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Le Château de Schönbrunn
(Vienne, Autriche)
Heure locale


Jeudi 15 janvier 2015

 

Il fait froid ce matin mais un beau soleil brille déjà dans le ciel. J'ai prévu de me rendre aujourd'hui au Château de Schönbrunn, cette résidence impériale si proche de la ville qu'elle compte désormais parmi les monuments de la capitale. C'est à la fois un musée, un palais de réception et un logement pour de nombreux fonctionnaires. Revenons sur la naissance de ce Palais : dès le XVIIè siècle, les Habsbourg disposaient déjà d'un château de plaisance à cet emplacement mais celui-ci sera détruit par les Turcs lors du second siège de Vienne en 1683. Cette même année, après la victoire décisive de l'Autriche sur les Turcs, l'Empereur Léopold désira posséder un palais qui fut le pendant de Versailles. Un pavillon de chasse fut d'abord érigé à Schönbrunn sous la direction du grand architecte baroque, Fischer von Erlacht. Ce dernier soumettra ensuite à l'Empereur le projet d'un château en hauteur, vers lequel monteraient des jardins en terrasse, à partir d'une vaste entrée d'honneur, entourée de grilles, et de colossales colonnes coiffées d'aigles. Le souverain jugea cependant cette dépense irraisonnable et l'architecte dut revoir sa copie, en proposant de construire le château au pied de la colline et d'aménager, derrière, un parc immense, jusqu'à la colline et même au-delà. La construction prit ainsi forme entre 1700 et 1746, grâce aux talents des architectes baroques Josef Emanuel Fischer von Erlacht, puis de Nicolas Pacassi (l'Impératrice Marie-Thérèse lui fera appel pour transformer le premier pavillon en un palais de style rococo qui devra devenir sa résidence d'été). A l'époque de Marie-Thérèse, on imagine très bien à quoi ressemblait la cour d'honneur de Schônbrunn (en photo ci-dessous), entourée de pavillons bas et de galeries, avec une façade principale articulée en avant-corps jusqu'aux pavillons d'angle. Le bâtiment principal fut construit sur deux étages autour de hautes colonnes. On accédait alors aux étages par des escaliers sur les côtés mais aussi par le grand balcon soutenant des couples de colonnes plus petites. Un belvédère couronnait le tout. Le XIXè siècle entraina cependant la disparition de nombreux détails décoratifs. Le Schönbrunn d'aujourd'hui apparaît plus sobre, mais la façade d'honneur et celle donnant sur le parc offrent toujours la délicatesse du XVIIIè, avec grâce et harmonie. C'est Marie-Thérèse, sur la fin de son règne, qui décidera d'édifier la Gloriette, au sommet de la colline, une grande fabrique à colonnade conçue pour coiffer l'ensemble du parc et du Palais.


 

Au fil du temps, la famille impériale apportera ses contributions personnelles à l'ameublement et aux décorations des différentes salles. Et le château d'illustrer, de manière vivante, la vie quotidienne du temps des Habsbourg. La Maison des Habsbourg (ou Maison d'Autriche) fut une importante famille royale d'Europe, réputée pour avoir fourni tous les empereurs du Saint-Empire entre 1452 et 1740, ainsi que les dirigeants d'Espagne et de l'Empire autrichien, puis de l'Empire austro-hongrois. Marie-Thérèse sera la dernière représentante de cette Maison. Et les enfants qu'elle aura eu de son mariage avec François Etienne de Lorraine lanceront la dynastie des Habsbourg-Lorraine. François-Joseph, lui, laissera une empreinte toute particulière. Il naquit dans ce château et y mourut après avoir régné durant 68 années. C'est donc à la découverte de cette vie quotidienne de la famille impériale que je m'apprête à assister en mettant les pieds dans cette vaste demeure. Mon seul regret : l'interdiction de prendre des photos à l'intérieur du château. Je me procure un descriptif écrit de la visite et débute ma visite au premier étage, par la salle des gardes, endroit où étaient jadis postés les gardes du corps de l'empereur François-Joseph, qui surveillaient l'accès aux appartements privés. Je remarque immédiatement un énorme poêle en faïence dont le chauffage (tout comme dans tout le reste du château) s'effectuait dans des couloirs situés derrière les pièces, pour ne pas faire de saletés. Au début, le bois fut le principal combustible. Il sera remplacé au XIXè siècle par un chauffage à air chaud qui restera en service jusqu'en 1992.

