exactement la même que celle pratiquée en magasin. La principale différence tient au fait qu’il s’agit de vente à distance, les clients disposent donc d’un délai de rétractation de 14 jours à partir du jour de réception de l’article. Le client pourra ainsi échanger son article ou être remboursé, sans pénalité et sans avoir à justifier sa décision.


Pièce de théâtre « Les Fourberies de Scapin » le 28 janvier 2022, à Moissac (82)

Molière construit une pièce unique en son genre qui est un concentré de théâtre comique, où il est question de mariage secret, d'une traversée malheureuse, d'argent, de ruses et de tromperies, d'une galère turque et d'une troupe d'Egyptiens qui rode...Une pièce qui n'a pas pris une ride et reste accessible à tous.

Par la compagnie « Ceux de Brocéliande », à 14h30 et 21h, Hall de Paris, à Moissac (82).


 

Exposition « Comédie-Française & Cinéma, Aller-Retour » jusqu'au 16 avril 2022, à Paris (75)

La Comédie-Française s’invite sur les murs et les écrans de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé pour retracer l’histoire passionnante qui l’unit au septième art depuis plus d’un siècle. Évoquer les liens entre le Français et le cinéma, c’est suivre le fil d’une collaboration riche de créations et d’échanges qui a permis à chacun de ces deux mondes de se nourrir mutuellement et d’enrichir leur mode d’expression. Pour retracer cette aventure ponctuée d’allers et de retours, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé a investi l’ensemble de ses espaces pour exposer une somme d’archives inédites portée par une scénographie immersive et ludique.

Au programme : plus de 150 photographies (portraits de comédiens et d’acteurs, photos de tournages), 120 extraits de films (autant de films dans lesquels apparaissent les comédiens que des pièces filmées du répertoire ou des productions originales de la Comédie-Française), une quinzaine d’affiches issues des collections de la Fondation Jérôme Seydoux Pathé, du musée Gaumont et de la Comédie-Française, autant de costumes prêtés par la Cinémathèque française et le Centre national du costume de scène, maquettes de décor (dessin et 3D), bustes, ephemera souvent inédits de type correspondances, publicités, périodiques, programmes… sont pour la première fois rassemblés pour lever le rideau sur la relation immuable de la Comédie-Française et du cinéma. Un grand nombre des documents présentés sont issus des fonds de la Comédie-Française.

A la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, 73, avenue des Gobelins à Paris (13ème). https://www.fondation-jeromeseydoux-pathe.com/

 

Nocturnes, conférences, spectacles et évènements chez Citéco en février à Paris (75)

Ces activités visent à apporter un éclairage sur la question des frontières entre le virtuel et le réel, entre le monde matériel et l'univers digital :

  • Nocturne « Crypto Art, NFT et Wallet ». Rencontre avec Albertine Meunier, une des premières artistes numériques françaises, pour découvrir l'univers crypto, comprendre les mécanismes de ce nouveau marché et avoir toutes les clefs pour en devenir acteur. Le jeudi 6 février 2022

  • Conférence « Homme, robots et intelligence artificielle : quelle place donne t-on aux algorithmes ? » Que désigne le terme intelligence artificielle (IA) ? Les robots annoncent-ils réellement la fin du travail ? Comment vont-ils nous transformer ? Le samedi 12 février 2022.

  • Cinéma « Tous surveillés, 7 milliards de suspects ». Documentaire dont la projection sera suivie d'une rencontre avec Sylvain Louvet, réalisateur, producteur et journaliste. Le dimanche 13 février 2022 à 15h00.

Plus d'informations sur https://www.citeco.fr/


 

Exposition « Barzaz Breizh, le Chant de la Bretagne » du 28 janvier au 31 décembre 2022, à Quimper (29)

Après plus de trois années de travail, les archives départementales du Finistère en partenariat avec le Centre de recherche bretonne et celtique vont mettre en ligne les 5 700 pièces d’archives et le catalogue de la bibliothèque de Théodore Hersart de la Villemarqué.

