Mercredi 28 juin 2014
Suite et fin de mes impressions sur le Costa Rica. Après avoir abordé les points positifs de mon voyage, je vais souligner les points négatifs. Lorsque j'ai décidé de partir visiter ce pays, mon erreur fut de faire appel à une agence de voyages. Habituellement, je ne le fais jamais, et je m'en sors très bien. Faute d'avoir « pris le temps » d'organiser moi-même mon circuit et les hébergements, j'ai eu recours à l'agence Costa Rica Découverte : lors de mes recherches sur internet, le hasard m'a fait tomber sur ce joli site. L'accueil fut aussi agréable et la réactivité à la hauteur de mes attentes : nous recevions une proposition de circuit quelques heures seulement après notre appel et l'exposé de mes désidératas (visite prioritaire des parcs nationaux, location d'un véhicule adapté, hébergements propres, à prix corrects et pratiques, et accès internet pour les besoins quotidiens de gestion de mon site). France et moi validions le circuit proposé en nous reposant sur cette agence et sur les liens internet des hébergements qui nous avaient été fournis car nous ne connaissions pas du tout le Costa Rica, confiance oblige. N'ayant aucun point de comparaison, nous acceptions également le tarif demandé (d'où l'importance d'étudier plusieurs propositions dans des agences différentes). Me suis-je mal fait comprendre (ou pas?), nous allions être déçus sur plusieurs points. France et moi formons alors un couple complémentaire. Je suis plutôt baroudeur et m’accommode de certaines choses mais suis tatillon sur d'autres. France est plus attentive que moi dans d'autres domaines, et qui plus est, très observatrice.
Premier point décevant : les hébergements. Un quart des hôtels qu'on nous avait affectés furent très décevants. A Boca Tapada, on nous envoya à Lagarto Lodge, un centre d'observation unique pour les oiseaux, selon l'agence, mais qui ne correspondait pas du tout à nos attentes. La chambre ressemblait davantage à une cabane qu'à autre chose, accès internet très médiocre, boutons électriques sales, état douteux de la salle de bains et des draps des lits, pas d'air conditionné et pas d'eau chaude. Le jeune homme qui nous accueillit était par contre charmant, mais cela ne fait pas tout. Les commentaires de l'agence non plus (« Enrichissez-vous de cette nouvelle expérience et transmettez-la à vos lecteurs » me lâchait Maëlle, une collaboratrice). Nous décidions finalement de nous rendre à un autre lodge que nous avions remarqué sur notre route, en venant au Lagarta Lodge, et finîmes par y poser nos bagages pour 48 heures, à nos frais.
Notre agence nous envoya aussi au Carolina Lodge, pour visiter le volcan Tenorio. Rebelote ! Si l'accueil du personnel fut très agréable, les chambres étaient situées dans un bâtiment en bois, certes très dépaysant, mais laissant passer les insectes (France suspecte des piqûres de punaises!) et une partie de la moustiquaire de la porte d'entrée était déchirée. La salle de bains était des plus rudimentaires (robinetterie très sommaire et filet d'eau sous la douche). L'accès à ce logement resta laborieux : piste très accidentée par endroits, mais fléchage correct). Bonne cuisine (produits frais et faits maison). Accès internet très localisé (l'agence nous avait averti qu'il n'y avait pas d'accès mais celui-ci a été récemment installé), mais bien pratique.