La seconde salle est la salle de billard (ci-dessous). Celle-ci servait aussi de salle d'attente avant les audiences de François-Joseph, qui avaient lieu deux fois par semaine. La table de billard avait autrefois appartenu au grand-père de François-Joseph, l'empereur François 1er d'Autriche, et servait de passe-temps aux membres de l'armée. Dans cette salle, on peut admirer trois tableaux : le tableau central évoque la remise solennelle de l'ordre de Marie-Thérèse en 1758. Cet ordre, créé par Marie-Thérèse, fut le premier ordre pour le mérite de la monarchie, et compte parmi les décorations les plus prestigieuses de la Maison d'Autriche. Les deux autres tableaux (à droite et à gauche) rappellent les festivités données pour le centenaire de la fondation de l'ordre, fêtes offertes par François-Joseph avec réception dans le parc du château et diner de gala dans la grande galerie.


 

J'entre maintenant dans la salle en bois de noyer, une salle de toute beauté : entièrement lambrissée d'une précieuse boiserie de noyer (d'où son nom), l'endroit possède aussi dorures et consoles, qui reflètent l'aménagement rococo de l'époque Marie-Thérèse. Le lustre, lui, date du XIXè siècle. C'est dans cette salle que François-Joseph donnait ses audiences. On venait comparaitre devant l'empereur pour le remercier d'une décoration, pour obtenir une faveur ou pour se présenter lors d'une nomination à un poste officiel. L'empereur pouvait recevoir près de cent personnes en une seule matinée. Sa mémoire était indéfectible et il n'oubliait jamais un nom ou un visage qu'il avait déjà entendu ou vu. Ces audiences duraient généralement quelques minutes seulement et l'empereur y mettait fin par un simple hochement de tête.

La salle suivante est occupée par le bureau de l'empereur François-Joseph. Ce dernier n'avait que dix-huit ans (ci-dessous) lorsqu'il accéda au trône d'Autriche. Il était un travailleur infatigable et s'asseyait à son bureau dès 5 heures du matin. Puis, il étudiait les dossiers et se faisait servir sur place son petit-déjeuner et son repas de midi. François-Joseph n'accordait que très peu d'importance au faste dans la décoration de ses appartements privés. Ses tableaux et les photos de famille lui suffisaient amplement, ainsi que les cadeaux de ses enfants et petits-enfants. L'un des deux grands portraits représentent François-Joseph âgé de 33 ans, et l'autre, son épouse, l'impératrice Elizabeth, entrée dans la légende sous le nom de Sissi.


 

Juste à côté se trouve la chambre à coucher de l'empereur François-Joseph : levé dès 4 heures du matin, il faisait sa toilette à l'eau froide, puis s'agenouillait sur le prie-Dieu, en tant que fervent catholique. Son lit de fer témoigne du mode de vie austère de l'empereur. François-Joseph y décédera en 1916, en pleine première guerre mondiale. Il avait alors 86 ans. Et aura connu, tout au long de son existence un destin bien tragique, puisqu'il perdra Sophie, sa fille ainée, âgée seulement de deux ans. Son frère, Maximilien, alors empereur du Mexique, finira exécuté par des révolutionnaires. Son fils unique, Rodolphe, se suicidera, et son épouse, Elizabeth sera poignardée par un anarchiste. En sortant de la chambre, sur la gauche, on peut observer les toilettes impériales. Ces toilettes « à l'anglaise » furent installées en 1899, tout spécialement pour François-Joseph. Les salles suivantes faisaient parties des appartements d'Elizabeth. L'impératrice s'asseyait à son bureau pour écrire une correspondance abondante, son journal intime et ses poèmes. Le cabinet de toilette servait à l'impératrice à se consacrer à ses soins de beauté, dont le coiffage de ses longs cheveux (qui tombaient jusqu'aux pieds), tâche qui l'occupait quotidiennement plusieurs heures durant. Elizabeth faisait aussi des exercices de gymnastique et passait pour l'une des plus belles femmes de son temps.