Véritable œuvre littéraire de premier plan écrite par Théodore Hersart de La Villemarqué et publiée en 1839 d’après un travail de collecte orale, les chants du Barzaz Breiz vont résonner bien au-delà des frontières bretonnes et déchainer les passions. Le Département a acheté en 2018 le fonds d’archives et la bibliothèque familiale de La Villemarqué avec le soutien de l’État, de la Région et de la Ville de Quimperlé, pour préserver le travail d’une figure marquante du XIXème siècle. Commence alors un partage de ce patrimoine commun qui nourrit encore nos imaginaires individuels et collectifs, qu’il s’agisse de légendes arthuriennes, de korrigans ou de la vie quotidienne... C’est à partir de ces sources que l’exposition invite les visiteurs à un voyage au cœur du Barzaz Breiz, grâce à un triptyque « écrit – musique – œuvre d’art ». Une sélection d’une vingtaine de chants et plus d’une centaine d’œuvres et documents, répartis dans tout le musée, permettent de saisir les grandes thématiques et l’esprit du Barzaz Breiz d’hier à aujourd’hui : la légende, l’histoire et la vie.


 

Livre « Mémoire morcelée, 150 ans d'archéologie en Ile-de-France » (Editions du Patrimoine)

Ce titre est le premier d’une nouvelle collection des Éditions du patrimoine : « Mémoire morcelée » ; chaque titre dresse le bilan de la recherche archéologique dans une région française, du paléolithique au XXème siècle. Sites et objets remarquables y sont étudiés et reproduits. La collection s’adresse aux professionnels, aux amateurs et aux curieux. Plusieurs niveaux de lecture y sont proposés, afin de toucher le plus large lectorat possible. L’archéologie fait rêver le grand public et c’est l’un des objectifs de cette collection que d’être le vecteur de ce rêve. De sorte que, si le propos est rigoureusement scientifique, le style et la forme y sont aussi séduisants qu’accessibles.

Avec ce premier titre, 150 ans d’archéologie en Île-de-France, c’est tout un pan méconnu de l’histoire de cette région qui est ressuscité. Au fil du sommaire, seront présentés les époques paléolithique, néolithique et chalcolithique, l’âge du bronze, l’âge du fer, l’époque gallo-romaine, le Haut Moyen Âge, le Moyen Âge avec les exemples de Paris et de Saint-Denis, et enfin la période moderne. 320 pages, 298 illustrations et 59 €.


 

Concert de l'Orchestre et Choeur des universités de Paris (75) le 31 janvier 2022

Au programme : TCHAÏKOVSKI – 2ème Symphonie « Petite Russienne », CHOSTAKOVITCH – Concerto n°2 pour piano et orchestre (Soliste : Olof Hansen) et MUZARD – pièces.Direction : Carlos Dourthé. https://www.ocup.fr/concerts/concert-evenement-25eme-anniversaire-de-lo-c-u-p-a-radio-france/


Exposition « Le chiffre noir » du 29 janvier au 4 mars 2022, à Paris (75)

Dessins sur papier, dessins muraux, ou encore dessins sur verre, développés à l’aide d’une technique de projection à la poudre d’acier, constitueront un corpus d’œuvres qui abordera, dans cette exposition au Drawing Lab, le sujet de la manifestation et de la révolte.
Le chiffre noir” désigne l’écart de subjectivité entre deux forces antagonistes.

Par exemple le décalage entre les estimations du nombre de participants à une manifestation du point de vue des manifestants ou des forces de l’ordre. Ici une place sera réservée à chacun des protagonistes.