Nous eûmes aussi droit à la Finca Bavaria à Uvita. France, qui pensait déjà descendre dans un hébergement bien tenu, aux consonances allemandes donc recommandables, fut bien déçue : on nous attribua la chambre 4, qui ne ressemblait en rien aux photos produites sur internet concernant cet établissement. Je ne dis pas que ces belles chambres colorées n'existent pas mais nous n'en avons pas bénéficié. Nous dûmes nous contenter d'une chambre glauque, avec une moustiquaire partielle (pas de moustiquaire sur le petit lit , ni sur la porte fenêtre) alors qu'il y avait la présence de moustiques le soir. Le propriétaire allemand ne disposait pas non plus d'une autre moustiquaire de lit. Pas de rideaux aux fenêtres non plus pour isoler du jour. D'autres Français arrivèrent peu de temps après nous dans la chambre voisine et nous dûmes subir les conversations (et les cris d'un enfant) de nos voisins car le mur n'isolait que du regard. Mieux ! La nuit tombée, notre logis se transforma en...insectarium. Fourmis, moustiques, et autre insectes nous gratifièrent de leur présence toute la nuit durant (France fut d'ailleurs réveillée dans son sommeil par un insecte courant sur son épaule). France repartant le lendemain pour ...la France, je décidais de déménager à nouveau, et encore à mes frais, pour un hébergement plus pratique à Uvita et surtout plus propre. Méfiez-vous des sites internet, car leurs auteurs affichent ce qu'ils veulent. Après cette troisième mésaventure, Costa Rica Découverte me proposa une chambre à l'hôtel Crystal Ballena, à 213 US$ la nuit et à mes frais. Ben voyons ! Dès lors, la confiance étant rompue, je restais à Uvita trois jours plutôt que de me rendre au prochain hébergement, un certain hôtel Pirate Cove, isolé de tout sur la Péninsule d'Osa. On me précisa que je ne serai pas remboursé. Je m'en doutais un peu...

Nous avons (heureusement) connu aussi de bons établissements:L'hôtel Don Carlos (à San José) n'est pas exceptionnel mais convenable. Un peu tarabiscoté dans la répartition de ses chambres, il dispose de deux accès internet corrects. A notre arrivée, on nous a affecté une chambre sous les toits, un peu à l'écart et sans air conditionné. Le transport de nos bagages fut assuré par le personnel de l'hôtel car la chambre était située en haut d'un double escalier raide, peu commode (à mon retour à San José, en fin de séjour, je bénéficierai d'une chambre mieux située). Le petit déjeuner, très succinct, fut décevant. Nous fûmes, le lendemain de notre arrivée, transféré à l'hôtel Evergreen, situé à l'intérieur du parc national de Tortuguero. Cet hôtel a été construit sous la forme de bungalows individuels au milieu de la forêt tropicale. Le dépaysement est garanti une fois la nuit tombée. Le vacarme aussi...des centaines de grenouilles croassant aux alentours pendant des heures durant la nuit. Un couple anglais, rencontré sur place, avait d'ailleurs juré leur jeter des pierres... Le personnel est quant à lui très aidant et attentif à la clientèle. Les repas (inclus, sur cet hébergement isolé de tout, car on s'y rend en bateau) sont tout à fait convenables. Si vous souffrez comme moi des moustiques, évitez cet endroit. Je me suis fait dévorer par ces bestioles deux jours durant, et cela a gâché mon séjour. L'accès internet est aléatoire (coupures) et uniquement disponible à la réception (la directrice m'a cependant trouvé une solution alternative, qu'elle en soit remerciée!). A Puerto Viejo, un autre bungalow nous attendait, au Azaina lodge. France trouva que les draps étaient sales, et que la salle de bains était vétuste. Pour ma part, je notais surtout la bonne ventilation de la chambre, grâce aux nombreuses fenêtres systématiquement équipées de moustiquaires et permettant d'entendre au loin le bruit des vagues de l'océan atlantique (nous n'étions qu'à cent mètres de la mer). Les bungalows sont répartis