La salle 9 accueille la chambre à coucher conjugale du couple impérial (ci-dessous). Lorsque François-Joseph épousa Elizabeth, en 1854, cette dernière n'était alors âgée que de 16 ans. Cette chambre fut alors aménagée à l'occasion des noces. François-Joseph aimait sa femme par dessus tout, mais Elizabeth n'avait de cesse que de tordre le coup au rigide protocole du palais et avait pris beaucoup d'assurance au fil des années, menant sa vie de manière autonome et voyageant énormément. A côté de cette chambre, Elizabeth disposait d'un salon de réception, au lambrissage blanc et or. La curiosité de cette salle réside dans l'horloge à lecture inversée (regardez bien, on peut lire l'heure dans la glace). Les pastels datant du XVIIIè siècle représentent les enfants de Marie-Thérèse et furent réalisés par de célèbres artistes dont le peintre genevois Liotard , très estimé de Marie-Thérèse.


 

Je poursuis ma visite et pénètre dans la salle Marie-Antoinette (ci-dessous), qui servait de salle à manger familiale. Une table est dressée comme elle l'était jadis et selon les traditions de la cour. Les diners de famille suivaient un protocole strict : la table était toujours dressée somptueusement, avec des surtouts de table contenant fleurs, fruits et bonbons. Des plats français étaient servis lors des diners officiels alors que pour les repas de famille, on servait plutôt des plats viennois affectionnés par François-Joseph (escalope viennoise, goulache de bœuf, et Kaiserschmarren, une épaisse crêpe coupée au couteau). Les mets étaient servis bien chauds car on les transportait depuis les cuisines dans des caisses chauffées puis on réchauffait les plats sur place. L'empereur occupait la place du milieu et faisait face à l'impératrice (dont on peut voir le portrait ci-dessous), du moins lorsqu'elle assistait au diner car elle s'imposait de fréquents régimes pour garder sa ligne. Ces diners de famille débutaient à 18h00 et on y servait trois à six plats.


 

Je découvre maintenant la chambre des enfants, ornée de portraits des filles de Marie-Thérèse. Ses onze filles furent presque toutes mariées dès leur plus jeune âge pour des raisons politiques. La salle de bains est visible sur la gauche. Elle fut installée en 1917 pour la dernière impératrice des Habsbourg, l'impératrice Zita. Sur la droite, un tableau permet d'admirer Marie-Antoinette, la plus jeune des filles des Marie-Thérèse, qui deviendra l'épouse de Louis XVI. Un peu plus loin, se trouve le salon Jaune, qui ouvre la série des appartements donnant sur les jardins du château. Là encore, on trouve des pastels du peintre Liotard, représentant les enfants de la bourgeoisie. Plus loin, la salle des Glaces était utilisée par Marie-Thérèse lors des réjouissances familiales ou parfois pour assister à des petits concerts. Le jeune Mozart y donna, en 1762, son premier concert. Il n'était alors âgé que de six ans et bondit fièrement sur les genoux de l'empereur après sa prestation, lui passa les bras autour du cou et l'embrassa de bon cœur.

Les trois salles suivantes sont surnommées « Salles Rosa », du nom du peintre Joseph Rosa, qui en réalisa les paysages. On y aperçoit le château de Habicht (Suisse), mais également le portrait de Marie-Thérèse réalisé par le peintre de la cour, Martin van Meytens. Très énergique, Marie-Thérèse mènera seule la guerre de succession d'Autriche à la mort de son père, réussissant ainsi à conserver l'héritage des Habsbourg contre la volonté de presque la moitié de l'Europe. C'est elle qui régnait sur les pays de la couronne des Habsbourg tandis que son mari, François de Lorraine, préférait se consacrer aux sciences naturelles et aux finances.