Au Drawing Lab, Centre d’art privé dédié au dessin contemporain, 17 rue de Richelieu à Paris (1er). https://www.drawinglabparis.com/expositions/le-chiffre-noir/


La côte de Granit Rose côté jardins (Bretagne)


Entre mer et roche, les Côtes d’Armor, fleuron breton, bénéficient d’un climat idéal pour créer de remarquables jardins, qui renferment des essences exotiques, aujourd’hui parfaitement acclimatées à la terre bretonne. Parcours découverte en six étapes :
  • Le Parc du Château de Rosanbo : dominant la vallée de Bô, on y redécouvre l’art des « jardins à la française » où règne l’ordre végétal. Le Château est bordé d’un parc néoclassique, et des charmilles voutées, les plus longues de France, entourent l’ensemble du jardin. La promenade est rythmée par les nombreuses salles de verdure, et l’on se promène avec délectation dans ce jardin labellisé (Ouverture : d’avril à octobre)

  • Le Jardin de Pellinec à Penvénan : Depuis 25 ans, le Jardin de Pellinec, labellisé « Jardin Remarquable », s’est enrichi grâce à la passion de son créateur.

    20 000 espèces ont été plantées, plus de 2 450 variétés dans des jardins aux tonalités diverses et variées. Les fleurs offrent un spectacle pour les yeux : mimosas, camélias, magnolias, rhododendrons par centaines, iris du Japon par milliers (Ouverture : tous les dimanches après-midi (14h à 18h), de mai à août)

  • Le Kestellic à Plouguiel : suspendu à la rivière, bassins, ruisseaux et cascades rythment la balade dans ces chemins sinueux.

    Tous les sens sont mis en avant : couleurs, parfums et sons au gré des jardins, en accord avec les saisons. Et pour une expérience unique, diverses activités sont proposées tels que des cours de dessin ou encore de Yoga. Les artistes ne seront pas en reste avec la réalisation de splendides expositions de peintres à qui Le Kestellic ouvre son jardin cet hiver et au printemps. Cerise sur le gâteau, un salon de thé ombragé offre une pause chaleureuse, on y goûtera notamment les douceurs traditionnelles (Ouverture : d’avril à septembre)

  • Les Jardins de Kerdalo à Trédarzec :

    parsemés de bassins, cascades, escaliers d’eau, grottes ou encore pavillons, ce jardin surplombe la rivière du Jaudy. Le choix de végétaux a été fait minutieusement pour leur rareté botanique, et surtout leurs couleurs. Résultat : plus de 5 000 plantes sur 17 hectares de splendeur. Ce monde magique est inscrit à l’inventaire des Monuments historiques depuis 2007 (Ouverture : d’avril à septembre, du mardi au samedi de 15h à 19h. Nocturnes de 15h à 21h les premiers et derniers mercredis du mois en juillet et août)

  • Les jardins du Domaine départemental de la Roche-Jagu à Ploézal :

    en plein cœur du Trégor et avec une vue imprenable sur l’estuaire du Trieux, le Château de la Roche-Jagu propose une balade au vert, agrémentée de jardins remarquables sur 64 hectares. La Roche-Jagu est un parc contemporain où se distinguent potager médiéval, jardin d'agrément, espaces arborés et bocagers, roseraies, allées de camélias, palmeraies, bassins à rouir le lin…

    Cette année, une surprise attend les visiteurs puisque le Château propose de découvrir du 7 mai au 2 octobre 2022 l’exposition Anima (ex) Musica, une succession d’impressionnantes sculptures d’insectes animées et sonores, réalisées à partir d’instrument de musique, pour un dépaysement poétique dans un discret bruit de fond (De mi-mai à début octobre, puis de fin octobre à début novembre).

  • Les Jardins de Kerfouler à Plouec-du-Trieux :

    ces jardins sont une source d’inspiration inépuisable avec une palette de style distincte : moderne, classique ou encore exubérant dans un espace de 16 jardins sur 10 000 m². Arbres exceptionnels, légumes oubliés, mais aussi surprises amusantes sont à découvrir. Pour terminer la visite, un salon de thé offre une parenthèse gourmande dans une ferme vieille de 200 ans (Ouverture : du 1er juin au 31 octobre).