à l'intérieur d'un petit parc extrêmement bien entretenu, lieu idéal pour observer les oiseaux. Etant parti tôt le matin pour visiter les alentours, l'établissement nous avait préparé des petits déjeuner à emporter (avec sandwichs et fruits coupés). Nous sommes restés peu de temps à Tirimbida mais gardons un bon souvenir de l'hôtel La Virgen, simple mais propre et situé au milieu d'un parc. Seul point noir : le mauvais accès internet dans les chambres. Nous nous rendîmes ensuite au Volcan arenal et nous descendîmes à l'hôtel Campo Verde : personnel très agréable et efficace, propreté de la chambre indiscutable, sans insectes, air conditionné et réfrigérateur. Accès internet parfait. Rien à redire sut cet hébergement si ce n'est qu'il faut boycotter le restaurant « Steak House », situé de l'autre côté de la route (trop cher et et caissier mal aimable!). Je ne reviendrai pas sur Carolina Lodge (voir infos pratiques). Rendons-nous maintenant sur la côte Pacifique nord, à Tamarindo, au 15love Bed&Breakfast. Cet établissement n'est pas à proprement parlé désagréable mais son environnement est déplorable : la municipalité est négligente et a laissé le terrain adjacent à cet hôtel à l'état d'abandon, alors qu'une route goudronnée, et des trottoirs propres (et non pas recouverts de gravier comme actuellement, ce qui ne permet pas de faire rouler sa valise!) auraient tout de suite offert une toute autre image de l'endroit. Vous retrouvez la même négligence dans la ville de Tamarindo, sans trottoirs, avec des chiens errants (c'est une constante au Costa Rica) et aucun attrait culturel. On en a vite fait le tour et les expatriés doivent bien s'y ennuyer, une fois sortis des boutiques et du golf... France et moi quitterons sans regrets cette côte principalement peuplée d'expatriés (Américains et Européens) et n'offrant aucune authenticité. Nous nous dirigeons désormais vers Monteverde où nous allons passer le weekend. 38 kilomètres de pistes nous attendent avant de (tenter de) parvenir à trouver notre hôtel, le Cloud Forest Lodge. Il nous fut impossible de trouver ce logement sans l'aide de plusieurs personnes, après les cinq heures de route effectuées. L'établissement est desservi par une piste trop scabreuse pour nous, nous empêchant de nous rendre le soir à Santa Helena. A notre demande, Costa Rica Découverte nous changea d'hôtel pour nous installer à l'hôtel Poco a Poco, très accessible (au centre ville de Santa Helena la petite ville, et à côté d'un petit centre commercial. Nous ne connûmes que quelques problèmes de clé magnétique, sinon tout était parfait. Tarcoles fut notre étape suivante, où nous fûmes hébergés à Cerro Lodge, un hôtel avec bungalows éparpillés dans un grand jardin. La chambre était correcte, mais nous rencontrâmes des petits problèmes non réglés de dernière minute (panne de la résistance d'eau chaude de la douche, problème de fermeture du verrou de la salle de bains, et pas de table pour travailler). Le personnel mit tout en oeuvre pour pallier immédiatement à ces inconvénients. Accès internet moyen (dans les chambres) et meilleur (au restaurant). La salle de bains est architecturalement remarquable avec le sol partiellement recouvert de galets (photo ci-dessus). A découvrir ! Le diner, lui, est servi tôt mais est délicieux. Personnel très agréable et aimant rendre service. A Quepos, nous nous arrêtâmes à l'hôtel Plaza Yara, qui nous donna toute satisfaction. Les choses se gâtèrent une fois arrivé à Uvita, à l'hôtel Finca Bavaria (tous les détails sont dans les infos pratiques). Je clôture ce tour d'horizon avec le magnifique lodge Trogon situé à San Gerardo de Dota, en pleine montagne, à 2300 mètres d'altitude, sans doute le meilleur hébergement de ce séjour. Là encore, rien à dire sur la qualité de cet hébergement (photo de la chambre ci-dessous), de la nourriture que sur la gentillesse du personnel.

