La rentrée est l'occasion de découvrir de nouvelles expositions. C'est le cas au Musée de la Poupée,qui fête son vingtième anniversaire, et propose au public l'exposition « Minuscules » consacrée aux poupées de poche. Celles qu'on appelle les minuscules ne datent pas d'hier. Ces premières poupées articulées apparurent en effet en France en 1875. Déjà, aux XVIIè et XVIIIè siècles, on observe l'apparition de poupées plus raffinées, avec des yeux de verre, et des membres en peau et cheveux peints. Les matériaux se diversifient : cire, papier mâché, ou cire moulée sur papier mâché. Ces poupées sont souvent fabriquées pour les enfants riches, et deviennent à la fois de plus en plus fragiles et luxueuses. Le XIX è siècle verra l'apparition de la production industrielle et la poupée possède alors un corps raide en bois gainé de peau, les membres, en tissu ou en peau bourré de sciure de bois (...)
Prochainement, le Grand Palais va accueillir une exposition, « Air France, France is in the Air », conçue par la compagnie Air France et destinée à découvrir l'art du voyage à la française. Cette exposition itinérante s'est déjà arrêtée à Shanghaï (Chine) en mai, puis New-York (Etats-Unis) en juin, et a attiré plus de 11000 visiteurs. A cette occasion, le public jeune et moins jeune du Grand Palais, qu'il soit voyageur ou pas, pourra découvrir une nouvelle conception du voyage ainsi que l'ensemble de ses nouvelles cabines Long-courriers à travers cet événement inédit. Le visiteur, au travers d'expériences réelles et virtuelles, s'imprégnera du nouvel univers de la Compagnie grâce à des mises en scènes et des animations. Bien que cette exposition ne soit pas une exposition historique, vous pourrez vous replonger dans la légende d'Air France qui fête cette année son 80è anniversaire (...)
Les amoureux de la mode française ne doivent en aucun cas manquer cette exposition qui se déroule au Palais Galliera (Paris) jusqu'au 2 novembre prochain. Guêpières, jupes à corolle, jupons, escarpins pointus, imprimés fleuris ou rayés aux couleurs vives, mais aussi tailleurs à jupe « crayon » et taille de guêpe, robes bustiers-fourreaux, robes de cocktail, et broderies rocailles de cristaux attendent les visiteurs et témoignent de ce qu'était la haute couture en France dans les années 50. Au même moment, pulls montants, jeans et pantalons corsaire reflétaient une mode plus décontractée à la portée de la génération du baby-boom (...)