  • La vallée des Bambous à Plougonver :

    située dans un charmant hameau du centre Bretagne, la Vallée des Bambous possède plus de 1000 plantations diverses et variées (eucalyptus, palmiers, érables, rosiers ou encore fougères). Le clou du spectacle réside surtout dans les 400 espèces et variétés différentes de bambou, à découvrir au gré des saisons sur près de 8 hectares (Ouverture tous les samedis et dimanches à 14h, du 1er mai au 31 octobre).

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>Réouverture des plages de Maya Bay (Thaïlande)

Après 3 ans de fermeture pour restaurer les écosystèmes naturels dégradés à cause du sur-tourisme (La Thaïlande, avec ses quelques 35 millions de touristes par an, accueillait sur l’île, jusqu’à 5 000 visiteurs par jour à l’époque, dont la plupart ne restait que quelques minutes), il est bon de rappeler ce que le tourisme de masse avait fait de cet endroit idyllique, à savoir dégradation des coraux et de la biodiversité, pollution de l’eau (moteurs de bateau, crème solaire, …), déchets jetés, …

Trois ans, c’est le temps qu’il aura fallu pour restaurer l’écosystème présent jusque-là et notamment les récifs coralliens. Qui dit chaîne alimentaire, dit, si retour du corail, retour des poissons, donc des requins, indispensable pour maintenir l'équilibre de la vie océanique. Espérons que cette stabilité perdure, on y croit avec les restrictions proposées par le gouvernement, notamment de limiter l’accès du site à 300 touristes par jour sur un créneau déterminé.

 

Livre «La Saga de la Petite Ceinture » de Bruno Carrière (La Vie du Rail)

Construite au milieu du XIXème siècle sur une trentaine de kilomètres, la Petite Ceinture de Paris était au départ une simple rocade dédiée au transport des marchandises.

Puis, elle permit d’assurer également le transport de voyageurs. Auteuil, Vaugirard-Ceinture, Parc de Montsouris, La Rapée-Bercy, Charonne, Ménilmontant, Bd Ornano, Courcelles… autant de noms égrenés sur le plan du « Chemin de fer de ceinture de Paris ». Au cours du XXème siècle, face à la concurrence de la Grande Ceinture (rocade ferrée extra muros) et du transport routier par camion ou voiture individuelle, la Petite Ceinture connaîtra un déclin inexorable jusqu'à sa fermeture en 1991.

Aujourd'hui, La Vie du Rail édite un nouvel ouvrage riche en archives et à l’abondante iconographie, tant ce réseau pas comme les autres, solidement ancré dans le Paris intra muros, suscite l'intérêt et la curiosité…




>Nouveau musée du Moyen-Âge en 2025 à Saint-Gilles (30)

Fermée depuis cinq ans, la Maison Romane de la commune est estampillée Musée de France, mais ne correspond plus aux normes d’un musée moderne pour réaliser une muséographie interactive et spectaculaire. L'endroit abrite aussi un ancien cloître à proximité d’une abbaye cistercienne, classée au patrimoine mondial de l’Unesco.

Après de lourds travaux d’aménagement, estimés à au moins 8 M€, il pourrait accueillir ce nouveau musée de l’histoire médiévale. Le cellier des moines est quasiment intact et offre une vaste surface d’exposition pour la collection permanente. Les trois autres étages à rénover, soit plus de 1 000 m2, serviraient aux expositions temporaires et aux découvertes récentes, ainsi qu’à une impressionnante collection d’oiseaux naturalisés de la réserve de Camargue toute proche. A suivre.


 

Des trains et des timbres

Le Portugal a émis le 21 septembre dernier cinq timbres imprimés en offset, dont un présenté sur un petit feuillet spécial d’une dimension de 125 x 95 mm. Il révèle l’Alpha Pendular série 4000 dans sa version modernisée et le feuillet représente, sous une belle lumière, l’extérieur de la gare de Lisbonne Oriente, chef d’oeuvre de Santiago Calatrava, inaugurée en 1998 lors de l’Exposition universelle de Lisbonne.