Deuxième point décevant : la propreté du véhicule fourni par le loueur Mapache (et inclus dans la prestation de Costa Rica Découverte). France dut prendre des gants, un chiffon et un détachant pour nettoyer le premier véhicule que nous conservâmes trois jours, le temps de nous en attribuer un autre (Costa Rica Découverte nous offrit la location gratuite d'un GPS, à titre de dédommagement). De plus, notre voiture ne disposait pas de plage arrière (pour dissimuler les bagages du coffre) car le loueur Mapache facture un supplément pour ce genre d'accessoire (chose étonnante, alors que tout véhicule sortant d'usine possède ce genre d'accessoire!). Stupéfiant, dans un pays où on nous recommande bien de ne pas laisser nos bagages à la vue de tous. Notre voiture était un 4X4 Gran Vitara manuel de Suzuki. Rien à redire sur la conduite mais qu'est-ce qu'il consomme ! L'agence nous annonçait 7 litres/100 kilomètres mais j'ai eu l'impression qu'il consommait plus. Une version automatique aurait été aussi la bienvenue car plus agréable à conduire sur les piste et en montagne. Autre inconvénient sur ce véhicule : aucune ouverture/condamnation centralisée des portes : il nous fallait régulièrement enfoncer la clé de contact, puis déverrouiller le coffre à l'aide d'un bouton située sur la porte du conducteur. C'est ce genre de petits détails qui montre que le Costa Rica est un pays touristique naissant, ne possédant pas de normes et qui a encore bien des progrès à faire. Toutefois, le Gran Vitara fut agréable à conduire et avait une bonne reprise (voiture japonaise oblige). Il faut dire que les Costariciens conduisent vite et respectent le code de la route quand ça les arrange. France et moi avons assisté à un doublement (voir triplement) sur une route nouvellement rénovée et ne comportant pas encore de signalétique, et ce, avant un virage. Effarant ! Je me suis fait souvent doubler par des semi-remorques, qui roulaient à 100 km/heure (au lieu des 80km/heure préconisés sur les routes nationales). Je n'ai relevé que rarement la présence de policiers le long des routes et je crains surtout qu'ils ne disposent pas de l'arsenal français en matière de contrôle de vitesse. Chose à savoir, lorsqu'on conduit dans ce pays : il n'y a pas de priorité à droite. Avancez donc avec prudence. Il n'y a pas non plus de sens interdit tel que nous le connaissons partout ailleurs, mais un panneau mentionnant « No hay paso ». Et puis, vous serez très surpris par l'absence de panneaux indiquant le nom des villes, et autre informations routières. Tout est à faire dans ce domaine, d'autant plus que le GPS ne bénéficie pas d'une bonne couverture nationale. Mieux vaut compter que sur soi-même (toujours partir avec une carte 1:400 000 minimum) et...les Costariciens, qui sont adorables et m'ont dépanné bien des fois. Même chose quant aux noms des lieux traversés : contrairement à d'autres pays, la municipalité n'indique pas son nom à l'entrée de la commune (ni à la sortie), et le seul moyen de savoir où l'on est est de trouver une cabine téléphonique (le nom de la commune figure à l'intérieur). Pas franchement pratique ! Méfiez-vous également des clignotants (certains l'oublient!) et klaxonnez pour prévenir que vous allez doubler. Ne soyez pas non plus surpris de constater que les Costariciens ont tendance à rouler (presque) au milieu de la chaussée. J'en ai même rencontré qui roulaient sur la gauche sur une voie double permettant le dépassement (un peu comme les taxis entre Paris et Roissy CDG).

Dernier point, la double monnaie utilisée au Costa Rica. Dans ce pays on utilise à la fois le colon (monnaie nationale) et le dollar américain (accepté partout). Or, il est difficile pour un touriste de s'y retrouver car, si vous réglez vos dépenses avec des dollars, on va vous rendre la monnaie en colons. Or, les commerces ont pris l'habitude de faire la parité suivante : 1 US$ = 500 colons. Ce qui est inexact. Puisqu'en consultant un convertisseur de monnaie, vous vous apercevrez q'un dollar américain vaut 552,50 colons à l'heure où je rédige cet article. Et disons-le tout net: les Costariciens la jouent utile en ce qui concerne le change. Lorsqu'ils vous rendent la monnaie en colon, le dollar vaut 500 colons mais lorsque vous payez en colons, le taux de change est appliqué. Notez par contre que régler ses dépenses en carte Visa coute très cher en commissions (hors Europe, VISA est connu comme étant hors de prix!). J'ai personnellement changé des dollars américains avant de partir, et ne me suis muni que de petites coupures (10, 20, voire 50 US$) car les grosses coupures sont souvent refusées.
Voilà qui, je l'espère, vous aidera peut être à préparer utilement votre voyage vers ce beau pays. En cas de besoin, n'hésitez pas à m'écrire !
INFOS PRATIQUES :
-
Lagarta Lodge, à Boca Tapada. Tarif chambre/nuit/personne : 50 US$. A EVITER !