Et nous voici dans la Grande (en photo ci-dessous) et la Petit Galerie. Située au centre du château, la grande galerie était utilisée par la famille impériale pour les bals, les grandes réceptions et les diners de gala. Cette pièce de 40 mètres de long et de dix mètres de large offrait un cadre idéal pour les festivités de la cour. Ses miroirs de cristal, ses stucs dorés à l'or fin et son plafond décoré de fresques en font un véritable bijou de l'art rococo. Les fresques sont toutes à la gloire de Marie-Thérèse et sont l'oeuvre du peintre italien Gregorio Guglielmi. Deux immenses lustres en bois sculpté et doré étaient conçus pour supporter chacun 70 bougies, et fonctionneront jusqu'à l'électrification du château en 1901. Depuis la fin de la monarchie, cette grande galerie est utilisée comme salle de concerts. C'est aussi ici qu'eut lieu la rencontre légendaire des chefs d 'Etats Kennedy et Kroutchchev, en 1961.

Quant à la petite galerie (parallèle à la grande), elle donne sur les jardins du château. Elle était utilisée pour célébrer en famille fêtes et anniversaires. De chaque côté de cette petite galerie, on peut admirer deux cabinets chinois, un rond (deuxième photo ci-dessous) et un ovale. Marie-Thérèse avait en effet une prédilection pour les arts chinois et japonais, en vogue à cette époque. On trouve dans chaque cabinet des panneaux précieux de laque chinois, incrustés dans les lambris de bois blanc, et dont les cadres dorés se prolongent pour former des consoles, ornées de porcelaine bleue et blanche. Les parquets sont réalisés en marqueterie. Ces cabinets servaient tantôt de salons de jeux, tantôt de salons de consultation. C'est dans le cabinet rond que se tenaient les entrevues et les consultations secrètes de Marie-Thérèse avec son chancelier d'Etat, le Prince Kaunitz.


 

La salle du Carroussel doit quant à elle son nom à un grand tableau représentant un carrousel de dames, une parade organisée par Marie-Thérèse en 1743 dans le manège d'hiver de la Hofburg pour fêter la reprise de Prague durant la guerre de succession d'Autriche. C'est dans ce même manège d'hiver, désormais connu sous le nom de manège espagnol, qu'ont encore lieu les spectacles de chevaux lipizzans. Juste à côté se trouve la salle des cérémonies, réservée autrefois à des petites festivités familiales lors de baptêmes ou de mariages. Les tableaux y figurant évoquent des festivités solennelles lors du mariage de Joseph, le fils ainé de Marie-Thérèse et héritier du trône, avec la Princesse Isabelle de Bourbon-Parme. Ici se termine l'Impérial Tour.

M'étant muni d'un billet Grand Tour, je poursuis maintenant ma visite par le salon bleu chinois (ci-dessous). Entièrement tapissé de papier de riz peint à la main, ce salon est un lieu historique : c'est ici qu'eurent lieu les négociations portant sur le renoncement à la couronne de Charles 1er de Habsbourg, alors dernier empereur d'Autriche, le 11 novembre 1918. C'est le lendemain que fut proclamée la république autrichienne. La fin de l'Empire des Habsbourg fut scellée dans cette pièce, après plus de 600 ans de règne. Charles 1er, qui renonça au pouvoir contre son gré, fut ensuite envoyé en exil avec sa famille. Et mourut à Madère en 1922, à l'âge de 35 ans. Son épouse, l'Impératrice Zita, décéda en 1989 et fut inhumée à la crypte des Capucins en tant que dernière représentante de la dynastie. La chambre en vieux laqué (deuxième photo ci-dessous) fut, elle, aménagée par l'infatigable Marie-Thérèse après le décès subit de son époux François de Lorraine, en 1765. On y retrouve tous les souvenirs. Les panneaux de laque noir vinrent tout droit de Pékin, et furent plaqués sur les lambris de noyer puis encadrés de dorures. Inconsolable, l'Impératrice portera le deuil jusqu'à la fin de ses jours. Elle fit peindre tout spécialement pour cette chambre trois tableaux : celui de son époux, François de Lorraine, et le double portrait de Joseph II et de son frère Léopold. Plus loin, la salle Napoléon rappelle le souvenir de l'empereur des Français. Ce dernier s'y installa lors de ses deux occupations de Vienne, en 1805 et en 1809. Il faudra le mariage de Napoléon avec Marie-Louise, fille de l'empereur François 1er d'Autriche pour que soit scellée la paix entre les deux nations. Lors de la chute de son époux, Marie-Louise revint provisoirement à la cour de Vienne, accompagnée de son fils, plus connu sous le nom de l'Aiglon. L'Aiglon fut bientôt séparé de sa mère, pour grandir à l'écart de la politique, mais sa santé fragile fit qu'il décédera en 1832, à l'âge de 21 ans, suite à une maladie pulmonaire.