Les autres timbres représentent une Euro 4000 de l’opérateur ibérique Takargo, la CP 4700 Medway avec ses teintes noire et jaune, une rame à deux niveaux UQE 3500 pour le service dit Fertagus reliant Lisbonne et la péninsule de Setúbal et la série 2200 affectée aux services urbain et périurbain. Notons que sur la dentelure ou la perforation des timbres, le Portugal dispose toujours deux croix du Christ en haut et en bas.

Les Chemins de fer luxembourgeois qui fêtaient leur 75ème anniversaire ont proposé les 25 et 26 septembre 2021 un petit bloc de 110 x 70 mm composé de trois timbres d’une valeur de 0,80 euro. L’un représente en haut une rame Kiss 2300 et dessous une DE 18, le second du matériel historique : la locomotive diesel 1604 avec en toile de fond une gare dont le campanile déborde sur le bloc. Enfin le dernier timbre n’a rien de ferroviaire mais représente une voiture ainsi qu’en bas les nouveaux bus articulés hybrides des CFL construits par Volvo.

Autre anniversaire, cette fois-ci, celui d’une ligne Bruxelles – Paris qui fête ses 175 ans. Pas de timbre du côté français mais la Poste belge, elle, a dévoilé un magnifique bloc évoquant l’évolution du matériel moteur sur cette célèbre ligne à travers cinq timbres-poste. Ce bloc est sorti officiellement le 25 octobre dernier. imprimé en taille-douce et héliogravure, il fait une belle dimension de 160 x 200 mm.

Les deux premiers timbres relatent l’inauguration de la ligne les 14 et 15 juin 1846 avec une gravure d’époque et les locomotives qui ont accompagné cet événement. Le troisième timbre est illustré du TEE lancé en 1957 avec le modèle allemand du VT 11. L’avant-dernier montre toujours le TEE, mais électrique, avec la locomotive 18 des SNCB semblable à nos CC 40100… Le dernier ne se présente plus, c’est le TGV Thalys inauguré le 2 juin 1996 avec ici le modèle PBKA qui est représenté…

Pour acquérir ces timbres, se renseigner auprès des services philatéliques respectifs : www.ctt.pt, www.postphilately.lu et www.bepost.be

 

Le Centre des monuments nationaux a accueilli en 2021 4 766 800 visites, en hausse de 35 % par rapport à 2020

Si la fréquentation n’a pas retrouvé son niveau d’avant la crise sanitaire (près de 10 millions de visiteurs en 2019) la quasi-totalité des monuments a connu en 2021 des hausses sensibles par rapport à 2020. C’est vrai pour les monuments les plus connus du réseau, même s’ils continuent à souffrir spécialement de la chute du tourisme international, en particulier en Ile de France : 

L’abbaye du Mont-Saint-Michel (608 421 visites, + 22%), l’Arc de Triomphe, qui a largement bénéficié de l’installation de Christo et Jeanne-Claude (510 335 visites, + 19 %), et la Sainte-Chapelle (373 334 visites, + 38,5 %) restent ainsi les monuments les plus fréquentés.

Ils sont suivis par le Panthéon (368 084 visites, + 65 %) qui, porté notamment par la panthéonisation de Joséphine Baker et l’exposition commémorant l’anniversaire de l’abolition de la peine de mort, retrouve sa place devant le château comtal et les remparts de Carcassonne (316 404 visites, + 18,6%).


