Ouf ! Il était temps que je dorme un peu. Ces longs voyages sont exténuants. Et encore ai-je eu la chance de voyager dans de bonnes conditions et de pouvoir tout de même dormir presque huit heures durant le vol entre Paris et Buenos Aires. Ce matin, je me réveille à 7h30. Un petit déjeuner m’attend dans la salle à manger de Monique. Et je lève le camp à 8h30 (...)

A peine rentré de Los Angeles et Londres où j’étais parti depuis déjà neuf jours, avec deux barbecues à mon actif (c’est cela la vie d’équipage !) sur la plage de Balboa, je me retrouve en escale à Paris en train de défaire un bagage pour en préparer un autre. Il me faut avoir la santé avec un tel rythme : Ménage, lessive et repassage sont les deux mamelles…. (...)

Toujours en vadrouille , à droite et à gauche, au nord et au sud de la planète bleue, je me suis posé ce matin à Buenos Aires, capitale de l’Argentine, comme chacun sait. Ici, c’est l’hiver austral avec des températures qui ne dépasseront guère 17° au plus fort de la journée, avec un ciel brumeux. De ma chambre d’hôtel , située au vingt-deuxième étage, j’observe le port et les mouvements des navires de commerce qui accostent ou qui appareillent pour des territoires lointains et des journées entières d’océan (...)