 

La salle des Millions (ci-dessous en photo) est de très grande valeur. En effet, son lambrissage, réalisé dans un bois de rose très rare, et dans lequel sont incrustés des miniatures indiennes de l'école persane, est d'exception. Les miniatures représentent des scènes de la vie publique et privée des grands Moghols de l'Inde qui vivaient au XVI et au XVIIè siècles. Quant aux miroirs de cristal se trouvant de chaque côté, ils se reflètent les uns dans les autres et donnent ainsi l'illusion d'un espace infini. Observez bien ! Quant à la salle suivante, appelée salle des Gobelins (deuxième photo ci-dessous), elle est ornée par des tapisseries bruxelloises datant du XVIIIè siècle. On en trouve sur les murs mais aussi sur les fauteuils. Les tapisseries murales représentent des scènes de marché et de port, tandis que celles des fauteuils dépeignent les douze mois de l'année. Tout proche, le salon rouge contient les empereurs Habsbourg à partir de la fin du XVIIIè siècle.

 

Juste à côté de cette salle, on traverse la salle riche, riche du seul lit d'apparat (ci-dessous) de la cour de Vienne qui soit encore conservé. Il fut fabriqué au moment du mariage de Marie-Thérèse et était, à l'origine, situé dans les appartements privés de l'impératrice, au Palais impérial de Vienne, à la Hofburg. En velours rouge brodé d'or et d'argent, ce lit imposant possède des panneaux architecturaux imitant la broderie. Impressionnant ! Le bureau de François-Charles se trouve quant à lui dans une pièce qui appartenait au XIXè siècle au père de François-Joseph, l'archiduc François-Charles. On peut y admirer de nombreux tableaux, dont celui de la famille de l'empereur François de Lorraine et Marie-Thérèse, entourés de leurs...seize enfants (dont onze atteindront l'âge adulte). La dernière salle représente la salle de chasse, et montre la passion entretenue par les Habsbourg pour ce sport.


 

 

INFOS PRATIQUES :


  • Palais de Schönbrunn, Schönbrunner Schlossstrasse 47, à Vienne. Tel : +43 1 811 13 239. Ouvert d'avril à juin, de 8h30 à 17h30, de juillet à août, de 8h30 à 18h30, de septembre à octobre, de 8h30 à 17h30 et de novembre à mars, de 8h30 à 17h00. Tarifs : 11,50€ (Impérial Tour, avec visite des salles d'apparat et des appartements privés du couple impérial, guide audio ou description du tour gratuits), 14,50€ (Grand Tour, même chose que l'Impérial Tour avec, en plus, la visite des salles les plus somptueuses de l'époque de Marie-Thérèse et visites guidées en allemand et en anglais). Durée de l'Impérial Tour, 30 à 40 minutes (50 à 60 minutes pour le Grand Tour). Audioguides disponibles en seize langues. Descriptif écrit disponible en 21 langues. Le ticket Sissi (25,50€) inclut le Grand Tour + Musée du Meuble + appartements impériaux d'Hofburg, billet valable un an. Des Pass Hiver existent également (à 22,50€ et 32,50€, se renseigner à la billetterie ou sur le site). Prise de photos interdite à l'intérieur du château. Site internet : http://www.schoenbrunn.at

  • La prise de photos étant interdite, j'ai utilisé certaines cartes postales pour l'illustration de cet article

  • Merci au service presse du Château pour m'avoir fourni certaines photos








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