Mais c’est aussi le cas de nombreux autres monuments tels que :

L’abbaye de Montmajour (39 985 visites, + 96%),

le château de Voltaire à Ferney (21 848 visites, + 70%),

le monastère royal de Brou (62 440 visites, + 93 %),

le château de la Motte-Tilly (10 460 visites, + 58%),

le château d’Aulteribe (6 264 visites, + 42 %)

ou encore de monuments qui avaient connu des périodes de fermeture plus longues et des jauges plus restreintes en 2020 en raison de leur exiguïté :

les tours de la cathédrale de Bourges (8 318 visites, + 304 %),

la grotte de Font-de-Gaume (18 180 visites, + 192%),

la grotte de Pair-non-Pair (6 332 visites, +113%),

les tours de la cathédrale d’Amiens (4 973 visites, + 97%)

la tour Pey-Berland (22 774 visites, +90%).


Certains monuments, rares il est vrai, ont même connu une fréquentation supérieure en 2021 par rapport à 2019 ; il en va ainsi du château de Gramont et de son exposition « Costumer la Renaissance » (6 341 visites contre 3 572 en 2019 soit + 77,5%), de la place forte de Mont-Dauphin, qui accueille l’ensemble de sculptures « Little Bighorn » d’Ousmane Sow depuis le 6 juillet et pour une durée de dix ans ( 14 316 visites contre 11 658 en 2019, + 23%) ou encore de la colonne de la Grande Armée à Wimille (5 038 visites contre 4 686 en 2019, + 7,5 %).


Rapportée au seul nombre de jours d’ouverture (du 19 mai au 31 décembre), la fréquentation de plusieurs autres monuments connaît quant à elle une hausse par rapport à la même période de 2019, notamment grâce à la programmation d’expositions patrimoniales ou d’art contemporain :

la villa Kérylos (32 319 visites, + 10,6 %),

les tours et les remparts d’Aigues-Mortes (145 944 visites, + 6 %),

le château de Carrouges (14 065 visites, + 7 %),

l’abbaye de la Sauve-Majeure (13 416 visites, + 6 %), 

le fort Saint-André de Villeneuve-lez-Avignon (23 675 visites, + 4,6%), 

le site archéologique de Glanum (46 494 visites, + 5 %), 

le site gallo-romain de Sanxay (3 559 visites, +2%).


Enfin, il faut noter que l’Hôtel de la Marine, qui a ouvert ses portes au public pour la première fois au mois de juin 2021 après une importante campagne de restauration et de réameublement et dont les espaces dédiés à la découverte des trésors de la Collection Al Thani sont accessibles depuis le mois de novembre dernier, a, quant à lui, déjà reçu plus de 210 000 visites, confirmant l’intérêt des visiteurs et augurant d’un succès encore plus éclatant auprès des publics nationaux et internationaux dès que la crise sanitaire sera derrière nous.


Les sites internet des monuments ont connu aussi une forte fréquentation (12 millions de pages vues/ + 41% et 9,8 millions d’utilisateurs uniques/+ 46%), grâce notamment à la réouverture des monuments, à l’intérêt renouvelé des français pour leur patrimoine et à deux temps forts de la saison culturelle : l’inauguration de l’Hôtel de la Marine et l’installation de Christo et Jeanne-Claude à l’Arc de Triomphe.

Le CMN a également continué à développer ses actions sur les réseaux sociaux en pérennisant ses visites en direct de monuments sur Facebook (100 500 abonnés, + 2,6%), et en étendant sa présence auprès de nouveaux publics avec son arrivée sur Tik Tok et LinkedIn en 2021.




Livre « Rooftops et vues panoramiques sur Paris, Bars et restaurants en hauteur » de Tifenn Cloarec

Ce guide passionnant propose de découvrir la capitale française autrement : plusieurs adresses perchées, incontournables ou plus confidentielles, offrent depuis longtemps des escales aériennes et des vues panoramiques sur la Ville lumière. De nombreux bars et restaurants parisiens ont également investi les toits parisiens ces dernières années, d'où ces « rooftops », pérennes ou éphémères, qui ont fleuri aux quatre coins de la ville.