-
Maquenque Lodge, à Boca Tapada. Tarif chambre/nuit/personne : 50 US$. Etablissement familial offrant bonne allure, voisin du lodge précédent et sans aucun point de comparaison. Chambres dans bungalows individuels. Cuisine excellente (selon les goûts des clients) et diner à 20 US$. Accès internet correct mais uniquement disponible au restaurant.Personnel adorable et activités incluses dans le prix de la nuitée. Nombreuses autres activités optionnelles. Points à améliorer : Paiement par CB électronique (au lieu du sabot) et accès internet dans chaque bungalow.A CONSEILLER.
-
Carolina Lodge (près du volcan Tenorio). Refuge parfait pour les Robinsons ou les bobos en mal de sensations. Dépaysement garanti mais accès difficile (aucun restaurant à 8 km à la ronde). Emmenez tout de même une bombe anti-insectes.
-
Finca Bavaria, à Uvita. Tarif chambre/nuit/personne : 50US$. Ca ne vaut pas le prix. Par ailleurs, on ne peut pas payer par CB. Accès internet de mauvaise qualité. Même pas une bombe d’insecticide dans la chambre. Pas de restaurant disponible (il faut se rendre à Uvita, à 3 km de là, pour se restaurer. Pas d'air conditionné. Petit déjeuner : non testé (mais disponible uniquement à partir de 8h00. Vous êtes aussi prié de prévenir la veille de votre absence). Piscine (l'établissement en fait son point fort), avec la vue sur le Pacifique depuis la terrasse des chambre, c'est vrai. Une seule pancarte (au niveau du chemin à prendre) annonce l'établissement depuis la route et n'est même pas éclairée la nuit. Nous nous sommes d'ailleurs égarés pour rentrer le soir. A EVITER !
-
Marina Ballena lodge (à côté du restaurant du même nom). Tarif chambre/nuit/personne : 40 US$. Chambre propre, sans insectes. Air conditionné. Rideaux un peu fin pour isoler complètement du jour. TV avec TV5 Monde. Eau chaude pour la douche. Accès internet excellent mais au restaurant seulement. Petit déjeuner non inclus. Les chambres ne sont pas refaites chaque jour (on change juste les serviettes et la poubelle de la salle de bains).Personnel agréable.
-
Hôtel Evergreen, au parc national Tortuguero. A découvrir car unique en son genre. Prix comprenant la chambre et les repas car l'établissement est isolé de tout. A CONSEILLER
-
Azaina Lodge, à Puerto Viejo. Chambres dans bungalows, au milieu d'un petit parc avec piscine. On vous réclame l'empreinte de votre CB pour les dépenses durant votre séjour. Vous pouvez refuser et régler tout simplement vos dépenses au fur et à mesure. Accès internet (correct) uniquement à la réception/restaurant.
-
Love15 Bed&Breakfast, à Tamarindo : accueil sympathique, chambre relativement propre (ne pas trop regarder les poignées de portes) et accès internet très correct. Personnel adorable, petit déjeuner délicieux (notamment le granité de jus de fruits). Bruyant le vendredi soir (musique de la boite de nuit voisine) mais réveil aux cris des singes-hurleurs !
-
Trogon Lodge, à San Gerardo de Dota. Chambres dans des bungalows, avec salle de bains (eau chaude et froide), chauffage au gaz (allumé à partir de 17h00), restaurant (déjeuner et diner à 18,45 US$), grand jardin très bien entretenu. Havre de paix. Personnel adorable. Les plus : la bouillotte avant de se coucher et pain chaud pour les repas. Accès H. A CONSEILLER !
-
Hotel Don Carlos****, Calle 9 y Avenida 9, San José. Tel :(506)2221 6707. Tarifs : chambre standard une personne à 70 US$ + taxes (Supérieure à 80 US$ + taxes), chambre standard deux personnes à 80 US$ + taxes (Supérieure à 90 US$ + taxes). Offre famille 4 personne à 100 US$ + taxes CB acceptées. Accès WIFI. Hôtel Non fumeur. Les taxes sont de 13%. Site internet : http://www.doncarloshotel.com/