Dans ce guide, Tifenn Cloarec s'adresse aux Parisiens et aux visiteurs de passage, aux curieux et aux amateurs. Une sélection de 110 adresses, touristiques ou plus secrètes, invitent à vivre un moment unique et inoubliable en offrant une vue imprenable et un tête-à-tête avec le ciel.

Editeur Books on Demand. 104 pages, et 17,70€ (version e-book : 7,99€)



Baisse de fréquentation au Musée du Louvre (Paris)

Le musée du Louvre a encore vu sa fréquentation pâlir une fois de plus en 2021, parvenant à peine à franchir les 30% de la période record de 2019 et encore plus de 2018, qui avait dépassé les 10 millions de visiteurs. Le gain est même minime par rapport à 2020, gagnant à peine 100 000 visiteurs pour ne même pas parvenir à franchir les 3 millions d’entrées. Le budget du musée va aussi en souffrir, car il va manquer 80 M€ dans les caisses par rapport à une année normale.

Cette désertion des touristes étrangers sonne pourtant comme une bonne nouvelle pour les Français et encore plus les Franciliens, qui retrouvent des allées clairsemées, et une Joconde presque délaissée. Ils ont représenté la moitié des visiteurs, le solde étant assuré par les touristes venant des autres régions de France et un quart d’Européens.


Sommets musicaux de Gstaad (Suisse)

Cette 22ème édition des Sommets Musicaux de Gstaad du 28 janvier au 5 février 2022  se veut être une Ode à la jeunesse et l'occasion de retrouvailles avec le public. Au programme,Renaud Capuçon sera à la tête de l’Orchestre de chambre de Lausanne et en ouverture du Festival à l’église de Saanen. Au cours de cet événement, trois cycles de concerts auront lieu dans trois lieux d’exception, à la Chapelle de Gstaad (découverte de jeunes talents en huit concerts), à l'Eglise de Saanen (stars du Festival en cinq concerts et un conte musical pour enfants) et à l'Eglise de Rougemont (coups de cœur du directeur artistique en cinq concerts).

Le violon et la promotion des jeunes talents seront à l’honneur pendant toute la durée du Festival, en particulier à la chapelle de Gstaad tous les après-midis où les jeunes violonistes, en lice pour le Prix Thierry Scherz et le Prix André Hoffmann, qui n’ont pas pu se produire en 2021, vous attendent avec impatience pour un récital à 16h.

Mais aussi à l’église de Rougemont à l’occasion du concert du 30 janvier, à 11h00, lors duquel on entendra le violoniste Guillaume Sutre, qui assurera également le rôle de mentor auprès des jeunes violonistes, dans un programme Bach.

Et lors du concert du 1er février à l’église de Saanen avec le violoniste letton Gidon Kremer, qui est considéré comme l’un des plus grands violonistes et musiciens de sa génération. Elève de son père et de son grand-père, violonistes de métier, Gidon Kremer a étudié sous la direction de David Oïstrakh. Il est accompagné par le Kremarata Lithuanica, orchestre récemment fondé et composé de jeunes musiciens talentueux, et le pianiste letton Georgijs Osokins, dans un programme étonnant essentiellement fait d’œuvres de jeunes compositeurs baltes.

301ème numéro du magazine VMF consacré au département du Nord (59)

Le Nord a inspiré les plus grands artistes pour ses paysages, sa luminosité et sa joie de vivre. Des monts de Flandre aux doux vallons de l’Avesnois, des dunes littorales aux fiers beffrois, des toits de chaume des fermes flamandes aux pigeonniers coiffés d’ardoise, ce département est surprenant, captivant, passionnant. Partons à la découverte de Bergues, dite « l’autre Bruges », des fermes et demeures si particulières des Flandres, du château de l’Hermitage, de l’église Saint-Joseph de Roubaix, du jardin des Trois Colombes à Godewaersvelde, de la maison natale de Charles de Gaulle, de la salle Sthrau à Maubeuge, de la restauration des châteaux de Rametz et Potelle, et de ces polders qui, en asséchant les plaines et en maîtrisant l’écoulement des eaux, façonnent le paysage.

120 pages. 9,90€. https://www.vmfpatrimoine.org/qui-sommes-nous/un-magazine/le-dernier-numero/


 

Exposition « La Côte d'Azur s'affiche », du 22 janvier au 15 mai 2022, à Nice (06)

Élevée au rang de pratique artistique grâce à des illustrateurs comme Jules Chéret ou Alphonse Mucha et des peintres comme Henri de Toulouse-Lautrec, l’affiche est devenue au XXème siècle un objet du quotidien qui décore les intérieurs et continue d’orner l’espace public.

Les Archives départementales des Alpes-Maritimes conservent un riche fonds d’affiches consacrées à la promotion d’un territoire mythique : la Côte d’Azur. Elles constituent des témoignages souvent savoureux de sa construction du XIXème au XXème siècle. Entre terre et ciel, mer et montagne, ces images racontent l’histoire de la région, la grande comme la petite.

Telle une invitation au voyage dans le « plus beau pays du monde » de Dominique Durandy, cette exposition plonge les visiteurs dans un monde, où la douceur du climat et la beauté des paysages sont au rendez-vous. Les voyageurs pourront également découvrir une nouvelle facette du territoire : un espace où chacun va, un lieu où chacun s’amuse, une terre de culture et de sport. Ce séjour, haut en couleur, s’achève au XXIème siècle par une rencontre avec Éric Garence qui dévoile sa vision de la Côte d’Azur. L’exposition « La Côte d’Azur s’affiche » est accompagnée d’un catalogue inédit (103 p., 20 €). https://espacelympia.departement06.fr/espace-lympia-15092.html


Festival mondial du Cirque de demain, du 27 au 30 janvier 2022, à Paris (75)

Après une année blanche, les acrobates, trapézistes, jongleurs et magiciens choisis par le festival mondial du cirque de demain était impatients de reprendre du service. Les voici fin prêts pour célébrer avec nous ces retrouvailles lors d'un grand week-end de fête, rythmé tout du long par d'époustouflants numéros.

Cette 42ème édition réunit une quarantaine d'artistes de cirque du monde entier, rassemblés ici pour nous faire vivre une expérience hors du commun, et nous faire vibrer aux performances les plus folles. Le festival du cirque de demain offre en effet un large panorama de la création contemporaine et du monde du spectacle actuel avec ses jeunes talents originaire de 22 pays différents.

Cirque Phénix, Pelouse de Reuilly, à Paris (12ème). https://www.cirquephenix.com



L'exposition qui nous intéresse aujourd'hui présente pour la première fois plus de cent chefs-d'oeuvre de la peinture chinoise ancienne. Ces peintures et calligraphies exceptionnelles, nées du pinceau des plus grands maitres des dynasties Ming (1368-1644) et Qing (1644-1912), ont été rassemblées patiemment par le collectionneur Ho lu-kwong, qui, selon la tradition chinoise, leur a donné le nom de Chi Lo Lou, « le pavillon de la félicité parfaite ».


Yves


 

Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) Etats-Unis 2) France 3) Chine 4) Suisse 5) Canada 6) Argentine 7) Belgique 8) Allemagne 9) Ile de la Réunion 10) Brésil

 

 




Exposition "Peindre hors du monde, Moines et Lettrés des dynasties Ming et Qing" (Musée Cernuschi, Paris, France)


L'exposition qui nous intéresse aujourd'hui présente pour la première fois plus de cent chefs-d'oeuvre de la peinture chinoise ancienne. Ces peintures et calligraphies exceptionnelles, nées du pinceau des plus grands maitres des dynasties Ming (1368-1644) et Qing (1644-1912), ont été rassemblées patiemment par le collectionneur Ho lu-kwong, qui, selon la tradition chinoise, leur a donné le nom de Chi Lo Lou, « le pavillon de la félicité parfaite » (...)


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